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6 - 2414 Lamar

 photo bien plus recente bien sur

Les Presley ont vécu dans cette maison au 2414 Lamar pendant quelques mois en 1955. Bien que la maison existe toujours, ce n'est plus une résidence privée mais une entreprise.

dernier photo avant l abondant

peu d info donc sur ce logement des Presley .

dans l appartement de SHARON

 64 ans après sa mort, presque tous les fans pensaient depuis longtemps que tout et n'importe quoi dans la vie tragiquement courte d'Eddie Cochran avait été minutieusement fouillé. Peu de musiciens inspirent la dévotion sans réserve que le pionnier du rock'n'roll né au Minnesota continue de susciter et ainsi, quand, un jour de 2021, un certain nombre d'objets personnels de Cochran ont commencé à apparaître sur eBay, la rumeur s'est rapidement répandue selon laquelle quelque chose n'allait pas. en haut. "Tout ce qui a trait à Eddie est extrêmement rare", déclare Sonny West, uberfan de Cochran.cette photo apparemment "sur le vif" est en fait une séance photo organisée par Sharon Sheeley. Au moment de sa mort,la maison d'Eddie était toujours la chambre dans laquelle il avait grandi sur James Street dans la ville d'Albert Lea, Minnesota.

1960 : Eddie Cochran, le chanteur incroyablement évanoui derrière ces classiques du rock'n'roll alors que Summertime Blues, C'mon Everybody and Somethin' Else, est tué dans un accident de voiture à Chippenham,

Wiltshire. Sa mère, Alice, est démunie et garde la chambre de son fils exactement telle qu'il l'a laissée, jusqu'à sa mort en 1994, date à laquelle sa fille Gloria hérite. Après cela, la maison familiale revient au neveu d'Eddie qui vend plus tard la maison, tout ce qui se trouve dans la chambre de son défunt oncle se retrouve dans deux casiers de rangement. Lorsque le neveu ne parvient pas à payer l"la note" , celles-ci sont vendues aux enchères, pour ensuite être achetées par deux Mexicains, qui n'ont aucune idée du trésor qu'ils ont désormais entre les mains.Pour faire court : après avoir découvert certains des disques d'or d'Eddie dans leur quête, ils entrent en contact avec un antiquaire local qui recherche rapidement « Eddie Cochran » sur Google. Réalisant qu'il pourrait peut-être gagner un peu d'argent ,le revendeur achète le lot et commence à télécharger les objets sur eBay. 

Sonny West. "Quelqu'un m'a envoyé un message et m'a dit : "Avez-vous vu tous les trucs d'Eddie Cochran sur eBay ?","À ce stade, les acétates comme  C'mon Everybody augmentaient et atteignaient 6 000 à 47 000 $.", il était l'un des rares fans à avoir assez d'argent à enchérir. Sauf que West n'avait pas son regard sur seulement un ou deux objets de la collection d'Eddie Cochran, il voulait tout le lot.

le jeune Eddie (et son papa derrière le pare brise) 

"Il y a tellement de points d'interrogation chez lui, sur sa vie, sur la façon dont il a vécu et où il allait, et cela pourrait  répondre à beaucoup de questions."Parvenant à un accord avec le marchand, West s'arrangea pour que ce qui restait de la collection (quelques pièces avaient été vendues, des articles que West essayait, malheureusement en vain, de racheter) livré en Angleterre. "Rien n'était emballé individuellement, tout m'était simplement envoyé dans les cartons dans lesquels ils avaient été trouvés, donc des cartons avec du scotch dessus", se souvient-il. La collection comprenait toute la collection de vinyles d'Eddie, ainsi que des vêtements, des notes manuscrites de Gene Vincent, des Everly et de Little Richard, divers acétates et des centaines de photos inédites."Dès que j'ai reçu le matériel, j'ai tout nettoyé, catalogué et séparé", explique West. "Cela m'a pris neuf mois. Puis j'ai pensé : « Les gens ont besoin de voir ça ». Je ne suis pas un collectionneur qui veut cacher des choses et dire simplement : « Oh, j'ai ceci et ca d'Eddie Cochran » pour se montrer. Pour moi, c'était sauver un peu d'histoire - maintenant, qu'est-ce que j'en fais ?J'ai fait copier et améliorer numériquement chaque photo et elles ont toutes été agrandies et encadrées. Et alors j’ai pensé que je pouvais faire une exposition.Les fans attendent cela depuis une soixantaine d'années, car ils regardent toujours les mêmes photos." Depuis, Sonny's a organisé trois expositions, toutes gratuites. Mais organiser une exposition - même trois d'entre elles - ne diffusait pas la collection à tous ceux qu'elle devait atteindre. West a donc concocté une idée pour présenter les articles de manière à ce que tous les fans puissent y accéder, sous la forme d'un somptueux livre .Après une présentation réussie auprès de Omnibus Press, la recherche d'un écrivain était alors lancée. "Quand j'ai appris qu'un livre d'Eddie Cochran était en préparation", explique le journaliste et auteur Lee Millman, "j'ai tout mis en œuvre pour essayer de l'obtenir. Je suis un grand fan d'Eddie." Le livre, Eddie Cochran In Person, est sorti en octobre et est un ouvrage incontournable non seulement pour tout aficionado inconditionnel de Cochran, mais pour tout fan de musique sérieux.

Il est rare qu'un livre soit publié sur un artiste décédé il y a plus de six décennies et puisse offrir autant de choses jamais vues auparavant.

"Je pensais en savoir beaucoup sur Eddie Cochran jusqu'à ce que je commence à écrire ceci, puis j'ai réalisé à quel point j'en savais peu", rit Bullman, dont les livres incluent la biographie policière à succès Blowback et le roman néo-noir Twenty Sixteen.

Évidemment, pendant que Bullman abordait les mots qui donneraient un contexte aux photos de la collection de West, il s'est rendu chez Sonny sur la côte sud pour voir la collection par lui-même. "Sonny a un enregistrement sur acétate d'une chanson d'Eddie intitulée Pink Peg Slacks", dit-il, "et tenir cet enregistrement a été un moment très, très émouvant, parce que c'était une très grande chanson pour moi. Et il y avait une note de Gene Vincent pour Eddie Cochran, écrit de la main de Gene . Vous tenez cela dans votre main et dites : "C'est Gene Vincent et Eddie Cochran qui se parlent... ? Oui un peu les larmes aux yeux.

c'est un livre qui met Eddie en trois dimensions, soulignant qu'il y avait une personne réelle derrière le mythe. "C'est facile de chercher Eddie Cochran et on obtient cette silhouette emblématique ?", explique l'auteur. "Ici C'était ce beau mec, avec une guitare de l'ère spatiale, qui secouait les hanches et jouait un rock'n'roll fou - c'était important d'aller au-delà de ça." "Le livre est né parce qu'il est très difficile de faire comprendre aux gens ", explique Sonny. "J'en ai monté trois à mes propres frais, mais faire voyager cela sur le plan logistique est très délicat. Le problème, c'est d'attirer l'attention parce qu'Eddie n'est pas vraiment connu – il n'est pas comme Elvis ?

Pour Bullman, l'expérience d'écrire le livre et de voir la collection en personne lui a donné une idée beaucoup plus claire du véritable Eddie Cochran, de l'homme que sa famille et ses amis connaissaient. "Je pense qu'il aurait été vraiment agréable de sortir avec lui", sourit-il.

 "En faisant des recherches sur sa vie, cela a réitéré mon sentiment instinctif qu'il n'était pas un connard, il l'était pour de vrai. Je veux dire, il était l'histoire du rock'n'roll. Je n'avais jamais pensé auparavant à sa vie,et "Maintenant, j'ai l'impression d'avoir passé du temps à le regarder grandir un peu.

Il a eu beaucoup d’épreuves et de tribulations en cours de route, comme voir ses amis mourir dans cet horrible accident d’avion. J'ai vraiment apprécié qu'il y ait un véritable être humain derrière tout cela, qui a traversé toutes ces choses que nous traversons tous, ces chagrins et ces chagrins. Cela m'a donc mis en contact avec lui en tant que personne ! » Il y aura, espère-t-il, davantage d'expositions, mais comme il le dit, le nom d'Eddie Cochran n'est pas aussi lumineux dans le monde réel que dans les cercles plus raréfiés du rock'n'roll. Mais j'espère qu'avec des livres comme Eddie Cochran In Person qui font passer le message, davantage de gens seront attirés par Eddie et sa musique intemporelle. "C'est une histoire américaine intéressante", reflète Bullman.

c'est comme le rêve hollywoodien. Eddie arrive et soudain le soleil apparaît et il y a des filles en bikini et des tas de musiciens sympas. C'est une histoire archétypale de « rêves devenus réalité », mais avec cette horrible tragédie à la fin :' *

Elpresse , ET OUI TOUT POUR FAIRE UN GRAND FILM .

13 février 1956  dans le cadre du EAST COAST TOUR ,ELVIS nous gratifie de 3 shows 14 H00-17H00 et 20h00 à NORFOLK (ville natale de GENE VINCEN) au Municipal Auditorium 

Sur scène en avant premiere ; The Louvin Brothers

The Alabama Sanddusters

Mother Maybelle

The Carter Sisters

June Carter

Benny Martin

Ray Pulley with Anita and June Carter at Norfolk Auditorium - Feb 12, 1956

Raymond H. Pulley était étudiant au lycée Oscar F. Smith de South Norfolk où il a également travaillé comme ingénieur et disc-jockey à la station de radio étudiante WFOS-FM, la première station FM éducative en Virginie. Tex Davis de WCMS était son mentor. Ray a animé une émission quotidienne de deux heures, "The Cuzin' Ray Hoedown", qui présentait de la musique rock and roll, country et hillbilly. Ray était présent aux émissions du 12 et a interviewé les sœurs Carter et Elvis pour son émission. 

mother maybelle en ce 12

mother maybelle

Pour les shows , Anita Carter jouait de la basse,celle de  Bill tandis que Mother Maybelle jouait de la Gibson L5  de SCOTTY et Helen jouait de l'accordéon. June chantait et racontait des blagues .

en coulisse du show

 Brian Petersen, dans l'Atomic Powered Singer, a écrit que le lendemain, un des journaux locaux a rapporté que l'Auditorium municipal avait connu sa plus grande journée dimanche, lorsqu'un total de 9 900 fans de musique country se sont rassemblés dans l'arène pour les trois spectacles. Il s’agit de la plus grande foule pour une seule journée depuis l’ouverture de l’Auditorium.

On rapporta en outre que la foule était si nombreuse que les files d'attente devant la billetterie s'étendaient jusqu'à la rue Granby et que les disques d'Elvis se vendaient au rythme de 100 000 par semaine.

Gene Vincent a vu l'un des spectacles d'Elvis à l'Auditorium et a été captivé par la performance.

18 Janvier 1956,ELVIS se produit à AUSTIN .

Au coliseum

de 54

Tournée du Hank Snow All-Star Jamboree

Les dates de cette semaine comprenaient des spectacles à San Antonio, Galveston, Beaumont, Wichita Falls et Fort Worth. Selon un article paru dans le numéro de juillet de Pageant Magazine de la même année, Elvis a déclaré qu'en arrivant à Austin, il avait découvert une fille dans sa chambre en train de cirer ses chaussures. Elle a annoncé qu'elle était son esclave autoproclamée, mais a refusé de révéler son nom ou son adresse. Elvis et son compagnon de voyage, Cousin Gene, ont dû lui prendre de force son portefeuille pour obtenir les informations dont ils avaient besoin pour la renvoyer chez elle à San Antonio.

ici au Coliseum avec Melba

. À propos de la soirée à Austin, écrit Lee Cotten, Elvis, « acclamé par la critique comme la plus grande star de la chanson des 10 dernières années », selon la publicité parue dans l'Austin American, a joué au Austin Coliseum à 20h00. de la tournée Hank Snow, Charlie Walker figurait également sur l'affiche.

sortie chez RCA en 1956 

Bash a fait ses débuts en tant que chanteur sur Hidus Records, basé à Springfield, dans le Tennessee, en 1955 avec deux numéros R&B : une reprise du hit actuel du harpiste blues de Chicago Little Walter, My Babe, et du swinger jazzy du King Cole Trio, Straighten Up And Fly Right. Le principal concert de Bash à partir de 1954 consistait à jouer de la batterie avec les Dixielanders bien établis du pianiste « Poppa » John Gordy, une formation sophistiquée qui tenait régulièrement la cour au Celtic Room de Nashville. Otto était en studio avec Gordy lorsque Poppa John a enregistré pour RCA, devant son The Blue Sioux City Five en avril 1955, ce qui a conduit au propre contrat Victor de Bash. Sa première session là-bas en tant que leader en janvier 1956 comportait davantage de contenu R&B - une reprise de Later Alligator de Bobby Charles qui a été publiée comme sa première offre RCA mais rapidement rendue "ringarde" (époque 56) , par la version smash de Bill Haley et His Comets.

Bash est retourné au studio en juin 

Puis le 3 novembre 1956 avec une équipe stellaire à sa suite : Chet Atkins à la guitare, le bassiste Bob Moore, le pianiste Owen Bradley, le saxiste Dutch McMillin et Buddy Harman à la batterie.

All I Can Do Is Cry, a été écrit par le vétéran de « Louisiana Hayride », Wayne Walker, qui l’avait lui-même enregistré quelques mois auparavant pour ABC-Paramount.

12 décembre 1963 Hôtel de ville, Birmingham