• CinemaScope

     

     

     

    Le CinemaScope est un procédé de prise de vues et de projection qui consiste à anamorphoser (comprimer) l'image à la prise de vue, pour la désanamorphoser à la projection. Ce rapport de compression est de 2. Le CinemaScope ne désigne pas directement de format d'image, mais un procédé d'anamorphose de l'image, qui peut être utilisé en 35 mm comme en 16 mm, avec des ratios d'image différents.

     

    C'est la SMPTE qui définit les normes de la fenêtre de projection de ce qu'on appelle le Scope : CinemaScope 35 mm avec son optique. Le Scope a aujourd'hui un ratio de 2,39:1.

     

    Grâce à un objectif déformant (anamorphose), l'image est comprimée dans le sens horizontal lors de la prise de vue sur film classique ; à la projection, elle est étirée dans les mêmes proportions, ce qui permet de retrouver une image panoramique.

     

    Le dispositif optique est basé sur celui de l'Hypergonar, inventé en 1927 par le français Henri Chrétien. Il s'agit principalement d'une lentille cylindrique placée devant l'objectif primaire, sphérique.

     

    Ce n'est qu'en 1953 que la 20th Century Fox conclut un accord avec l'inventeur du procédé, Henri Chrétien et présenta la même année le premier film en CinemaScope La Tunique (The Robe) d'Henry Koster. C'était en réalité le second film tourné selon ce procédé, le premier étant Comment épouser un millionnaire. Pour des raisons commerciales, il est sorti après La Tunique. La première projection publique a eu lieu le 16 septembre 1953. Le premier dessin animé utilisant ce procédé est le court métrage de Disney Les Instruments de musique (Toot Whistle Plunk and Boom, 1953)[1], suivi ensuite par le long métrage d'animation La Belle et le Clochard (1955)[2]. Au sujet du film L'Infernale Poursuite (1956), le réalisateur Francis D. Lyon explique qu'il a apprécié ce nouveau format « plus facile pour la mise en scène et plus économique en réduisant les installations principalement pour les tournages en extérieur[3]. »

     

    Le premier film français en CinemaScope est Nouveaux Horizons de Marcel Ichac (1953), diffusé en avant-programme de La Tunique et qui tire mieux parti, par sa recherche de l'effet de profondeur via le travelling, des avantages du CinemaScope. La revue La Recherche explique ; « L'impression de profondeur disparaît dès lors que la caméra est statique ». Marcel Ichac, qui avait assisté aux États-Unis à la projection de This is Cinerama, avait tenu compte de cette particularité lorsqu'il avait tourné Nouveaux horizons. Le compte rendu de la projection de son film devant la Commission supérieure technique (CST) indiquait en effet ; « Les membres de la CST ont pu constater lors de la projection que M. Ichac avait parfaitement compris pour ce premier film l'utilisation qui peut être faite du procédé du Professeur Chrétien et qu'il a su donner aux spectateurs ce pseudo-relief obtenu par la répétition des travelling avant, travelling arrière et latéral ; les spectateurs ont en effet eu une forte impression de plans détachés, impression qui a disparu avec la projection de La Tunique (..) Beaucoup de critiques qui avaient assisté en décembre 1953 à la projection des deux films avaient remarqué en effet que La Tunique était beaucoup moins convaincant de ce point de vue. »[4]

     

    Le rapport du CinemaScope a varié depuis sa création :

     

    • À partir de 1953, le son utilisé étant magnétique, l'image utilisait toute la largeur disponible du négatif. Le rapport était de 2,55:1. Le CinemaScope avec piste optique avait lui, un rapport de 2,35:1.
    • En 1957, la SMPTE (Society of Motion Picture and Television Engineers) normalise les dimensions de la fenêtre de projection du CinemaScope à 21,31 × 18,16 mm, soit un rapport de 1,1734, donc de 2,35 après désanamorphose.
    • En 1970, l'interimage n'étant pas assez grande, la SMPTE revoit les normes et diminue légèrement la hauteur de l'image, les dimensions sont ramenées à 21,29 × 17,78 mm, soit à un rapport de à 2,39:1.
    • En 1993, les dimensions sont encore très légèrement diminuées (20,95 × 17,52 mm) mais le rapport reste à 2,39:1.

     

    Depuis, différents procédés basés sur le même principe sont utilisés, dont les plus connus sont Panavision et Technovision.

     

    • En 1954, la Paramount crée le procédé VistaVision.
    • En 1954, Développement du procédé économique Superscope, principalement exploité par le studio RKO. Ce procédé est considéré comme l'ancêtre du Super 35
    • Le Techniscope est une version économique du Superscope. A la prise de vue l'image est moins haute, le film avance de deux perforations au lieu de 4.
    • Dans les années 1960, la Shaw Brothers à Hong Kong invente son propre CinemaScope, baptisé ShawScope.
    • Dans les années 2000, Arri met au point le procédé Mscope, permettant d'utiliser des objectifs anamorphiques sur une caméra numérique prévue à cet effet, la D21.

     

    Le cinémascope : 2.55:1
    Le cinémascope est considéré comme le format qui a véritablement lancé la tendance des images panoramiques au cinéma. Seulement cinq films furent projetés dans ce format en 1953 aux États-Unis. Mais le succès fut rapidement au rendez-vous avec une quarantaine de films diffusés en 1954, et plus d’une centaine en 1955.
    Lors du tournage, une lentille anamorphique est utilisée pour comprimer l'image dans sa largeur afin de faire tenir une image panoramique sur une pellicule standard. Lors de la projection du film en salle, on utilise un projecteur doté d’une lentille anamorphique qui effectue l’opération inverse en restituant l’image dans ses proportions réelles. Ce format n’est plus utilisé aujourd’hui.

     

    Rendez-vous estival de l'Institut Lumière : les projections en plein air sont l'occasion de voir du cinéma autrement... sous les étoiles !

     

    Les 20 ans de l'été en Cinémascope !

     

    Depuis 20 ans, l'Institut Lumière propose aux Lyonnais des projections en plein air.

     

    Retrouvez en famille et entre amis l’émotion du cinéma et (re)découvrez classiques de la comédie américaine ou française, films cultes et pépites du cinéma contemporain.

     

    Au programme :

     

    - 3 juillet - soirée d'ouverture : "César et Rosalie" de Claude Sautet (VF)

     

    - 10 juillet : "Le Labyrinthe de Pan" de Guillermo Del Toro - interdit au moins de 12 ans (VOST)

     

    - 17 juillet : "Les Bas fonds" de Jean Renoir (VF)

     

    - 24 juillet : "Loin du paradis" de Todd Haynes (VOST)

     

    - 31 juillet : "La Soupe au canard" de Leo McCarey (VOST)

     

    - 7 août : "Romanzo Criminale" de Michele Placido (VOST)

     

    - 21 août : "Un éléphant ça trompe énormément" d'Yves Robert (VF)

     

    - 28 août - soirée de clôture : "Un après-midi de chien" de Sidney Lumet (VOST)

     

    Blog de elpresse : ELVIS ET LE ROCKABILLY, CinemaScope

     

     

     

    Blog de elpresse : ELVIS ET LE ROCKABILLY, CinemaScope

     

    Blog de elpresse : ELVIS ET LE ROCKABILLY, CinemaScope

     

    Blog de elpresse : ELVIS ET LE ROCKABILLY, CinemaScope

     

    The robe" (La Tunique - Henry Koster) dont le tournage avait commencé, est arrêté pour être repris en Cinemascope.Le tournage fut techniquement assez difficile, la Fox ne dispose que de trois objectifs qui par ailleurs ne sont pas adaptés au matériel utilisé entrainant des problèmes de vignettage de perte de luminosité et des problèmes de mise au point." Le procédé en lui-même présente aussi des inconvénients : avec un rapport d'anamorphose de 2 l'image projetée couvre une surface d'écran double de celle qui serait obtenue en l'absence d'anamorphose elle est donc deux fois moins nette et deux fois moins lumineuse.

     

     

     

     

     

    http://www.dailymotion.com/video/x2iqxa_la-tunique-trailer_shortfilms

     

     

     

     

     

    La première projection publique a eu lieu le 16 septembre 1953au Roxy, à New York. C'est un immense succès.qui rapportera au total près de 36 millions de dollars aux États-Unis

     

     

     

     

     

    Zanuck annonce que tous les films produits par le studio le seront désormais en Cinemascopeet en couleurs ajoutant "a ce stade du développement du Cinemascope nous devons sélectionner uniquement les scénarios qui soulignent clairement les ingrédients utiles non seulement pour l'histoire mais également pour l'exploitation du scope" Spyros Skouras déclare : "Nous voulons que le public puisse dire qu'il n'existe pas de mauvais films en Cinémascope, de même qu'il peut dire qu'il n'existe pas de mauvaises Cadillac". Le procédé originel de la Fox comportait l'écran large, l'anamorphose de l'image, un son stéréophonique 4 pistes magnétiques et un écran particulier (miracle screen). Devant les réticences des exploitants face aux coûts des investissements nécessaires seuls demeurèrent l'anamorphose et l'écran large.

     

     

     

    En 1953, aux États-Unis, cinq films sortent en Cinémascope :trois sont produits par la Fox ("La tunique" (The Robe), "Comment épouser un millionnaire"(How to Marry a Millionaire de Jean Negulesco avec Marilyn Monroe), "Tempête sous la mer" ( Beneath the 12-Mile Reef de Robert D Webb) ,un par la Metro Goldwyn Meyer ("Les chevaliers de la table ronde " Knights of the Round Table de Richard Thorpe), un par Warner Bros ("la poursuite dura 7 jours" The Command de David Butler)  
    La 20th Century Fox organise la présentation du Cinémascope au Tout Paris du cinéma et de la pressele 18 juin 1953 au Rex, c'est également au Rex, en même temps qu' au Normandie que "La tunique" commencera sa carrière le 4 décembre 1953, avec en première partie le premier film français tourné en Cinémascope, un court métrage documentaire de Marcel Ichac "Nouveaux Horizons"  
    L'adoption de ce procédé entraine pour les salles de cinéma des travaux coûteux, rapidement réalisées aux États-Unis, puis pratiquement imposées aux salles européennes, ce qui amènera d’ailleurs en France quelques polémiques anti-américaines. Fin 1955, plus de 25 000 salles dans le monde sont équipées pour projeter en Cinémascope. D'autres techniques concurrentes verront le jour comme la Vistavision, le Warnerscope, le Superscope mais sans connaître le succès du Cinemascope.  

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  • DAN COOPER /

     

     est un personnage de bande dessinée créé en 1954 par Albert Weinberg (scénariste et dessinateur), héros de la série Les Aventures de Dan Cooper.

     

    Le héros canadien Dan Cooper est l'archétype du pilote de chasse héroïque, courageux et juste, qui vit des aventures aériennes aux commandes des appareils les plus divers : avions de chasse (Lockheed F-104 Starfighter), prototypes futuristes, vaisseaux spatiaux imaginaires ou réels, tels les capsules Mercury, Gemini ou Apollo.

     

    LES ALBUMS

     

    1. Le Triangle bleu
    2. Le Maître du Soleil
    3. Le Mur du Silence
    4. Opération Jupiter
    5. Cap sur Mars
    6. Duel dans le Ciel
    7. Coup d'audace
    8. L'Escadrille des Jaguars
    9. Trois Cosmonautes
    10. Acrobates du Ciel
    11. Tigres de Mer
    12. Le Mystère des Soucoupes volantes
    13. Le Secret de Dan Cooper
    14. Fantôme 3 ne répond plus
    15. Panique à Cap Kennedy
    16. Les Hommes aux Ailes d'Or
    17. S.O.S. dans l'Espace
    18. Ciel de Norvège
    19. Les Pilotes perdus
    20. Appolo, appelle Soyouz
    21. L'Affaire Minos

    22. Objectif Jumbo
    23. Crash dans le 135
    24. Azimuth zéro
    25. Le Canon de l'Espace
    26. Opération Kosmos 990
    27. Programme F-18
    28. F-111 en Péril
    29. L'Aviatrice sans Nom
    30. Pilotes sans Uniforme
    31. Navette Spatiale
    32. Viking Connection
    33. Target
    34. Silver Fox
    35. Dragon Lady
    36. L'Avion Invisible
    37. La Vrille
    38. Pilotes fantômes
    39. L'Otage du Clémenceau
    40. Alerte sur le "Clem"
    41. L'Oeil du Tigre

     

     

     

    Créé dans Tintin en novembre 1954. Concurrentes directes du Buck Danny de Spirou, les aventures aériennes du Major Cooper se recentreront vers le fantastique et la science-fiction.
    Les 5 premiers tomes sont parus dans la "Collection du Lombard".

    Pour reconnaitre les EO des tomes 8 à 18 bien regarder le catalogue au 4ème plat, les dépôts légaux restant souvent inchangés pour les rééditions.

    Les tomes 24, 25 et 26 sont édités par Fleurus/Edi-3.

    Les tomes 27 à 36 sont édités par Novedi et Hachette.

     

    http://www.bdoubliees.com/journaltintin/series2/dancooper.htm

     

    Biographie

     

    de A.Weinberg

     

    Scénariste à ses débuts pour certains auteurs de BD, comme Cuvelier, Hubinon, Will et Hergé notamment pour, en partie, On a marché sur la lune. Albert Weinberg s'associe à Charlier et Hubinon pour réaliser l'album Tarawa dans lequel il dessine. Il entre par la suite aux Editions du Lombard où il dessine de nombreuses histoires complètes pour le journal Tintin.

     

     

     

    Elles seront le tremplin du Triangle Bleu un jet piloté par un jeune aviateur canadien Dan Cooper. C'était en 1954, Albert Weinberg venait de donner vie à son personnage, celui auquel il s'est identifié dans plus de 2 000 planches rassemblées en 41 albums. Traduites en plusieurs langues et tirées à des millions d'exemplaires, les aventures supersoniques du major Dan Cooper ont mené le canadien aux quatre coins du monde... autant que son créateur.

     

     

     

    En effet depuis plus de 30 ans, Weinberg s'imprègne de la vie de son héros. Il visite et séjourne sur les bases aériennes ; filme, dessine, interroge les pilotes et vole dans certains de leurs jet. Plongée en sous marin, séjour sur porte-hélicoptères, sur porte-avions, ou vols paisibles en ballon, Weinberg touche à tout en s'intéressant autant aux détails des tableaux de bord qu'aux badges ornant les combinaisons de vol.

     

     

     

    La plus grande satisfaction d'Albert Weinberg : Dan Cooper, considéré par les pilotes canadiens comme un des leurs occupe une place honorifique au Musée de l'Air d'Edmonton, le célèbre "Hall Of Fame" du Canada.

     

    (Tiré du site Dargaud)

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • NARVEL FELTS /

     

    Il est né le 11 novembre 1938 à KEISER dans l ARKANSAS et à grandit principalement à BERNIE (MISSOURI) . Il est vite interrésse par la musique et va acquérir sa premiere guitare contre un pistolet lui appartenant . Puis va travailler dans les champs de coton pour pouvoir s'offrir sa 2e guitare et démarrer une carrière si cela lui est possible .Il est vite attirer par le style de la MAISON SUN (ELVIS -PERKINS ETC) . A l'école secondaire , il remporte un concours de jeunes talents en interprétant BLUE SUEDE SHOES de CARL PERKINS ; ce qui lui vaut d'entrer au sein des Rhythm And Blues Boys de JERRY MERCIER  en juillet 1956 . Il prend la tête du groupe en juillet 1956  rebaptisé NARVEL FELTS AND THE ROCKETS . Lors d'un crochet ou FELTS chante BABY LET S PLAY HOUSE d ELVIS ,  le groupe va se faire remarquer par un D.J local , qui quelques jours apres va "balancer" à l'antenne que si NARVEL est à l'écoute , qu'il contacte KDEX immédiatement . C est ce qu'il fait et décroche un petit show à la RADIO KDEX , à Dexter dans le Missouri . Il est alors aussi remarqué par ROY ORBISON (voir bio sur blog) , qui le fait auditionner chez SUN (son reve) , mais SAM PHILLIPS , a beaucoup de travail et de vedette a lancer et des moyens restreints ; pour NAVEL cela traine trop . Avec l'aide de ROY , il va signer chez MERCURY . Il sort un 1er single en juillet 1957 FOOLISH THOUGHTS - KISS A ME BABY (MERCURY 71140X45) de tres bon niveau , deux rocks bien trempés , avec un style et un vocal bien à lui et de grande classe . En septembre 57 sort un 2e opus (MERCURY 71190X45) CRY BABY CRY - LONESOME FEELING ou l'on sent tres bien l'influence SUN . JANVIER 1958 , il s'essaye à l'instrumental sur un 3e single (MERCURY 71249X45) ROCKET RIDE -DREAMWOLRD . AOUT 1958  , va sortir son dernier disque chez MERCURY (drame de plus ou beaucoup ne perce pas vraiment- marché dur -style qui change -etc etc???) VADA LOU -LITTLE GIRL STEP THIS WAY , moin rockabilly , plus commercial mais rien y fait , cela reste insuffisant pour LA FIRME . Il va ensuite signer pour plusieurs LABELS (PINK -ACTION -STARLINE -RENAY -GROOVE) , "offrant des titres plus que respectable assez stylé  rock sixties . Les années 60 passent tant bien que mal et va terminer la decennie en se dirigeant vers la COUNTRY - voir la COUNTRY AND WESTERN . Il va avoir dans les 70 des titres qui deviendront celebres , il entrera dans les charts COUNTRY :  All In The Name of Love (# 13), Reconsider Me en 1975 (#2), Funny How Time Slips Away (# 12), Somebody Holm Me (# 10),etc. Lonely Teardrops de Jacky Wilson sera repris par Narvelt Felts en 1976 et obtiendra la 5e place dans les charts aux États-Unis.

     

    En 1974, DOLLY PARTON qui l‘avait entendu sur son auto-radio fera la confidence suivante : « lorsque j’ai entendu cette voix incrédule depuis ma voiture, je n’en croyais pas mes oreilles. Il est maintenant l’un de mes favoris ». En 1988, jerry lee lewis dira de lui : « Narvel est l'un des plus grand chanteur dans le monde ». charlie feathers en 1990 dira à peu près la même chose. En 1992 george albert , éditeur en chef de Cashbox soutiendra la phrase suivante : « un personnage aussi talentueux de ses  50 dernières années ». ( Jukebox Magazine, juin 2002) .Il se met à refaire du ROCKABILLY en GUEST STAR de show  depuis 2001 plus regulierement  notamment .

     

    MERCI A LUI D EXISTER

     

    ET QUE DIEU NOUS LE PRESERVE .

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    NARVEL FELTS

    NARVEL FELTS

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • ALL ABOUT EVE /

     

    On continu avec le cinema avec un chez d oeuvre de 1950 .

     

    ALL ABOUT EVE . DE SON TITRE FRANCAIS

     

    EVE

     

    Fiche technique

     

    • Titre : Eve
    • Titre original : All about Eve
    • Réalisation : Joseph L. Mankiewicz
    • Scénario : Joseph L. Mankiewicz (d'après une histoire de Mary Orr, The Wisdom of Eve, parue dans le magazine Cosmopolitan de mai 1946, non mentionné au générique)
    • Production : Darryl F. Zanuck pour 20th Century Fox
    • Photographie : Milton Krasner
    • Musique : Alfred Newman, Franz Liszt (Liebestraum)
    • Montage : Barbara McLean
    • Décors : Thomas Little et Walter M. Scott
    • Costumes : Charles LeMaire et Edith Head (pour Bette Davis)
    • Son : W.D. Flick, Roger Heman
    • Pays : États-Unis États-Unis
    • Tournage : du 10 avril au 7 juin 1950
    • Format : Noir et blanc - Mono (Western Electric Recording)
    • Budget : 1,4 millions de dollars
    • Box-office : États-Unis États-Unis : 2,9 millions de dollars
    • Durée : 138 minutes
    • Date de la sortie :
      • États-Unis États-Unis : 13 octobre 1950
      • France France : 27 avril 1951

        Distribution

        Bette Davis (Margo Channing)
        Anne Baxter (Eve Harrington)
        George Sanders (Addison DeWitt)
        Celeste Holm (Karen Richards)
        Gary Merrill (Bill Sampson)
        Hugh Marlowe (Lloyd Richards)
        Gregory Ratoff (Max Fabian)
        Barbara Bates (Phoebe)
        Marilyn Monroe (Miss Casswell)
        Thelma Ritter (Birdie Coonan)
        Walter Hampden (l'acteur âgé)
        Randy Stuart (la fille)
        Craig Hill (l'acteur)
        Leland Harris (le portier)
        Barbara White (la fille aux autographes)
        Eddie Fisher (le chanteur)
        William Pullen (l'employé)
        Claude Stroud (le pianiste)
        Eugene Borden (le Français)
        Helen Mowery (la journaliste)
        Steve Geray (le responsable des serveurs)
        Bess Flowers  
        Stanley Orr

     

     

     

     

     

     

     

     

    PETIT RESUME

     

    Le prix Sarah Siddons va être attribué à la meilleure actrice de théâtre de l'année. Ève Harrington le gagne et toute l'assemblée l'applaudit, sauf deux femmes. Le film est un long flashback qui nous apprend tout sur Ève.

     

    La légende de la scène théâtrale new-yorkaise, Margo Channing, reçoit dans sa loge une admiratrice, Ève, qui est venue à chaque représentation de la pièce en cours. Le fiancé de Margo, Bill Sampson, metteur en scène de la pièce, part le soir même travailler à Hollywood pour plusieurs semaines. Apitoyée par le destin tragique d'Ève, Margo la prend sous son aile comme secrétaire particulière. De fil en aiguille, Ève prend de plus en plus d'importance en devenant à la fois la sœur, la mère, l'amie, l'avocat et la gardienne de Margo. Au retour de Bill éclate la première scène de jalousie de Margo car celui-là l'a négligée et s'est d'abord occupé d'Ève.

     

    Une prochaine pièce est en préparation et Margo est évidemment pressentie pour le rôle principal malgré le fait qu'il s'agisse d'une femme d'une vingtaine d'années alors que Margo a 40 ans. Ève, envieuse d'un succès semblable à celui de son idole Margo, réussit à remplacer sa doublure. Elle arrive à ses fins en allant donner la réplique à une jeune actrice lors d'une audition: on ne remarque qu'elle. Elle place ses pions, patiemment.

     

    Comme Margo devient de plus en plus insupportable en raison de sa jalousie, sa meilleure amie Karen Richards, femme de Lloyd, auteur des pièces de théâtre interprétées par Margo, décide de lui jouer un tour. Au retour d'un week-end, Margo rate son train – pas par accident –, et ne peut pas jouer au théâtre. Ève la remplace. La presse est présente ce soir-là et, le lendemain dans les journaux, fait presque un triomphe à Ève. En particulier le redouté critique Addison DeWitt, qui publie une interview d'Ève critiquant ces actrices plus âgées qui continuent à vouloir se cantonner dans des rôles de jeunes premières.

     

    Des liens se créent entre Ève et DeWitt pendant que d'autres se désagrègent, entre Margo et Ève. Margo et Bill annoncent qu'ils vont se marier. Une sorte de chantage permet à Ève d'obtenir le rôle principal dans la nouvelle pièce de Lloyd. Ève fait ensuite tomber celui-ci dans ses griffes et informe même DeWitt qu'ils vont se marier. DeWitt, fasciné par Ève et soucieux de conserver l'influence qu'il a sur sa carrière, lui fait renoncer à ses projets. Quelques heures avant la grande première, il lui fait comprendre qu'elle lui appartient, elle et sa carrière, qui ne font plus qu'une, car il a découvert des informations sur son passé et exerce un chantage à son tour.

     

    Ève gagne le prix Sarah Siddons. Ce même soir, elle découvre chez elle une jeune actrice et admiratrice ; celle-ci commence à s'occuper des affaires d'Ève...

     

     

     

    Au commencement était une nouvelle parue dans Cosmopolitan en 1946, dont le titre est The Wisdom of Eve (La Sagesse d’Eve). (1) Son auteur, Mary Orr, est une jeune comédienne dont le mari, Paul Czinner, est à cette époque le metteur en scène d’une pièce intitulée The Two Mrs. Carrolls. Au cours d’un week-end à la campagne que le couple passe chez Elisabeth Bergner, l’orageuse star de la pièce (surnommée « la Garbo de la scène »), Mary apprend les mésaventures survenues à cause de la doublure de Bergner, qui aurait tenté de prendre non seulement son rôle, mais son mari ! Mary Orr, sans trop y croire cependant, couche l’histoire sur le papier en quatre jours, mais trois ans se passeront sans que cette histoire éveille le moindre intérêt de la part des studios de cinéma. En 1949, une mauvaise passe financière la pousse à écrire une dramatisation de The Wisdom of Eve pour la radio, et c’est probablement cette diffusion qui finira par accrocher l’oreille d’un responsable de la Fox...

    Joseph L. Mankiewicz, aussitôt la nouvelle en main, commence à la réécrire, sous le titre de travail de Best performance (Meilleure performance). Ses apports nombreux, tant au niveau des personnages que de la dramaturgie et, plus que tout, des dialogues (sa spécialité reconnue), ne peuvent rien au fait que l’intrigue conserve largement la trame de celle de Mary Orr, qui ne sera pourtant jamais créditée (si ce n’est lors de la publication du scénario, « d’après une histoire de.. »). Le choix des interprètes est également mené tambour battant, et Claudette Colbert, âgée alors de 47 ans et star « maison », est choisie pour le rôle de Margo Channing. La rupture d’un disque vertébral, au cours du tournage de Three Came Home de Jean Negulesco l’empêchera de tenir le rôle, qui est proposé à Bette Davis. Même longtemps après que les larmes amères de Colbert ait séché, Mankiewicz exprimera des regrets de n’avoir pu travailler avec elle, pensant qu’elle aurait pu apporter davantage d’authenticité au rôle : selon lui, Davis n’avait tout simplement jamais paru jeune (ce qui n’est pas tout à fait faux). Ce changement, en tout cas, donne une toute autre crédibilité au personnage de star capricieuse et flamboyante de Margo, et est à l’origine de la renaissance de la carrière de Bette Davis, qui depuis deux ans était entrée dans le purgatoire des acteurs qui cessent d’être rentables (« Je pensais être finie à 41 ans. Puis vint Margo Channing. »)

    Le tournage débute sous les meilleurs auspices : quelques semaines auparavant, Mankiewicz a remporté les Oscars du Meilleur Réalisateur et du Meilleur Scénario pour Chaînes conjugales (A Letter to Three Wives), et Darryl F. Zanuck, s’asseyant pour une fois sur son orgueil, a mis un terme à sa querelle de neuf ans avec Bette Davis pour la convaincre de participer au film. Le caractère de la star est tellement souple et conciliant que tout le monde sur le plateau s’étonne : où est le dragon craint partout ailleurs ? Bette Davis n’a en effet trouvé sur Eve que des sources de satisfaction : le scénario est, de l’avis de tous, fabuleux (de toute sa collection de scripts, c’est celui qui porte le moins d’annotations de la main de Davis), Mankiewicz, en réalisateur très attentif au bien-être de ses acteurs (et surtout de ses actrices), est respecté de tous, … et pour ne rien gâter, Davis et Gary Merrill (qui joue Bill Sampson, le compagnon de Margo), bien que tous deux mariés ailleurs, s’éprennent immédiatement l’un de l’autre. Ce sera pour tous, de leur propre aveu, une expérience épanouissante et sereine, malgré les tentatives de la presse de faire mousser la publicité autour d’une hypothétique rivalité entre Bette Davis et Anne Baxter. En fait, les deux femmes devinrent très proches, alors que Davis ne supportait absolument pas Celeste Holm, censée jouer la meilleure amie de Margo.

     

    DVD

     

     

     

    FPE (Fox) - Cinéma Référence
    133 mn
    Zone 2
    DVD 9
    Chapîtrage fixe et muet
    Format cinéma : 1.37 : 1
    Format vidéo
    : 4/3
    Langues : Anglais Stéréo / Anglais Mono Français Mono
    Sous titres : Anglais, Français, Hollandais

     

    Editeur 20th Century Fox Home Entertainment (Paris)
    Distributeur Fox Pathé Europa (Paris)
    Annee 2006
    Format DVD - ZONE 2 (Europe/Japon)
    Collection CinémaRéférence
    Pays France
    Nb/coul. Noir et Blanc
    Durée 133 minutes

     

    +EXCELLENT BONUS

     

    Commentaire audio de Celeste Holm, Christopher Mankiewicz et Kenneth Geist

     

    Commentaire audio de Sam Staggs

     

    Documentaires :
    Dans les coulisses d’Eve (Backstory - Foxstar Productions / American Movie Classics) (24 min) : des zooms fatiguants rythmant des images d’archive et des extraits du film, autour d’un historique de l’élaboration du film. Quelques anecdotes intéressantes noyées dans un récapitulatif assez convenu.

    Interview de Bette Davis dans le magazine Newsweek (1’12’’) : petit module promotionnel où Bette Davis débite essentiellement des tirades qui sont celles d’Addison dans le film, afin de caractériser Eve.

    Interview d’Anne Baxter dans le magazine Woman’s home companion (1’17’’) : tout aussi artificiel que le précédent, mais au moins les réponses d’Anne Baxter ne sont pas calquées sur les dialogues du film !

    Fox Movietone News : extraits de brèves d’actualité de l’époque :
    1951, Oscar de la meilleure mise en scène (2’23’’)
    1951, Hollywood se rend au gala de l’avant-première d'Eve (1’49’’)
    Prix Holiday Magazine (2’43’’)
    Prix Look Magazine (1’36’’)
    Totalement anecdotiques, mais présentent l’intérêt de nous montrer brièvement les protagonistes de l’histoire ailleurs que sur un plateau de cinéma. On pourra s’amuser de voir George Sanders arriver à l’avant-première d’Eve au bras de sa femme Sari (future Zsa-Zsa) Gabor, encore brune à l’époque.

    Bande-annonce cinéma : il s’agit en fait du module promotionnel pour Newsweek, plus des bouts de scènes du film. Son état de dégradation (noir et blanc charbonneux, salissures, manque de définition) permet de mieux mesurer les progrès apportés par la restauration. InstanceEndEditable -->

     

    palmares :

     

    Meilleur film, 1951 au BAFTA - The British Academy of Film and Television Arts

     

    • Meilleur film, 1951 au Academy of Motion Picture Arts and Sciences
    • Meilleur film non-Européen, 1952 au Bodil Festival
    • Meilleur film, 1951 au New York Film Critics Circle Awards
    • Meilleur film étranger, 1952 au Kinema Junpo Awards

     

     

     

    Dates de tournage

     

    Début : 10 avril 1950
    Fin : 07 juin 1950

     

    Lieux de tournage

     

    • Etats-Unis : Curran Theater, San Francisco (Californie)
    • Etats-Unis : Manhattan, New York (New York)
    • Etats-Unis : New Haven (Connecticut)
    • Etats-Unis : New York (New York)
    • Etats-Unis : San Francisco (Californie)
    • Etats-Unis : Shubert Theater, New Haven (Connecticut)
    • Etats-Unis : Université de Yale, New Haven (Connecticut
    • Le film a été produit par Darryl F. Zanuck.
    • Le prix Sarah Siddons a été inventé pour les besoins du film mais des fous de théâtre de Chicago ont créé un prix du même nom en 1952 pour célébrer des acteurs venus sur les planches de cette ville. Sarah Siddons, elle, a bel et bien existé. Il s'agit d'une comédienne britannique née en 1755. Elle était considérée comme la plus grande tragédienne du XVIIIe siècle. Celeste Holm a gagné le prix 1967-1968. Bette Davis, bien que n'étant jamais montée sur les planches à Chicago, l'a reçu en 1973 de manière honorifique.
    • Bette Davis à propos d’Ève : « Dès le premier tour de manivelle aucun film ne me donna autant de satisfaction… Ce fut un grand film, dirigé par un grand metteur en scène, avec une distribution idéale… Après la projection, je pus dire à Joe (Joseph Mankiewicz), qu’il m’avait ressuscitée. »
    • Bette Davis et Gary Merrill sont tombés amoureux l'un(e) de l'autre pendant le tournage et se sont mariés en juillet 1950. Ils sont restés mariés pendant 10 ans.
    • Les critiques s'écoutent parler : le critique de théâtre DeWitt, lorsqu'il se présente au spectateur, indique « I am a critic and commentator. I am essential to the theater » (« Je suis critique et commentateur. Je suis essentiel au théâtre »).
    • Film référentiel : sont nommés dans le film les vraies personnalités de l'industrie du cinéma suivantes (chronologiquement) : Darryl F. Zanuck (producteur de Ève), Constantin Stanislavski (auteur de La Méthode), Tyrone Power, Gregory Peck, Cecil B. DeMille, Clark Gable (il y a dans l'histoire un jeu de mot avec un manteau de zibeline, sable en anglais ; en français, on a utilisé Errol Flynn), Barbara Stanwyck, Susan Hayward. Le dramaturge Arthur Miller (futur mari de Marilyn Monroe) est également mentionné.
    • « A great actress at the peak of her career. You have every reason for happiness! - Except happiness » (« Une grande actrice au sommet de sa carrière. Tu as tout pour être heureuse ! - Sauf le bonheur »), ces paroles entre Bill et Margo pourraient tout à fait concerner Marilyn Monroe, certes plus tard dans sa carrière.

      Il s'agit du 7e film de Marilyn Monroe où elle se situe en 9e position du générique, à savoir un tout petit rôle :

      • apparition à la 43e minute au bras du critique DeWitt à une fête : elle est une starlette et rêve de se réaliser sur une scène de théâtre. Comme elle parle trop vite et sans réfléchir, vexant DeWitt, celui-ci l'envoie vers le producteur de théâtre Fabian, en n'oubliant pas de dénuder auparavant ses épaules...
      • Toujours à la fête, plusieurs personnes sont assises dans l'escalier et discutent. Marilyn se fait servir un verre par Fabian. DeWitt lui adresse alors un commentaire (finalement autant pour Miss Caswell que pour Marilyn) : « Well done. I can see your career rising in the east like the sun » (« Bien joué. Je vois ta carrière monter tel un soleil levant »). On apprend qu'elle a obtenu une audition.
      • Quelques semaines plus tard : après l'audition, Marilyn a dû aller se remettre de ses émotions aux toilettes. À noter qu'elle porte dans cette scène le même pull-over que dans The Fireball (1950) et Home Town Story (1951).

      Elle aura joué avec les acteurs suivants dans Ève et

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    http://www.abovethelaw.com/images/entries/All%20About%20Eve%202%20Linda%20Greenhouse%20Jan%20Crawford%20Greenburg%20Jan%20Greenburg%20Jan%20Greenberg%20Jan%20Crawford%20Greenberg%20Above%20the%20Law.JPG

     

    http://www.youtube.com/watch?v=vnr3AMCmJ3A

     

    http://www.youtube.com/watch?v=fA0f5ulhZ_Y

     

    http://www.youtube.com/watch?v=Eg-ckMup6SI

     

    http://www.youtube.com/watch?v=u3IONdE15vQ

     

     

     

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  • platters

     

     

     

     

     

    Formé à Los Angeles en 1952, le groupe part pour Chicago rejoindre l'écurie de Samuel "Buck" Ram, impressario qui écrira un grand nombre de chansons pour les Platters. En 1953, le line-up du groupe se fixe sur Tony Williams, chanteur soliste, David Lynch, Herb Reed, et Alex Hodge. Ils enregistrent une première version d'Only You qui ne verra pas le jour. Les premiers disques qu'ils publient ne rencontrent que peu d'écho. Buck Ram engage alors la chanteuse Zola Taylor et Hodge, emprisonné, est remplacé par Paul Robi. Ram réussit à leur faire signer un contrat chez Mercury Records en même temps que les Penguins dont il s'occupe également. Lors de leur première séance d'enregistrement, personne ne veut de la chanson Only You. C'est Buck Ram qui remplace le pianiste qui est rentré chez lui. Elle devient pourtant un très gros tube de l'année 1955, se classant pendant sept semaines en tête des charts rhythm and blues, et n°5 des classements tous publics. Le disque suivant, The Great Pretender, la surpasse pourtant, en atteignant la première place de ces deux classements. Les années 1956 à 1959 seront bercées par leurs succès : (You've Got) The Magic Touch, My Prayer, Twilight Time, Smoke Gets In Your Eyes (enregistrée à Paris) ou Harbor Lights "squattent" les premières places des hit-parades. Ils se produisent dans des stades, tournent dans le monde entier, et apparaissent fréquemment à la télévision.

     

    Parallèlement, les Platters apparaissent au cinéma dans Rock Around The Clock, La Blonde et moi, Carnival Rock, Girls Town et Europpa di Notte.

     

    A partir de 1960, la formule commence à lasser, et ils ne rencontrent plus autant de succès. Tony Wiliams quitte le groupe en 1961, remplacé par Charles "Sonny" Turner, puis Zola Taylor et Paul Robi s'en vont à leur tour. Ayant quitté Mercury pour Musicor, ils décrochent un dernier tube grâce à Luther Dixon en 1967 avec With This Ring.

     

    La fin des Platters sombre dans le pathétique. Dans les années 1970, les anciens membres divisés tournent chacun avec leur version du groupe. Buck Ram réenregistre leurs anciens succès en 1993 avec une nouvelle formation. Enfin, Tony Williams, Paul Robi et Buck Ram s'attaquent en justice pour les droits d'auteurs.

     

    Côté récompenses, ils reçoivent en 1962 l'Award des meilleures ventes pour l'album Encore Of Golden Hits, et intègrent le Rock and Roll Hall of Fame en 1990.

     

    Les chansons Only You et The Great Pretender sont aujourd'hui devenues des classiques, qui continuent de passer régulièrement à la radio, et qui ont fait l'objet de nombreuses reprises, dont une très célèbre par Freddie Mercury.

     

     

     

    discographie

     

    11/53 Federal 12153 Give Thanks
    11/53 Federal 12153 Hey
    1/54 Federal 12164 I'll Cry When You're Gone
    11/53 Federal 12164 I Need You All The Time
    5/54 Federal 12181 Roses of Picardy
    11/53 Federal 12181 Beer Barrel Boogie
    0/54 Federal 12188 Tell The World
    11/53 Federal 12188 Love All Night
    10/54 Federal 12198 Shake It Up Mambo
    11/53 Federal 12198 Voo-Vee-Ah-Bee
    12/54 Federal 12204 Take Me Back, Take Me Back
    11/53 Federal 12204 Maggie Doesn't Work Here Anymore
    2/55 King 4773 Please Have Mercyw/ Linda Hayes
    1/2/55 King 4773 Oochi Pachiw/ Linda Hayes
    11/55 Mercury 70633 Only You
    11/55 Mercury 70633 Bark, Battle and Ball
    11/55 Mercury 70753 The Great Pretender
    11/55 Mercury 70753 I'm Just A Dancing Partner
    12/55 Federal 12244 Only You
    12/55 Federal 12244 You Made Me Cry
    12/55 Federal 12250 Tell The World
    12/55 Federal 12250 I Need You All The Time
    2/56 Mercury 70819 The Magic Touch
    2/56 Mercury 70819 Winner Take All
    2/56 Mercury 70893 My Prayer
    2/56 Mercury 70893 Heaven On Earth
    2/56 Mercury 70948 You'll Never Know
    2/56 Mercury 70948 It Isn't Right
    0/56 Federal 12271 Give Thanks
    0/56 Federal 12271 I Need You All The Time
    1/56 Mercury 70911 One In A Million
    1/56 Mercury 71011 On My Work Of Honor
    0/57 Mercury 71032 I'm Sorry
    0/57 Mercury 71032 He's Mine
    0/57 Mercury 71093 My Dream
    0/57 Mercury 71093 I Wanna
    0/57 Mercury 71184 Only Becauset
    0/57 Mercury 71184 The Mystery of You
    2/57 Mercury 71246 Helpless
    2/57 Mercury 71246 Indeff'rent
    0/58 Mercury 71289 Twilight Time
    0/58 Mercury 71289 Out Of My Mind
    0/58 Mercury 71320 You're Making a Mistake
    0/58 Mercury 71320 My Old Flame
    9/58 Mercury 30075 Twilight Time
    9/58 Mercury 30075 For The First Time
    0/58 Mercury 71535 I Wish
    0/58 Mercury 71535 It's Raining Outside
    0/58 Mercury 71383 Smoke Gets In Your Eyes
    0/58 Mercury 71383 No Matter What You Are
    2/59 Mercury 71427 Enchanted
    2/59 Mercury 71427 The Sound and the Fury
    5/59 Mercury 71426 Remember When
    5/59 Mercury 71426 Love of a Lifetime
    9/59 Mercury 71502 Wish It Were Me
    9/59 Mercury 71502 Where
    11/59 Mercury 71538 What Does It Matter
    11/59 Mercury 71538 My Secret
    1/60 Mercury 71563 Harbor Lights
    1/60 Mercury 71563 Sleepy Lagoon
    5/60 Mercury 71624 Ebb Tide
    5/60 Mercury 71624 Apple Blossom Home
    8/60 Mercury 71656 Red Sails In The Sunset
    8/60 Mercury 71656 Sad River
    10/60 Mercury 71697 To Each His Own
    10/60 Mercury 71697 Down The River of Golden Dreams
    1/61 Mercury 71749 If I Didn't Care
    1/61 Mercury 71749 True Lover
    3/61 Mercury 71791 Trees
    3/61 Mercury 71791 Please Have Mercyw/ Linda Hayes
    7/61 Mercury 71847 I'll Never Smile Again
    7/61 Mercury 71847 You Don't Say
    11/61 Mercury 71904 Song For The Lonely
    11/61 Mercury 71904 You'll Never Know
    1/62 Mercury 71921 It's Magic
    1/62 Mercury 71921 Reaching For a Star
    0/62 Mercury 71986 More than You Know
    0/62 Mercury 71986 Every Little Moment
    11/62 Mercury 72060 Memories
    11/62 Mercury 72060 Heartbreak
    0/63 Mercury 72107 I'll See You In My Dreams
    0/63 Mercury 72107 Once In A While
    2/64 Mercury 72242 Jave Jive
    2/64 Mercury 72242 Row That Boat Ashore
    6/64 Mercury 72305 Sincerely
    6/64 Mercury 72305 P.S. I Love You
    0/64 Mercury 72359 Love Me Tender
    0/64 Mercury 72359 Little Things Mean A Lot
    0/65 Entree 107 Won't You Be My Friend
    0/65 Entree 107 Run While It's Dark
    4/66 Musicor 1166 I Love You 1000 Times
    4/66 Musicor 1166 Don't Hear, Speak, See No Evil
    8/66 Musicor 1195 Devri
    8/66 Musicor 1195 Alone in the Night
    11/66 Musicor 1211 I'll Be Home
    11/66 Musicor 1211 The Magic Touch
    2/67 Musicor 1229 With This Ring
    2/67 Musicor 1229 If I Had A Love
    6/67 Musicor 1251 Washed Ashore
    6/67 Musicor 1251 What Name Shall I Give You
    10/67 Musicor 1275 Sweet, Sweet Lovin
    10/67 Musicor 1275 Sonata
    0/68 Musicor 1288 Love Must Go On
    0/68 Musicor 1288 How Beautiful Our Love Is
    0/68 Musicor 1302 So Many Tears
    0/68 Musicor 1302 Think Before You Walk Away
    7/68 Musicor 1322 Hard To Get a Thing Called Love
    7/68 Musicor 1322 Why
    0/68 Musicor 1341 Fear Of Loving You
    0/68 Musicor 1341 Sonata

     

     Membres du groupe

     

    • Tony Williams (1928-1992), ténor soliste
    • David Lynch (1929-1981), ténor
    • Herb Reed (1931-), basse
    • Paul Robi (1931-1989), baryton
    • Zola Taylor (1934-2007), contralto
    • Joe Jefferson

     

    • Alex Hodge
    • Gaynel Hodge
    • Charles "Sonny" Turner
    • Helen Williams
    • Sandra Dawn
    • Nate Nelson

     

     

     

    Albums

     

    • 1956 : The Flying Platters, EP
    • 1957 : The Platters
    • 1958 : Twlilight Time, EP
    • 1958 : The Flying Platters Around The World
    • 1959 : Remember When
    • 1960 : Reflection
    • 1961 : Encore Of Broadway Golden Hits
    • 1964 : Encore Of Golden Hits Of The Groups
    • 1965 : Tenth Anniversary Album

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    THE PLATTERS

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  • FREEMAN HOVER /

     

    Deces de FREEMAN HOVER en fevrier 2009 , RADIO D.J entres autres , qui quelques interview tres rare de certaines icones du rock n roll .

     

    Ne le 1er MARS 1929 à ANN ARBOR près de son domicile à PLYMOUTH (michigan) . En 1947 il est diplomé du secondaire . 1951 , il obtient un baccalaureat des arts à DENVER , puis début 60 un  master degrée de l'université du Colorado . Il entre pour deux ans à l US air force (dans l'information) et terminera sous lieutenant . Hover travaille comme D.J dans CHAUDRON - NEBRASKA -WILLISTON -PHOENIX ....Il a enseigné le journalisme à AJO en ARIZONA et plus tard à RINCON (TUCSON) jusqu à sa retraite .A RINCON grace à lui , il y a une reconnaissance nationale . Il a recut plusieurs prix , dans le journalisme , a siégé à des conseils d'administrations , nommé comme professeur de musées ,c'est occupé de l'histoire aussi , des arts etc etc....

     

    DANS LES ANNEES 50 IL A INTERVIEWE BUDDY HOLLY LE 2 NOVEMBRE 1957 ? FAIT ASSEZ RARISSIME - ONA PEU DE DOCUMENT PARLE DE LUI .

     

    IL  EN A AUSSI FAIT D EDDIE COCHRAN - JIMMY BOWEN ET QUELQUES AUTRES MAIS PAS REPERTORIE .

     

    merci a lui que dieu le garde

     

     

     

    http://www.youtube.com/watch?v=VdFAPQlYRY8

     

     

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