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Par dyloke le 22 Avril 2014 à 09:22
Terre sans pardon
(Three Violent People)
Année : 1957
Pays : États-Unis
Genre : Western
Réalisé par : Rudolph Maté
Avec : Anne Baxter, Charlton Heston, Tom Tryon, Gilbert Roland, Forrest Tucker, Elaine Stritch, Bruce Bennett, Barton MacLane, Peter Hansen
Montage : Alma Macrorie
Photographie : Loyal Griggs
Scénario : James Edward Grant
D'après : Leonard Praskins, Barney Slater
Musique : Walter Scharf
Costumes : Edith Head
Maquillage : Wally Westmore
Création des décors : Fay Babcock, Sam Comer
Direction artistique : A. Earl Hedrick , Hal Pereira
Produit par : Hugh Brown
Studios de production : Paramount Pictures
Durée : 95 min
Format d'image : 1.85:1
Couleur : Couleur
Quelques semaines après la sortie de Drango (Le Pays de la haine) réalisé par Hall Bartlett, voici à nouveau un western ayant pour toile de fond une période qui a immédiatement suivi la Guerre de Sécession, celle dite de la "reconstruction". Une ère heureusement de courte durée au cours de laquelle, après la mort de Lincoln, un gouvernement provisoire s’est installé et a envoyé des carpetbaggers essayer de s’approprier toutes les terres des ex-Confédérés en pressant ces derniers avec des taxes colossales dont il était quasiment impossible de s’acquitter. Three Violent People est le dernier des six westerns signés par Rudolph Maté. On peut désormais affirmer preuves à l’appui que cet immense chef opérateur n’aura pas spécialement brillé en tant que réalisateur, tout du moins dans le genre ; on se souviendra de lui surtout grâce au film noir. Néanmoins, il ne nous aura pas moins délivré quelques plaisants westerns à commencer par son premier essai, Marqué au fer (Branded) avec Alan Ladd, mais aussi, toujours dans le drame westernien familial et psychologique, peut-être sa plus belle réussite, Le Souffle de la violence (The Violent Men) avec Glenn Ford. Dans le domaine du western fantaisiste, les plutôt bien rythmés Siège de la rivière rouge (Siege at Red River) avec Van Johnson et surtout Années sauvages (The Rawhide Years) avec Tony Curtis, nous auront également grandement divertis. Un cursus finalement pas désagréable si ce n’est mémorable, simplement "gâché" par un western d’aventure sans souffle et totalement raté, Horizons lointains (The Far Horizons), ainsi que par un troisième mélodrame westernien, celui qui nous concerne ici, pas spécialement mauvais mais franchement très moyen, en tout cas sacrément décevant. Charlton Heston, tête d’affiche de ces deux films, n’aura pas vraiment porté chance au cinéaste.
James Edward Grant à l’écriture, Loyal Griggs à la photographie, le couple Néfertiti / Moïse des Dix Commandements de Cecil B. DeMille à nouveau reformé, ainsi que de nombreux éléments dramatiques et historiques à priori très intéressants sur le papier... tout cela n’est malheureusement pas suffisant pour faire de ce Three Violent People (comprenne le titre qui pourra) un mélodrame westernien captivant. Il commençait pourtant plutôt bien, un peu la manière du début d'Autant en emporte le vent avec, au travers de longues séquences très bien dialoguées, la présentation du personnage culotté et haut en couleurs interprété par Anne Baxter et ses relations fougueuses avec Charlton Heston. Le prenant de prime abord pour un parfait pigeon, elle finit par tomber sous son charme (la richesse en faisant néanmoins partie : on ne passe pas de roublarde en chef à amoureuse passionnée en un tournemain). Après un intéressant prologue plantant le décor de cette époque de l’après-Guerre de Sécession, au cours de laquelle les ex-Confédérés furent malmenés par les envoyés sans scrupules du gouvernement provisoire, les vingt minutes suivantes se rapprochent donc plus de la comédie romantique et vaudevillesque que du western. Les scènes qui voient rassemblées Anne Baxter et Elaine Stritch sont même assez jubilatoires, et cela continue de la sorte jusqu’à la fameuse séquence des "dessous" (Charlton Heston prend Anne Baxter par les pieds et la secoue pour voir si son argent volé tombera de sous les jupons de la demoiselle). Malgré une mise en scène paresseuse et impersonnelle ainsi qu’une musique insipide, on se prend à rêver que le film se poursuive aussi plaisamment d’autant que les dialogues sont bien relevés, que les costumes d’Anne Baxter sont un régal pour les yeux tout comme la sublime photographie de Loyal Griggs... Puis, sans que cela ne paraisse crédible une seule seconde, alors qu’il est censé être plein de bon sens et de droiture (« Le Rio Grande dévie son cours, pas un Saunders » dit-on de lui), Colt demande de but en blanc à Lorna de l’épouser alors qu’ils ne se connaissent que depuis cinq minutes ! Plus tard, le revirement subi à l’encontre de sa femme, lorsqu’il vient à apprendre son passé sordide, n’est guère plus convaincant et son personnage devient par la même occasion assez haïssable par sa muflerie, son étroitesse d’esprit et sa bêtise. Mais surtout, dès que l’on passe, avant même la fin du premier tiers, de la comédie au drame, tout devient bien plus conventionnel et sans presque aucune surprise.
James Edward Grant à l’écriture, Loyal Griggs à la photographie, le couple Néfertiti / Moïse des Dix Commandements de Cecil B. DeMille à nouveau reformé, ainsi que de nombreux éléments dramatiques et historiques à priori très intéressants sur le papier... tout cela n’est malheureusement pas suffisant pour faire de ce Three Violent People (comprenne le titre qui pourra) un mélodrame westernien captivant. Il commençait pourtant plutôt bien, un peu la manière du début d'Autant en emporte le vent avec, au travers de longues séquences très bien dialoguées, la présentation du personnage culotté et haut en couleurs interprété par Anne Baxter et ses relations fougueuses avec Charlton Heston. Le prenant de prime abord pour un parfait pigeon, elle finit par tomber sous son charme (la richesse en faisant néanmoins partie : on ne passe pas de roublarde en chef à amoureuse passionnée en un tournemain). Après un intéressant prologue plantant le décor de cette époque de l’après-Guerre de Sécession, au cours de laquelle les ex-Confédérés furent malmenés par les envoyés sans scrupules du gouvernement provisoire, les vingt minutes suivantes se rapprochent donc plus de la comédie romantique et vaudevillesque que du western. Les scènes qui voient rassemblées Anne Baxter et Elaine Stritch sont même assez jubilatoires, et cela continue de la sorte jusqu’à la fameuse séquence des "dessous" (Charlton Heston prend Anne Baxter par les pieds et la secoue pour voir si son argent volé tombera de sous les jupons de la demoiselle). Malgré une mise en scène paresseuse et impersonnelle ainsi qu’une musique insipide, on se prend à rêver que le film se poursuive aussi plaisamment d’autant que les dialogues sont bien relevés, que les costumes d’Anne Baxter sont un régal pour les yeux tout comme la sublime photographie de Loyal Griggs... Puis, sans que cela ne paraisse crédible une seule seconde, alors qu’il est censé être plein de bon sens et de droiture (« Le Rio Grande dévie son cours, pas un Saunders » dit-on de lui), Colt demande de but en blanc à Lorna de l’épouser alors qu’ils ne se connaissent que depuis cinq minutes ! Plus tard, le revirement subi à l’encontre de sa femme, lorsqu’il vient à apprendre son passé sordide, n’est guère plus convaincant et son personnage devient par la même occasion assez haïssable par sa muflerie, son étroitesse d’esprit et sa bêtise. Mais surtout, dès que l’on passe, avant même la fin du premier tiers, de la comédie au drame, tout devient bien plus conventionnel et sans presque aucune surprise.
En effet, dès que le couple arrive dans le domaine familial de Colt, le film change de ton mais n’arrive presque jamais plus à décoller ; un comble pour un mélodrame qui semblait vouloir prendre la direction d’un film comme Duel au soleil de King Vidor. Mais là où ce dernier devenait génial par son outrance et sa démesure, le film de Maté s'avère totalement dépourvu de l’un comme de l’autre. Un mélodrame sans la moindre emphase ou forte sensibilité pourrait en quelque sorte être considéré comme une comédie sans humour ; dans de tels cas de figure, le résultat n'est que rarement attrayant ! On imagine ce qu'une telle histoire aurait pu donner sous la houlette de Michael Curtiz, au début pressenti pour réaliser le film. Ici, que ce soient les relations entre Colt et son frère manchot, celles se faisant jour entre ce dernier et Lorna, ou encore le banal conflit entre ranchers et carpetbaggers, rien ne sort de l’ordinaire, ou alors rien n’est suffisamment approfondi pour que ces différents éléments de l’intrigue continuent à nous tenir en haleine. Et à ce niveau, la faute n’en incombe plus seulement à la mise en scène cotonneuse de Rudolph Maté car il s’agit également bel et bien d’un problème d’écriture. James Edward Grant a-t-il eu la mainmise totale sur son scénario ? Il semblerait que non et que, s’il reste le seul scénariste crédité au générique, il aurait été "aidé" par deux autres personnes. L’impression qui en ressort est que les auteurs n’ont pas tous été sur la même longueur d’onde concernant l’avancée de l’intrigue ou le ton à donner à leur histoire. Car même les retournements de situations ou coups de théâtres paraissent factices et (ou) trop rapides, voire peu crédibles ni convaincants. Tout comme le personnage interprété par un Gilbert Roland sous-employé, celui du contremaitre fidèle qui ne s’exprime que rarement sans un lyrisme souvent plus niaiseux que poétique, ce qui ressort encore plus lorsqu’il est entouré de ses cinq fils aux sourires de godiches. « Ma belle dame, maintenant que vous êtes parmi nous, le soleil se lèvera chaque matin sur les pentes verdoyantes de la Cordillère. L’herbe sera plus verte, le grain poussera plus vite, et la lune montante repeindra les montagnes d'argent grâce à votre présence. C'est pourquoi Senora, nous vous souhaitons bienvenue au ranch BAR S, ainsi que dans nos cœurs » déclamera Innocencio pour accueillir sa nouvelle patronne. Gilbert Roland aura le même style de phrases ampoulées à débiter lorsqu’il devra expliquer l’amour à l’un de ses fils ; autant dire que l’on passe parfois très près du ridicule. Heureusement que Gilbert Roland est un comédien chevronné (inoubliable par exemple dans La Dame et le toréador de Budd Boetticher), et que dans sa bouche de tels discours arrivent néanmoins - tout juste - à passer. Dommage qu’il ait été rendu aussi irritant car autrement son personnage était très attachant, symbole de l’amitié indéfectible, du bon sens et de la raison.
étonnant The Naked Jungle de Byron Haskin), d'un Tom Tryon qui se sort plutôt bien d’un protagoniste infirme écrit à la truelle, et de deux seconds rôles plutôt convaincants du côté des vils envoyés du gouvernement : Bruce Bennett et surtout Forrest Tucker qui était déjà le partenaire de Charlton Heston dans le plaisant Pony Express de Jerry Hopper. Si l’ensemble, presque jamais ennuyeux, nous aura néanmoins paru trop convenu et un peu lourd faute à un script et à une mise en scène peu inspirés, plastiquement le film est néanmoins un régal pour les yeux grâce à l’alchimie qui s’opère entre le travail de Loyal Griggs (Shane), le Technicolor et la Vistavision. Parmi les points positifs, on trouve aussi une très belle séquence initiée par Anne Baxter, lorsque celle-ci, sur le point de quitter le foyer familial en laissant son nouveau-né à son mari, lui tient un beau discours sur le droit à l’erreur : « When you're raising the boy, try to remember something. The people aren't perfect. They make mistakes. And when they do, they suffer, they pay. So when he makes his mistakes, try to find it in you to forgive him. » Et enfin, le duel final entre Charlton Heston et Tom Tryon bénéficie d’une idée intéressante pour entretenir le suspense : une bouteille d’alcool est retournée ouverte sur la table et les deux adversaires doivent dégainer une fois le récipient complètement vide. Pour résumer, un début assez jubilatoire, quelques bonnes idées, une photographie splendide et un casting correct pour un résultat certes pas déshonorant mais dans l'ensemble bâclé et assez insipide.
DVD Zone 2 Paramount 2005
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Par dyloke le 21 Avril 2014 à 08:20
FIAT 600 /
La Fiat 600 est une voiture fabriquée par le constructeur italien Fiat Auto entre 1955 et 1969 en Italie ; elle est considérée comme l'icône du boom économique italien.
Sa création fut le résultat de circonstances fortuites. Alors que Dante Giacosa, le fameux ingénieur de Fiat à qui l'on doit tant de voitures révolutionnaires, mettait au point le projet de la nouvelle Fiat 500 (le modèle qui devait dans les plans de Fiat motoriser les italiens de l'après guerre) en 1952, il se rendit compte très rapidement que la mise au point du nouveau moteur refroidi par air allait prendre plus de temps que prévu. Alors que la direction générale de Fiat poussait pour la mise sur le marché d'un nouveau modèle de voiture économique en remplacement de la Fiat 500 Topolino vieillissante, Dante Giacosa entreprit d'adapter la forme arrêtée de la future 500 pour en faire une voiture de taille plus importante.
La nouvelle voiture la Fiat 600 était née en un délai record et fut présentée au Salon international de l'automobile de Genève le 9 mars 1955. Avec une carrosserie à deux portes ouvrant contre le vent, comme le voulait la mode de l'époque, et un habitacle pouvant recevoir facilement quatre adultes, elle était équipée d'un moteur placé à l'arrière mais refroidi par eau de 633 cm3 développant 21 ch, autorisant une vitesse de 95 km/h. Son prix ne dépassait pas les 590 000 lires.
La Fiat 600 deviendra un cas d'école dans l'histoire de l'automobile mondiale. En effet jamais un modèle de cette taille ne fut autant apprécié des automobilistes du monde entier, à tel point que Fiat du se résoudre à annoncer des délais de livraisons qui dépassaient largement 12 mois. Afin de satisfaire à une demande toujours croissante au fil des années, Fiat la fit construire sous licence dans de très nombreux pays, aux quatre coins du globe.Il faut signaler la version Fiat 600 Multipla qui était en fait le premier monospace du monde. Construit sur la base de la Fiat 600, sa carrosserie fut allongée pour y loger 4 portes et comportait une face avant plane en porte-à-faux sur l'axe avant. Cette version fut surtout appréciée des familles nombreuses et des taxis.
Fabriquée en Italie à une cadence qui dépassait les 1000 exemplaires par jour, du jamais vu à l'époque en Europe ; à titre indicatif, la Renault 4 CV n'a jamais atteint les 450 exemplaires par jour ! sa fabrication s'arrêtera en 1969 après avoir connu trois séries et une production de 2 591 000 exemplaires dans les seules usines italiennes.
Seuls quelques carrossiers italiens eurent le loisir de créer des modèles « transformés » comme les versions Jolly découvertes.
elle Mesure seulement de 3.22 ; le m (126 dedans) longtemps, c'était le premier arrière-à moteur Fiat et a coûté l'équivalent environ du € ; 6.700 ou US$ ; 7300 (590,000 ; Lire puis). Tout le nombre a produit à partir de 1955 à 1969 à l'usine de Mirafiori était 2. Pendant les années 60, les années 70, et les années 80, la voiture est devenue très populaire dans les pays tels que le Argentine , où c'a été surnommé Fitito (un diminutif de Fiat) et Espagne, où on le connaît affectionally comme Pelotilla (peu de boule).
La voiture a eu les freins à tambour hydrauliques sur chacune des quatre roues. La suspension était une unique choisissent leafspring double-monté - qui agit en tant que stabilisateur - entre les roues avant couplées aux amortisseurs gaz-chargés et un indépendant lover-au-dessus-choque l'installation d'amortisseur couplée aux bras de semi-remorquage à l'arrière. Chacun des 600 modèles a eu 3 (aucun synchro sur le ęr) 4 Transaxles synchro de vitesse à la différence du coléoptère de Volkswagen de , Fiat 600 est refroidi à l'eau avec un réchauffeur suffisant de carlingue, et tandis que le refroidissement est généralement proportionné, parce que des versions modifiées de haute puissance un radiateur à l'avant ou le réfrigérant à huile est nécessaire pour compléter le radiateur monté à l'arrière. Tous les modèles des 600 ont eu des générateurs avec les régulateurs externes mécaniques.
La vitesse supérieure s'est étendue de vide avec le 633 ; moteur de cc à avec le 767 ; version de cc. La voiture a eu la bonne ventilation et les systèmes de dégivrage.
Une année après que son début, en 1956, une version de doux-dessus ait été présenté, aussi bien qu'un &mdash de variante de six-seater ; Fiat 600 Multipla. C'était un précurseur des véhicules universels courant
Dans le URSS une voiture semblable était manufacturée, Zaporozhets ZAZ-965 , produit à partir de 1960 à 1963. En dépit de spéculation, cette conception a été copiée de Fiat 600, les représentants d'usine de ZAZ disent que la voiture était une conception exclusivement soviétique, créé par des ingénieurs de Soviet ZAZ en commun avec des collègues du NAMI de Moscou.
Également dans le Espagne , les 600 que le modèle a été fait sous font du siège , de 1957 à 1973. Le siège 600 de jusqu'à 797. L'Espagnol les a exportés vers l'Allemagne, Autriche, Belgique, Danemark, Finlande, Grèce, Pays Bas, Italie, Norvège, Portugal, Colombie, Chili, Equateur, Guatemala, Panama, Angola, Cameroun, Congo, Côte d'Ivoire, Etiopia, Gabon, Guinée Ecuatorial, Reunion Island, Liban, Sénégal, Somalie et Zaïre. Cette voiture a motorisé le Espagne après la guerre civile espagnole .
Dans l'ex-Yougoslavie le modèle était très populaire, et a été produit sous le nom du Zastava 750 (plus tard 850), surnommés " ; Fićo" ; dans le Serbian et le " ; Fičo" ; en Slovène. Il a été produit par l'usine de Zastava dans Kragujevac (en Serbie) à partir du début des années '60 jusqu'en 1985. Zastava 850 a eu beaucoup d'améliorations de modèle original. Le Fiat 850 est en grande partie dérivé des 600, mais présente un transaxle plein-synchronisé, des freins à disque avant, et un alternateur. Fiat 850 est ainsi une source populaire des pièces de « mise à niveau » pour les 600, mais ces mises à niveau peuvent être difficiles ou coûteuses comme peu des pièces peuvent simplement être échangés sans modification. que cette information s'est déplacé du Fiat Multipla ; peut-être justifie son propre article, mais devrait être gardé probablement séparé du Multipla moderne pour des raisons discutées à l'entretien de : de Fiat Multipla Split proposal
Le original Multipla de Fiat et le 600 Multipla ont été basés sur la boîte de vitesse de Fiat 600's, modèlent la suspension 1100 avant, et reposé 6 personnes dans une empreinte de pas juste plus longtemps que le original Mini Cooper . Le compartiment de conducteur a été fait avancer, éliminant la botte en effet mais donnant le de corps très MPV - comme le regard d'un-boîte. Jusqu'aux années 70 il était employé couramment comme taxi dans beaucoup de parties de Italie .
Le nom de Multipla a été réintroduit dans la fin des années 1990 pour le contrat MPV de Fiat Multipla .
serie ghia
http://www.youtube.com/watch?v=f3UpKkdYavg
http://www.youtube.com/watch?v=mUpmJIxqfvs
couper le son dur dur
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Par dyloke le 21 Avril 2014 à 08:17
TOUCHED BY LOVE
Il parait INCROYABLE qu'il y ai si peu d INFO sur le web sur ce film . la seule reproduction qu'il y ai a priori est une VHS .
Actors Deborah Raffin Lena Canada Diane Lane Karen Michael Learned Dr Bell John Amos Tony Cristina Raines Amy Mary Wickes Margaret Clu Gulager Don Fielder Twyla-Dawn Volkins Monica Clive Shalom-Topper Child Jason Bates Child Joseph John Bondok Child Beverly Chapman Child Jennifer Collins Child Cathy Corns Child Rhonda DeJong Child Hanif Mawji Child Robbie Olisoff Child Melissa Quigg Child Darren Taylor Child Sharlene Taylor Child Darren Wall Child Carla Wildeman Child Gordon Bullivant Teacher Darrel Beingessner Teacher May Brackenbury Teacher Luella Dickson Teacher Patti Gunther Teacher Ruth Harwig Teacher Margaret Kuyt Teacher Juane Priest Teacher Dorothy Shalom Teacher Directors Gus Trikonis Director Back to Top Writers Lena Canada Book as Source Material ("To Elvis With Love") Hesper Anderson screenplay Back to Top Producers Peter E. Strauss Executive Producer Michael Viner (II) Producer Back to Top Camera, Film & Tape Richard H. Kline Director of Photography Cam MacDonald Camera Operator Back to Top Editors Jack Leber Assistant Editor Fred Chulack Editor Back to Top Casting Jennifer Shull Casting Back to Top Production Management Carole Westphall Script Supervisor Les Kimber Unit Production Manager Bert Gold 1st Assistant Director Joe Thornton 2nd Assistant Director Back to Top Art Department Claudio Guzman art direction Ray Molyneaux Set Decorator Back to Top Wardrobe, Hair & Makeup Moss Mabry Costumes John Alfred Freeman Makeup Jan Newman Makeup Carolyn Elias hairstyles Iloe Elliot hairstyles Back to Top Sound David Ronne sound recording mixer Back to Top Music John Barry Music Elvis Presley songs ( Love Me Tender Don t Be Cruel ) Vera Matson Song ("Love Me Tender") John Marascalco Song ("Ready Teddy") Robert A. Blackwell Song ("Ready Teddy") Otis Blackwell Song ("Don't Be Cruel") Kal Mann Song ("Teddy Bear") Bernie Lowe Song ("Teddy Bear") Jerry Leiber (II) Song ( Hound Dog ) Mike Stoller (II) Song ( Hound Dog ) Aaron Schroeder Song ("I Was the One") Claude DeMetrius Song ("I Was the One") Hal Blair Song ("I Was the One") Bill Peppers Song ("I Was the One") Dan Wallin music recording mixer Back to Top Engineering, Electrical & Grips Robert Sordal Key Grip Back to Top Publicity Peter J. Silbermann publicist Back to Top Props Barry Merrells Props Back to Top Below The Line Wendy Armistead Production Assistant Natalija Nogulich Production Assistant Neill Fenn Production Assistant Back to Top Other Crew Vikki Haimilia production secretary Back to Top Worldwide Distributors ITC Entertainment Group DBA Polygram Theatrical Distributor (United Kingdom) Sony Pictures Releasing Theatrical Distributor Back to Top Other Companies Burbank Editorial & Sound Services sound effects Back to Top 1980, John Barry compose la musique du film Touched by Love, le compositeur se base sur une chanson d'Elvis Presley "Love me Tender" qu'il intègre dans son thème final. Aucun album n'a été édité à ce jour
theme
Les rapports entre une fan d'Elvis Presley et son idole.
http://youtu.be/K9eG2UMhTZA
teddy bear : ce n est pas ELVIS SUR CET EXTRAIT
http://youtu.be/0WSUB40SjGI
http://en.wikipedia.org/wiki/Touched_by_Love
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Par dyloke le 21 Avril 2014 à 08:08
sanford clark :
Est né à TULSA (OKLAHOMA) en 1935 . C est tout jeune qu'il doit partir pour PHOENIX , avec sa famille , du coup cela devient pour lui un peu sa ville natale . Il démarre sa carriere comme énormément de vedettes à l'époque , à se produire dans les bars , les nights clubs etc....En 1956 il est une gloire locale et se produit assez souvent dans les radios et télé de la région . En passant à la station KTYL , il fait la connaissance d'un disc-jockey : LEE HAZLEWOOD .
Peu de temps apres LEE va lui suggerer d'enregistrer un de ses titres . SANFORD accepte et entre au studio MCI (studio local) avec LEE , un guitariste AL CASEY , un batteur et un contrebassiste . Clark sort donc son premier single LONESOME FOR A LETTER / THE FOOL (MCI 1003) qui va se vendre à 500 exemplaires en peu de temps DANS LA VILLE . Cela va interesser DOT RECORDS , un accord va etre établi , pour le rachat aussi de la matrice de son disque . DOT va alors mettre en vente leur single (avec les 2 memes titres) à l'échelle nationale en juin 1956 : (Dot -45-15481) . Le disque va etre un carton , entre au billboard et se vend à presque un million d'exemplaires , mais surtout grace au hitd THE FOOL ; cela va rester son plus grand succes . Sa firme s'empresse alors de lui faire enregistrer de nouveaux matériels pour engrenger d'autres singles .
Le 17 NOVEMBRE , son 2e single est : USTA BE MY BABY / ACHEAT , toujours avec ce style rockabilly , bien épuré , nonchalent sans l'etre , simple et compliqué à la fois d'une originalité incroyable .
Il se marie aussi à LOU et part s'installer à LAS VEGAS . En 1957 , va sortir 4 autres singles dont le super
OOBY BABY / 9LB .HAMMER (janvier DOT 45-15534) . Mais le dernier single d OCTOBRE : THE MAN WHO MADE AN ANGEL CRY / SWANEE RIVER ROCK ( DOT45 -15646) va marquer la fin de CLARK et LEE chez DOT , en effet RANDY WOOD qui s'occupe de SANFORD veut absolument lui imposer des cuivres (orchestres.....) comme sur les derniers titres , CLARK étant pour plus de simplicité et une musique plutot SUN SESSION , a brut . Le divorce se fait plutot a l'amiable , car il est vai aussi que les disques marchaient de moins en moins ..!!!
Les deux amis passent alors chez JAMIE RECORDS de PHILADELPHIE , ou ils retrouvent une autre découverte de LEE : DUANE EDDY .
CLARK déccroche encore quelques hits certes mineurs , mais son 5 e disques pour JAMIE en MARS 1960 (JAMIE 1153) :
GO ON HOME / PLEGING MY LOVE sera le dernier , car les ventes , la aussi , décline . Il décide alors de faire un BREAK et sort qu un single en 1961 sur 3 TREY RECORDS , un échec !
En 1964 il refait surface et signe pour WARNER BROS ou il y fait 2 disques mais sans conviction , ni des artistes , ni des acheteurs . C est en 1967 quand il entre chez RAMCO RECORDS (PHOENIX) qu'il va reenregistrer de tres bons morceaux que EMBER va sortir sur un L.P en Angleterre .
Puis on le retrouve travailler pour la firme de son ami HAZLEWOOD en NOVEMBRE 1967 , il y enregistre un bon ALBUM . Entres temps HANK TAYLOR , grand fan va ouvrir un FAN CLUB à LONDRES . CLARK de toujours a travaillé , en plus de la musique , ce qui le gardera des catastrophes ou galeres que certains pionniers ont connu . En 1985 il enregistre un L.P , pour son propre label DESERT SUN , ou il fait équipe avec ses vieux amis et complices HAZLEWOOD et AL CASEY .Puis, il a vécu avec sa femme MARSHA en LOUISIANNE et remonte sur scene en guest fifties rock dans certains FESTIVALS ou CONCERTS rockabilly ( HEMSBY - VIVA LAS VEGAS GREENBAY etc) ....
MERCI A LUI D AVOIR EXISTER
IL NOUS QUITTE EN CE 4 JUILLET 2021 ....bye bye ....
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Par dyloke le 21 Avril 2014 à 08:03
revolutionary road : les noces rebelles
En réunissant le couple vedette du Titanic, de James Cameron, près de onze ans après, il aurait été facile d'organiser une opération marketing de grande envergure et de commettre un mélodrame mercantile pour attirer les nostalgiques dans les salles. Pour donner un exemple, Julia Roberts et Richard Gere ont essayé de maintenir l'illusion qu'ils avaient encore des choses à faire ensemble en reformant leur duo des années après Pretty Woman. Le résultat intitulé Just Married proposait une bluette insipide uniquement calibrée pour séduire un public de midinettes. Ce genre de procédé qui témoigne d'un certain mépris envers le spectateur n'est heureusement pas du goût du réalisateur Sam Mendes qui en trois longs métrages n'a jamais commis de faux pas artistique en changeant de registre à chaque nouveau projet (la chronique banlieusarde pour American Beauty, le polar pour Les sentiers de la perdition et le film de guerre pour Jarhead). C'est pour cette raison que Kate Winslet et Leonardo Di Caprio ont accepté de collaborer une nouvelle fois ensemble, en plus du fait que Mendes est l'époux de Winslet dans la vie. Ensemble ou indépendamment, ils ont dû faire face aux mêmes critiques (on les réduisait à un phénomène de mode et ils ont été oubliés aux Oscar à l'époque du Titanic). Depuis le temps, ces deux acteurs très doués ont prouvé qu'ils étaient capables de beaucoup ailleurs (Kate Winslet qui se perd chez Jane Campion dans Holy Smoke, Leonardo Di Caprio qui fait des prodiges chez Steven Spielberg et Martin Scorsese). Pour que les retrouvailles soient à la hauteur de l'attente, il fallait un scénario de taille qui ne soit pas consensuel et traduise des choses complexes avec un langage simple et clair pour un résultat à la fois beau, émouvant et compréhensible par tous. Ça donne Les Noces Rebelles, un chef-d'oeuvre.
LES NOCES REBELLES
Un film de Sam Mendes
Avec Kate Winslet, Leonardo DiCaprio, Kathy Bates, David Harbour, Michael Shannon, Zoe Kazan
Durée : 1h59
A défaut d'être inédit, le sujet (l'autopsie d'un couple dans l'Amérique des années 50) était idéal. Il nécessitait juste un traitement qui fasse la différence. On pouvait compter sur la cruauté, la subtilité et la justesse du regard de Sam Mendes qui sait diriger ses comédiens pour qu'ils donnent le meilleur (Kevin Spacey, Annette Bening, Chris Cooper et toute une jeune génération d'acteurs dans American Beauty, Tom Hanks, Jude Law et Paul Newman dans Les sentiers de la perdition, Jake Gyllenhaal dans Jarhead). Pendant une demi-heure, on ne se doute de rien devant la modestie de la mise en scène, totalement dévouée à l'histoire, et l'utilisation consommée de l'ellipse dans un scénario qui pose très rapidement les personnages dans un univers précis et enchaîne des scènes extrêmement dialoguées en conservant un souci de la reconstitution historique. Puis, sans avoir repéré le point de rupture (surtout parce qu'il n'y en a pas), le récit digresse vers une tragédie abrupte. Rarement le classicisme (celui qui peut refroidir) aura fréquenté des zones aussi troubles.Le pré-générique (une ville, un immeuble, une rencontre dans une soirée, une danse, une représentation théâtrale, une dispute sur le chemin du retour en voiture) préfigure pourtant un malaise. Un couple a priori idéal (Kate Winslet et Leonardo Di Caprio sont beaux et encore jeunes) désire une vie meilleure mais semble gangrené par la destruction (sa mélancolie, son ennui et son cafard à elle ; sa désinvolture à lui qui trahit paradoxalement son manque d'assurance) et menace à chaque instant d'exploser à force d'insatisfaction. Ils sont en réalité guidés par la peur de l'ennui et du conformisme (la simple idée de ressembler aux autres). Le seul moyen de remettre un peu de piment dans leur couple, c'est de partir à l'étranger et d'échanger les rôles (elle veut s'occuper de lui alors que jusqu'à présent, elle était une desperate housewife fantasmant une carrière de comédienne et il refusait les contingences du monde professionnel). Dans la société puritaine des années 50, c'est beaucoup, et beaucoup trop pour le regard des voisins comme des amis. Cet environnement sert d'écrin à une réalité trouble des sentiments où tout un chacun peut reconnaître ses gouffres.
Là où le film est déchirant, c'est lorsqu'il annonce puis montre l'échec de cette indépendance. Le couple s'est installé dans une routine et il est a priori impossible de le faire évoluer selon des envies et des besoins individuels. La cruauté du propos vient du renoncement des rêves les plus fous. Dans les grandes lignes, Sam Mendes retrouve le chemin de la critique d'une Amérique faisandée comme dans American Beauty (qui devait beaucoup au scénario de Alan Ball). Sauf que l'action se déroule dans les années 50. Les personnages sont confrontés à la même dictature des apparences. Ce pourrait être une facilité, une redite et ça ne l'est jamais. En partant de schémas et de codes sinon mille fois vus, mille fois tentés, Les noces rebelles avive une émotion, une simplicité et une puissance d'envoûtement sidérales. La tristesse joue de manière si profonde qu'elle fait vaciller la raideur trop classique. Il n'y a rien de plus beau que ce travail souterrain, dans l'échine dorsale du récit, d'une morbidité qui sape chaque cliché, chaque séquence ou plan déjà-vu ailleurs pour en réactiver la puissance. Il n'y a rien de plus difficile d'enregistrer avec autant de finesse et de précision le mouvement des sentiments de l'idéal et de l'absolu, par essence inviolables, qui s'entourent sur le fil ténu de la vie.
Leonardo Di Caprio a un physique de poupon mal dégrossi adéquat pour jouer un adulte qui n'arrive pas à assumer ses responsabilités d'adulte. Kate Winslet, sublimée, rayonne avec ce rôle de femme qui porte les stigmates de la souffrance affective, consciente que sa vie repose sur un vide abyssal, une illusion morbide. Seule ou accompagnée, heureuse ou triste (ou les deux à la fois), elle trimballe dans chaque scène une mélancolie foudroyante et communique un spleen insaisissable. Les personnages secondaires ne sont jamais sacrifiés pour mettre en valeur le couple vedette, bien au contraire. Parmi eux, il faut distinguer Michael Shannon, acteur venu du théâtre et découvert dans Bug, de William Friedkin, dans le rôle d'un fils de bonne famille sorti d'asile psychiatrique qui représente malgré lui toute la marginalité que le couple recherche. C'est le seul à asséner la vérité en face dans une société hypocrite parce qu'il n'a plus peur de rien et son acuité rationnelle est telle qu'il vise extrêmement juste. Kathy Bates incarne sa mère, une voisine qui assiste de loin à la désagrégation du couple Winslet/Di Caprio. Il est mis en parallèle avec un autre couple, plus classique et plus frustré surtout, caractérisé par une difficulté d'exprimer des sentiments simples (la femme qui ose à peine révMendes fouille dans l'intime et cherche constamment par aplats de contrastes - le couple libre/le couple coincé - à épurer le trait. Derrière l'apparence, sous les images, il reste la vérité : une danse en forme d'étreinte dans un bar, une déclaration d'amour fou dans une voiture, un homme de dos qui cache sa tristesse, une apparition lumineuse de voisine fantasmée dans l'embrasure d'une porte. Il y a les sourires de façade et les crissements intérieurs. La virtuosité du cinéaste est modérée par son sujet, qui n'autorise aucune faute de goût (surtout pas d'emprunts au technicolor ni même aux ficelles lacrymales de Douglas Sirk à la manière du Loin du paradis, de Todd Haynes). Jamais il ne pousse la situation au-delà du strict nécessaire, et dieu sait si les occasions sont nombreuses de tomber dans l'exagération, le pathos. Surtout, il lui suffit d'un plan final - terrible - pour résumer tout ce qui vient de se passer (le bruit des gens autour avant le silence de mort). Hollywood a perdu l'habitude de produire un cinéma aussi ambitieux et complexe. Dans ce domaine, Les noces rebelles est un monument.
Romain Le Vern
Un film de Sam Mendes avec Leonardo Di Caprio, Kate Winslet et Kathy Bates
Titre original : REVOLUTIONARY ROAD (Etats-Unis)
Genre : Comedie Dramatique - Duree : 2H05 mn
Distributeur : Paramount
Sortie en salles le 21 Janvier 2009
Année de production : 2008
1st edition coverAuthor Richard Yates Country United States Language English Genre(s) Novel Publisher Greenwood Press Publication date 31 December 1961 Media type Print (Hardback & Paperback) Pages 337 pp (first edition, hardback) ISBN ISBN 0-8371-6221-1 (first edition, hardback) le livre
http://www.youtube.com/watch?v=8z6kDo1OFzE
http://www.youtube.com/watch?v=L-4pYA7zC1I
http://www.youtube.com/watch?v=pJYtOtVqQDQ
http://www.youtube.com/watch?v=I54i6ITGWB8
http://www.youtube.com/watch?v=-EjMRNHEeUc
http://www.amazon.fr/Revolutionary-Road-Richard-Yates/dp/0307454789
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Par dyloke le 21 Avril 2014 à 08:01
jack baymoore and the bandits :
A été formé au printemps 1996 , après que KENT VIKMO (BAYMOORE) , ai joué avec des musiciens bien chevronnés , dans le monde du Rockabilly SUEDOIS et que tout ce soit passé pour le mieux entre eux . Autant dire de suite que leut style ne fait aucune concession , du ROCKABILLY PUR , à tres forte influence FIFTIES . Une musique et un vocal de VALEUR , le TOUT soutenu par des créations , largement à la hauteur . Titres composé par JACK à connotation 50's , style qu'il affectionne énormement , pour arriver à des résultats dont il est très fier .
Ils vont tout d'abord comme à chacun , faire parler d'eux , par le biais de la scène , avant de lancer en novembre 1996 leur premier opus , un mini 4 titres : ROUGH TOUGH ROCKABILLY VOL 2 , avec un TITRE TRES FORT qui va faire leur réputation dans toute l'EUROPE et chez eux surtout (SUEDE) : LE titre
A-V8 BOOGIE sur le label ( TAIL RECORDS) , va devenire un véritable HYMNE ROCKABILLY dans le pays .
Le titre va meme passer sur les ondes d'une grande RADIO (moderne) de MARK LAMARR , si bien qu'un single va jaillir en AVRIL 1997 : AV-8 BOOGIE / SATURDAY JUMP .
Puis ils sortent en NOVEMBRE 1997 un L.P , complet de 10 morceaux : ROARIN DOWN THE TRACK . Apres cela une tournée qui va les mener à HEMSBY (grande réunion en Angleterre de rockab) , au ROCKABILLY RAVE , au grand festival aux etats unis VIVA LAS VEGAS et pour finir à GREENBAY (aussi un festival DE RENOM) . Leur premier C.D va sortir en MAI 1999 , compilation des anciens titres à qui se rajoutant quelques nouveautes : C.D A-V8 BOOGIE (TAIL RECORDS) . En un jour tout le stock de fabriquation va etre épuisé . Fin de l'année , ils sortent de nouveau un disque compact : BIG BOYS ROCK , également de tres bonne qualité et dans un style ne pouvant rougir des sorties antécédentes . Le dernier ALBUM sortie dernièrement est : DIGGIN OUT , encore sur le label TAIL RECORDS ( belle exemple de soutient) , un opus bien concentré sur le thème ELVIS 56 ; un vocal travaillé pour rendre la voix plus 50 S , des solos parfois frisant les plans de SCOTTY MOORE , mais toujours un style propre à EUX , un "boulot" sérieux qui mérite d'etre connu si ce n'est reconnu !!!!
Un band à découvrir de toute urgence , pour ceux qui auraient raté bien sur .
MERCI A EUX D EXISTER ET QUE DIEU LES PRESERVE .
The Bandits :
Antti Pihkanen
-Guitar-
Jyrki
"JJ"Juvonen
-Guitar and Steel-
Tage Pihkanen
-Drums-
Jan Larsson
Double bassThe new songs:
1. Move On (K. Vikmo)
2. Pink Dress (and a diamond belt) (K. Vikmo)
3. Partycrashers Bop (K. Vikmo)
4. To Fall In Love (K. Vikmo)
5. Poor Heart (K. Vikmo)
6. I Wanta Make Love (L. Dobson)
7. Bandit Ball (J. Juvonen)
8. I'll Miss You (K. Vikmo)
9. Shake Around (T. Blake-J.Ross)
10. Bankrobbin' R&R (K. Vikmo)
11. I Wish You Were Here (K. Vikmo)
12. True Blue (F. Miller)
13. Rock'n'Roll Mister Moon (J Poynter-J. Dyson)
14. Mr Love (K. Vikmo)super programme
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