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Par dyloke le 29 Août 2018 à 19:39
pikey butler :
Nourri de ses nombreuses collaborations avec des artistes américains, africains, jamaïcains et britanniques pendant quinze ans à Londres, Pikey découvre la Bretagne en tournée avec son trio de jazz/blues SITTING DUCKS et y pose ses valises en 1988. De ses débuts de bassiste avec, entre autres, THE REALISTS et THE ELECTRIC BLUEBIRDS, puis de chanteur-compositeur avec les fameux DARTS, il a acquis une grande expérience de la scène, des studios d'enregistrement, de la radio et de la télévision.Comme bassiste, il a joué du blues avec Lowell Fulson, rock'n'roll avec Sonny Curtis, reggae avec Lloyd Charmers, afro-rock avec le groupe Dagarti, soul avec Timmy Thomas et George Mcrae, jazz avec Steve Williamson et, en France, du rock/funk avec Emma Zita, rock'n'roll avec Les Scopitones, blues avec Unlimited Blues Time et jazz avec Daniel Huck, Pierre Sellin, Christian Hillion, Alain Bernard, Didier Ropers, Jean-Luc Roumier, Pascal Salmon, Michel Goldberg, Jackie Bouilliol, Jacques Pellen, Peter Gritz le claquettiste Fabien Ruiz etc. Comme choriste, il a enregistré avec Alison Moyet, The Thompson Twins et Jerry Williams et, en France, avec Unlimited Blues Time, Gérard Delahaye, Patrick Cany et Doo The Doo. Travaillant comme chanteur, musicien, comédien et directeur musical dans les plus grands théâtres de Grande Bretagne et d'Irlande - notamment dans la comédie musicale YAKETY YAK (inspirée des compositions R&B, R&R de Leiber and Stoller) et dans le rôle de Buddy Holly dans BUDDY HOLLY AT THE REGAL - il a aussi dirigé les premières maquettes et produit le premier album du groupe acappella féminin MINT JULEPS. Sa réputation est fondée sur son swing ou groove incontournable et sur sa voix souple et mélodieuse - qui a été comparée à celle de Aaron Neville (soul / r&b), Mose Allison (jazz / blues), Lyle Lovett (country / r&b) et même George Michael !Ses chanteurs preférés ? : Al Green, Sam Cooke, Marvin Gaye, Aretha Franklin, Ella Fitzgerald, Billie Holiday et Lauryn Hill entre autres. De sa nouvelle base bretonne, Pikey lance un C.D. et un spectacle originaux : "PIKEY DRUMS AND VOICES" - cinq voix 'acappella' accompagnées de percussions afro-américaines.[ "Plus musclé que les Pow Wow, plus aventureux aussi" Contact D. Magazine] Toujours en contact avec ses compères de SITTING DUCKS ( le pianiste V.J.Hope - Scott et le batteur G.Macé ), il assure, en leur compagnie, plusieurs semaines de jazz dansant au Caveau de la Huchette et au Slow Club à Paris, avec quelques piliers du swing français. Fidèle aussi à son premier amour, le blues, il enregistre l'album de son trio acoustique THE SHAKERS, avec le guitariste Kevin Wright et le saxophoniste Bernard Le Dréau [ ".. all in all I felt this was a superior C.D." Bruce Iglauer, Alligator Records, Chicago U.S.A.].
En 1999 apparaît le CD « Swing Power Sessions » du quintet JUMP FOR JOY « La qualité des musiciens, le répertoire dansant font du groupe une tête de cuvée pour les amateurs du genre » a dit Soul Bag. La suite logique de cette dernière formation nous rapproche à l’actualité et s’appelle PIKEY BUTLER’S JUMPIN’ FIVE. Inspiré de la musique noire américaine des années 40 et 50 ce quintet créé en 1998 est dédié à l'interprétation sulfureuse du Jump, Jive Boogie Woogie et vintage R&B. Voir le site web et découvrez le CD « Streamline » - 100% compositions du leader. (CD fétiche des clubs de danse swing). PETER BUTLER & ALAIN BERNARD ouevrent ensemble dans l'esprit des standards de jazz américains et Peter se consacre à la composition et au chant, accompagné par les excellents musiciens : Alain Bernard: piano, Stéphane Demay: contrebasse, et Erwan Le Bousse: (batterie). Le quartet interprète principalement les compositions signées Butler & Bernard sur le CD intitulé « Jazz Me A New Song ». Depuis plus de dix ans, Peter est un pilier du sextet de swing et jazz New Orleans GOOD TIME JAZZ www.goodtimejazz.fr . Toujours présent à la contrebasse et au chant, Peter offre aussi quelques compositions récentes, taillées à mesure pour ce groupe, très demandé et a veillé de près sur la production de leurs quatre CD. Suite à la demande des fans, les neuf membres du groupe DARTS se sont réunis en 2005 pour une poignée de concerts en Angleterre. Par la suite, DARTS se rejoignent chaque année pour quelques concerts en Grande Bretagne où l'aventure continue en 2015 .
En fusion totale avec sa contrebasse élégante, il a donné le tempo chaud en inondant la salle de sa voix magnifique, claire, rythmé et infatigable» Ouest France. Reconnu pour son swing incontournable, Peter Butler a la passion de la musique afroaméricaine. Il lui insuffle une dynamique et un caractère chaleureux et hors du commun. Le Télégramme Lorient. Avec brio, humour et complicité Alain et « Pikey » ont séduit le public venu nombreux pour cet intermède mêlant blues, be-bop, gospels, jazz traditionnel, standards de Ellington, Gershwin, Basie ou Parker, sans oublier le swing qui colle si bien à l’agilité de la voix du contrebassiste. Un grand moment partagé avec beaucoup de bonne humeur. Ouest France. Les cinq garçons de Pikey Butler’s Jumpin’ Five ont littéralement décoiffé le public grâce à une soirée placée au carrefour du jazz et du rock. Ouest France. Prenez du gospel, arrosez-le de jazz et vous obtiendrez un concert divin, interprété avec infiniment de talent par Pikey Butler et le trio Alain Bernard. L’église de Harcourt en frissonne encore. Les notes de musique s’envolaient, ne faisant qu’un avec le public et les spectateurs suivaient le rythme en tapant dans leurs mains, signe de leur engouement. Presse Normandie. Pikey Butler’s Jumpin’ Five ont réussi a transformer la place en véritable « hot club » ou le public s’est carrément laissé aller au gré d’une musique très swing, rhythm ‘n’ blues et rock’n’roll. Ouest France. Pikey Butler a exploré avec ses quatre musiciens les racines du swing et du rythm ‘n blues. Il a visité le riche patrimoine musical américaine des années 40-50 et entraîné le public dans la danse avec des tempos blues, jazz et rock‘n’roll. Le Télégramme Lorient. La voix chaleureuse de Peter « Pikey » Butler s’est ajoutée aux mélodies douces ou plus rythmées. Ouest France . Pikey Butler, chanteur et contrebassiste invité de la soirée, n’a pas manqué avec son swing de séduire un public venu nombreux. Ouest France. Pikey Butler à la voix de crooner et à la joie de vivre contagieuse qui a mené la danse … Ouest France Quimper. Contrebassiste à la voix d’or, Pikey Butler. Le Télégramme .
DE SON SITE .......
http://www.peterjohnbutler.com/albums/
le groupe et surtout peter est encore en activité en 2018 et meme bien présent .
https:/https://www.facebook.com/butlerpeter/www.facebook.com/butlerpeter
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Par dyloke le 28 Août 2018 à 07:52
CATSLAPPIN CHRISSY
Groupe Hollandais et Belge qui démarre en 2004 par une belle rencontre entre une fille et 4 garçons, amoureux de la même musique le ROCK N ROLL ..ses racines des Pays-Bas (Kristel, Charles, Martijn) et en Belgique (Michel).
leur premier concert important ou ils vont faire leurs armes ,est en décembre 2004 pour le 31 à KROEG IN GELDOP (hollande) et sont très appréciés .
Le groupe CHRISSY , traduction anglaise de KRYSTEL et CATSLAPPIN vient du batteur CHARLES qui est de la région de HELMOND (sud des pays bas)
et les personnes de la bas se font appeler les KATTEMEPPERS .
Repertoire tres fifties , rockab rock n roll (collins kids -janis martin -johnny burnette) mais aussi western swing et smokin'blues .Mais font un travail acharne sur des compositions personnelles .
Ils font un premier C.D de demos avec : BOP STOP un tres bon rockabilly avec un jeu de rythmique tres groove EVERY DAY OF MY LIFE et 2 reprises DE JANIS MA RTIN et Collins kids / drugstore rock n roll -mercy :
Ils vont tourner en EUROPE et surtout vous vous en doutez au PAYS BAS .
<spanitemprop="name" title="Catslappin' Chrissy">Catslappin' Chrissy – <spanitemprop="name">Gone Rockin'
Label:Not On Label – Not on LabelFormat:CD, Album, StereoPays:Date:Genre:Style:ecoutez extrait albums
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Par dyloke le 22 Août 2018 à 15:00
DOO WOOP
Cette onomatopée, empruntée au langage de petites harmonies afro-américaines de l'Amérique des années 1950, désigne l'un des styles vocaux les plus marquants du rythm & blues, héritage direct de l'univers religieux. Dès la fin du XIXe siècle, la maîtrise harmonique des chanteurs de spirituals trouve un écho bien au delà de l'Amérique noire. L'exemple des Fisk Jubilee Singers est resté célèbre, afin de financer leur université dans le Tennessee, ces esclaves fraîchement émancipés se produisent avec un succès retentissant dans le monde entier, notamment au palais de Buckingham à Londres où, dit-on, la reine Victoria aurait pleuré en les écoutant.(resumant :Né du mariage des rythmes syncopés africains et des hymnes religieux des Blancs puritains au début des années 1950, le doo-wop est un style vocal fortement influencé par le gospel et par les barbershops quartets (« quatuors de salon de coiffure »).
Par la suite, les petits quartettes vocaux vont jouer un rôle primordial dans l'actualisation de la grammaire musicale religieuse avec l'apparition du gospel, le succès de ces formations suscitant à son tour des vocations chez les chanteurs populaires. C'est particulièrement vrai dans l'univers de la ballade, la douceur et la sérénité des harmonies convenant parfaitement au répertoire sentimental. Dès le début du XXe siècle, le Dinwiddie Colored Quartette
avait déjà tenté quelques incursions dans ce domaine, mais le mouvement s'amplifie après la Grande Guerre avec le NorfolkJazz Quartet, puis les Mills Brothers et les Ink Spots.
Les premiers, les frères Mills permettent à la richesse harmonique noire de franchir les barrières raciales pour toucher le grand public américain. Originaires de l'Ohio, John, Herbert, Harry et Donald Mills accèdent au rang de vedettes dans les années trente grâce à la radio et au cinéma, avant d'être détrônés par les quatre Ink Spots.
La luxuriance de leurs harmonies, le contraste entre la voix de basse de Hoppy Jones et les acrobaties vocales de Bill Kenny font rapidement école, suscitant après la guerre l'éclosion d'une tradition personnalisée par des ensembles comme the Ravens - d'Ollie Jones et surtout the Orioles de Sonny Til, considérés comme les premières formations harmoniques du rhythm & blues.
En prolongeant à leur façon le cocktail blues popularisé par Nat "King" Cole,. ils lancent la mode des groupes porteurs de noms d'oiseaux: the Flamingos , the Larks , the Crows , the Robins
... La structure musicale de ces ensembles est presque toujours la même: le soliste (en général un ténor) interprète les paroles des couplets à l'accompagnement rythmique d'une basse, d'un baryton et d'un second ténor qui s'expriment par le biais d'onomatopées telles que ba-boom, poppaduppa, cu-bop ou doo-wop, d'où le nom de ce style qui connaît un engouement considérable tout au long des années 1950.
Au fur et à mesure que les pionniers du genre - Billy Ward & the Dominoes, Clyde McPhatter & the Drifters, Otis Williams & the Charms - voient leurs singles s'installer dans les classements des meilleures ventes, les adolescents noirs d'Amérique se prennent à rêver de gloire en peaufinant leurs harmonies dans les cages d'escaliers des cités. Pour la nouvelle génération qui cherche à s'affranchir de la dure réalité d'une Amérique à deux vitesses, pas question de chanter le blues de leurs parents, jugé trop humiliant et rétrograde. Dans un univers où le moindre instrument de musique est un luxe souvent inaccessible, la voix nue peut permettre d'échapper au quotidien, en vantant les mérites d'un amour éternel bien plus concret que celui dont, il est question chaque dimanche à l'église. A Harlem, dans le South Side de Chicago, dans le voisinage de Central Avenue à Los Angeles, la nouvelle vague fait son apprentissage vocal en se produisant sur les trottoirs des rues passantes, chez les coiffeurs pour divertir les clients et dans les cours des collèges, un moyen comme un autre de gagner un peu d'argent de poche et de séduire les filles en attendant d'enregistrer un disque grâce à un hypothétique producteur.
des titres repris par le king lui meme ....
Avec l'explosion du nombre des petits labels indépendants, plusieurs milliers de ces groupes de doo-wop voient leurs espoirs prendre corps. Dans la plupart des cas, le rêve se limite à la sortie d'un single, inévitablement porteur d'une face A rapide couplée avec un slow dévastateur. Seuls les plus doués ont la chance de voir leurs efforts couronnés de succès, d'autant que l'Amérique blanche commence à s'intéresser à un genre que l'on croyait jusque-là réservé à la jeunesse des ghettos. Les premiers disc-jockeys du rock'n'roll vont jouer un rôle décisif à cet égard; c'est le cas d'Alan Freed,
immense vedette des ondes à Cleveland et bientôt à New York, qui a compris que les préoccupations adolescentes restent les mêmes, quelle que soit la couleur de la peau. En programmant abondamment les chansons des Moonglows, des Orioles et des Crows, il fait exploser les ventes de leurs 45-t, attirant l'attention des producteurs.
Dans un premier temps, ségrégation oblige, les maisons de disques tentent de ménager la susceptibilité des parents américains en formant à la hâte des groupes vocaux blancs qui copient note pour note les harmonies de leurs inspirateurs noirs: c'est le cas des Crew-Cuts, qui transforment en bestsellers Sh-Boom des Chords et Earth Angel des Penguins.
Ce second exemple est intéressant car il démontre que les amateurs de rock'n'roll ne sont pas dupes de la manoeuvre, la version originale des Penguins ayant été plébiscitée au même titre que celle de leurs imitateurs. Jusqu'à la fin de la décennie, le doo-wop devient même l'un des instruments privilégies de l'intégration des artistes noirs, avec des ensembes vedettes comme les Platters, les Coasters, les Clovers, les Drifters, les Teenagers de Frankie Lymon, les Cadillacs ou encore les Dell-Vikings, un groupe de Pittsburg qui innove en lançant la mode des formations racialement mixtes.
Au moment où l'on quitte les années Eisenhower pour entrer dans l'ère Kennedy, la tradition du doo-wop s'essoufle. Avec les années soixante, les Afro-américains n'entendent pas renoncer à leurs harmonies, mais l'évolution des modes et des mentalités va les pousser à reprendre l'initiative en plébiscitant des ensembles vocaux plus proches des préoccupations de la soul, les Temptations, les Delfonics, les Stylistics, les Manhattans et les Whispers ayant assuré la survie d'une tradition profondément ancrée dans la culture populaire afro-américaine.
Entre 1960 et 1965 le doo wop a fort evoluer, a cette epoque les noir ont commencer a chanter de la soul, mais bcp de group blanc comme les beach boys, les four season, les belmonts, les tokens ont transformer le doo wop avec la musique pop britanique cella deviendra le "WEST COAST" et le "MERSEY BEAT".
++++ Entre 1965 et 1980 Plusieur group amateur ont continué a chanter du doo wop et certain ont eu des petits succes
++++ Apres les annees 80 Le doo wop est tombé dans l’oubli.
Un terme nouveau " RYTHM ' N ' BLUES remplace définitivement le péjoratif " Race Records", catégorie de disques réservée aux gens de couleur, personne ne se doute encore que d'autres musiques se développeront autour de lui, le ROCK & ROLL, la musique SOUL, la POP, le RAP et que, cinquante ans plus tard, il donnera même son nom à un style le R 'n' B.
Bien évidement le Rythm & Blues en soi n'est pas né spontanément cette année là !
Des les années 30, le vieux blues et le jazz, modernisés par l'électricité et les amplificateurs, les guitares agressives, les saxophonistes hurleurs fixent les premiers jalons et donnent le tempo, souvent rapide anticipant le ROCK & ROLL.
Puis héritées du Gospel, les voix douces ou criardes, veloutées ou passionnées, sensuelles ou en transe, révèlent les âmes de la future musique Soul
Les musiciens des grands orchestres de jazz se dispersent dans de petits groupes et les bluesmen solitaires s'entourant de rythmiques plus étoffées et électrifiées.
Autour d'une basse et d'une batterie, d'une guitare, d'un piano, d'un saxophone ou d'un harmonica, la musique prend les rythmes du swing et du boogie-woogie pour faire danser et réjouir les lendemains de guerre : Louis Jordan fut un de ces précurseurs.
Au gré des contrats, les orchestres "et leurs chefs, avec leurs revues, sillonnent les Etats Unis pour se produire dans des lieux modestes ou prestigieux, devenus légendaires, de la cote Est à la Californie, de Chicago aux tripots et aux granges du Sud Profond : Johnny Otis, Earl Bostic, Lucky Millinder, Buddy Johnson, Dave Bartholomew, Tiny Bradshaw...
Sur les scènes des salles de spectacles, chanteuses et chanteurs, parfois très jeunes, charment, ensorcellent, envoutent et conquièrent un nouveau public enthousiaste, tout aussi jeune...
Conservant les accords sauvages et les mélodies des chants d’église, mais transformant les « Lord », (priere ver le seigneur), en « Baby ! », (imploration vers leur bien aimées).
Ray Charles, Little Richard ou Sam cooke au grand dam de certains, brisèrent définitivement les barrières
des genres musicaux entre le profane et le sacré
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Par dyloke le 12 Août 2018 à 19:03
bobby day
Ne ROBERT JAMES BYRD LE 1ER juillet 1930 à FORT WORTH (texas) . Il déménage à Los Angeles en 1947 pour aller au collège, où il a va étudier les mathématiques et la musique le jour, tout en poursuivant une carrière de chanteur le soir. Formé tres tot au gospel , Bobby a été attiré par la célèbre boîte de nuit Barrelhouse de Johnny Otis, où il va vite se familiariser avec le rythme & blues. En 1949, il forme un groupe appelé THE FLAMES avec David Ford, Willie Ray Rockwell et (un peu plus tard) Curley Dinkins. Très difficile de d'agrémenter leur parcours avec références (labels disques), Le groupe a existé jusqu'en 1966 et enregistré SOUS pas moins de sept PSEUDO DIFFERENTS , pour 19 maisons de disques différentes !!!!
Inutile de vous dire qu'il y a eu d'innombrables changements de personnes au fil des ans, avec Bobby Byrd comme membre constant . La plupart de leurs enregistrements ont été publiés sous le nom The Hollywood Flames. Leur premier single est sorti en janvier 1950, 'Please Tell Me Now' / 'Young Girl', sur le label Selective. Cela a été suivi par des sorties sur les labels : Unique, Specialty, Recorded In Hollywood, Aladdin (et sa filiale 7-11), Lucky et Decca (1950-1954). Tout cela sans succès national, mais le groupe a toujours été diffusés irrégulièrement localement et en 1955, ils étaient considérés comme un band à succès dans la région de L.A.
Alors qu'il était encore membre des Hollywood Flames, Bobby a signé un contrat solo avec le label de Leon Rene au début de 1957. Googie Rene (le fils de Leon et A & R man) a rebaptisé Bobby Byrd en "Bobby Day".
"Come Seven" / "So Long Baby" a été la première sortie sous son nouveau nom, avec l’accompagnement de l’orchestre Maxwell Davis (SP CLASS 207)
MAIS sur tous les enregistrements plus important , il sera accompagné par le Googie Rene Combo, qui comprenait l'illustre trio de Plas Johnson, Rene Hall et Earl Palmer.Il va rebaptiser son groupe d'accompagnement en THE SATELLITES
, qui étaient essentiellement les mêmes qui chantaient avec lui dans the Hollywood Flames. Le deuxième single de classe (publié en août 1957) était la propre composition de Bobby "Little Bitty Pretty One"/ When The Swallows Come Back To Capistrano (SP CLASS 211) . aout 1957
Thurston Harris, lui entrera dans les charts avec sa reprise n 6 pop charts ...
superbe titre qui va etre immortalisé par FRANKIE LYMON plus tard consideré à sa juste valeure . En OCTOBRE 1957 il sort son dernier disque avec ce groupe :( SP CLASS 215) BUZZ BUZZ BUZZ - darling if I had you qui va etre un bon succes n 11 pop charts .
(co-écrit par Bobby, ), sur lequel Earl Nelson a chanté .Bobby avait déjà enregistré des duos avec Nelson sous le nom de The Voices en 1955 et continua à sortir plusieurs singles de qualités EN TANT QUE Bob and Earl (jusqu'à ce qu'ils se séparent en 1960 . En changeant de nom et de LOOK , Bobby et Earl ont parfois réussi à se retrouver à trois reprises sur le même projet: en tant que Hollywood Flames, ou Earl and Bobby Day et meme avec en plus avec the Satellites. ALORS QU ILs étaient à chaque fois les memes personnes !!!!.
Bippin' An' Boppin' sort en DECEMBRE 1957 sous JAMIE records et va démarrer sa carriere solo .
sweet little thing et le 'SP CLASS 225) sont ses suivants en 1958 et renoue avec le LABEL CLASS . Mais son plus grand succes sort en JUIN 1958 :
ROCKIN ROBIN-OVER AND OVER (SP CLASS 229)
En octobre 1958, 'Rockin 'Robin' (orthographié 'Rock-In Robin' dans la catégorie single) atteint la position 2 sur les charts pop au Billboard et 1 sur les charts R & B.
entrera a la 41 e place du pop chart
Il va sortir encore quelques singles sous CLASS RECORDS jusqu'en DECMBRE 1959 mais sans succes .
En 1960, Leon Rene a abandonné la série Class 200 et a transféré Bobby au label Rendez vous, dont il était copropriétaire ,MAIS LES TITRES SONT MOINS BON ,ou plus du cru année 60 ., le niveau est plus qu acceptable tout de meme .
Un contrat de label majeur RCA (4 singles pour RCA en 1963-64) n'a pas amélioré sa fortune commerciale et sera malgré un FLOP !!!
En 1965, Bobby Day revient brièvement sur le label Class réactivé, pour un single ('When I Started Dancing'), suivi par un 45 sur son propre label Byrdland. Il a ensuite passé quelques années en Australie et en Nouvelle-Zélande avant de retourner aux États-Unis à la fin des années soixante.
1965
Son premier album studio depuis 1970 est sorti en 1994, intitulé 'On The Move'.
Bobby a entrepris plusieurs tournées avec sa femme, Vicki Anderson .En 2012-2013, son enregistrement inédit, "Beep-Beep-Beep", était la bande sonore musicale d'une publicité télévisée de Kia Sorento diffusée dans tout le pays aux États-Unis.
Bobby Day decede d'un cancer le 27 juillet 1990 et fut incinéré au cimetière Holy Cross à Culver City en Californie.
paix a son ame et merci a lui d avoir exister .
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Par dyloke le 6 Août 2018 à 07:33
THE COLLINS KIDS
Lorrie Collins: Né Lawrencine May Collins, LE 7 mai 1942, Tahlequah, Oklahoma ET Larry Collins: Né Lawrence Albert Collins, 4 octobre 1944, Tulsa, Oklahoma .
En résumé Bien qu'ils n'aient jamais eu de succès, frère et sœur étaient très connus dans la seconde moitié des années 1950, grâce à leur nombreux passages à la télévision...
La famille Collins vivait dans et autour de Tulsa, en Oklahoma .Ils ont grandi dans une petite ville appelée Pretty Water. Lawrence Collins Sr. était un producteur de lait pendant un certain temps, puis a travaillé dans une aciérie. Sa femme, Hazel, était une chanteuse amatrice et une joueuse de mandoline. LORRIE a été la premiere à etre remarqué , elle a été influencé par Kay Starr et Teresa Brewer . En 1950, elle remporte un concours de talents organisé par Leon McAuliffe, qui a encouragé les parents de Lorrie à déménager en Californie pour développer ses talents, ce qu’ils ont fait en 1953. Une carrière pour Larry n’était alors même pas encore envisagée. . Il avait reçu une guitare pour Noël en 1952 et a pratiqué sans cesse jusqu'à 8 heures par jour. Les deux enfants ont commencé à participer à des concours de talents individuellement, puis ont fait équipe,Larry a ensuite enseigné à sa soeur des accords de base à la guitare .
En février 1954, Larry et Lorrie ont participé à un concours au TOWN HALL PARTY avec succes, si bien que des le lendemain, ont été embauchés pour se produire à la télévision . Town Hall Party avait commencé comme émission radio à Compton, Californie en 1951, puis est passé à la télévision en 1953 .Puis s'est affilié en 26 épisodes d une demi heure (RANCH PARTY) . Ce show est l'équivalent de Grand Ole Opry de Nashville. De grand noms de la country et du Hillybilly se sont produit dans ce show comme : Johnny Bond, Skeets Mc Donald, Merle Travis, Marty Robbins... A partir de 1958 la scène Country laisse de plus en plus la place au Rock'n'Roll et des chanteurs comme Gene Vincent, Eddie Cochran, Bob Luman pour ne citer qu'eux apparaissent dans ce show.
Ensemble ou individuellement, the Collins Kids étaient ont fait partie de chaque épisode. Le couple s'est fait connaitre de par leur prestations musicales mais également de leur costumes colorés et performances transcendant . En 1955, Larry était devenu un véritable magicien de la guitare, entraîné par Joe Maphis, qui avait participé à Town Hall Party presque depuis sa création et qui jouait également sur une guitare à double manche .The Collins Kids sont vite reperéset signés par Don Law de Columbia Records en juillet 1955 et ont eu leur première session le 4 octobre. Un premier single sort le 26 NOVEMBRE 1955 : "Beetle-Bug Bop" - "Hush Money" (columbia 4-21470) . quoi qu'on en dise est un véritable clasique du HOT JUMP ROCK N ROLL
la face A étant déjà de l’ère moderne pour 1955.
En 1956 ils sortent encore 3 - 45 tours ( ,mais des rock mitigés -ROCKAWAY ROCK -IN MY TEENS-ROCK N ROLL POLKA - un peu avoué par les deux artistes,de peur que COLUMBIA n'accepte pas trop le Rockabilly .
mais ils vont peu après souvent réussir de bons compromis et Des chansons comme "Hot Rod", "Whistle Bait" et "I'm In My Teens" s'adressaient directement à la génération adolescente des années 50.
Larry a également enregistré des instrumentaux de guitare avec Joe Maphis, notamment "Hurricane".
Jusqu'en 1959, les sessions se tenaient au studio Radio Recorders à Hollywood, avec des musiciens de l'équipe de la Town Hall Party. Bien qu'il n'y ait pas eu de succès nationaux, les disques ont dû assez bien se vendre, parce que Don Law a renouvelé leurs contrats Columbia jusqu'en 1963. Notemment sortant des singles devenu standard . En 1957 le 13 MAI sort le superbe : HOT SKIP AND JUMP - young heart (columbia 4-40921) ; et en NOVEMBRE de la meme annee ; PARTY (du KING lui meme) - heartbeat .
À la fin de 1957, Lorrie ,etant dvenu une belle jeune femme a commencé à sortir avec Ricky Nelson et elle est apparue comme la petite amie de Ricky dans un épisode de "The Adventures Of Ozzie And Harriet", où Ricky et Lorrie vont interpreter JUST BECAUSE (mais loin de la version endiablé d ELVIS sous SUN RECORDS) ,qu ils sortiront plus rock en disque
Mais l’idylle fut courte . En 1959, lors d’une tournée des Collins Kids avec Johnny Cash, Lorrie s’est enfui à Las Vegas pour épouser Stu Carnall (le directeur de la route de Johnny Cash), qui avait 19 ans de plus que la jeune adolescente.Nelson fut choqué, en a été informé grâce à une chronique dans les journaux. Le Frère Larry a également été dévasté. 'Tout le monde pensait que je savais ce qui se passait, mais je ne savais rien à ce sujet MALHEUREUSMENT Cela Va ETRE LE DEBUT DE LA FIN !
1958 le DUO sort egalement quelques bombes musicales comme : HOY HOY - mama worries (columbia 4-41087) 1958 est un tournant évident dans leur musique , qu ils vont encore durcir et sortir des titres de ROCKABILLY DE FOLIES
le 7 AVRIL ; MERCY -sweet talk
en AOUT notemment ROCK BOPPIN BABY .
THE Collins Kids se sont séparés pendant environ cinq mois et se sont réunis à Edmonton, au Canada, suivi peu après par une séance à Nashville (en novembre 1959). Cela a produit une excellente version de 'The Lonesome Road' et le premier single de Lorrie. Maintenant qu'ils étaient un peu plus âgés, leur matériel a évolué. Ils ont continué à enregistrer ensemble jusqu'en juin 1961. Lorrie a eu son premier enfant en février de la même année, the Collins Kids se sont arrêtés alors, bien qu'ils aient continué à faire quelques apparitions publiques, par exemple sur 'Shindig!' en septembre 1965.
Larry Collins va faire plusieurs sorties en solo pour Columbia de 1959-62, principalement en tant que guitariste. Plus tard dans les années 1960, il a enregistré pour Lawn and Monument avant d'être signé en tant qu'AUTEUR pour Metric Music (une filiale de Liberty Records). En tant qu'auteur-compositeur, Larry a deux grands succès à son actif, tous deux nominés pour un Grammy. 'Delta Dawn' a été un succès dans 6 pays pour Tanya Tucker (alors âgée de 13 ans) en 1972 et un succès pop pour Helen Reddy en 1973. Puis "You're the Reason God Made Oklahoma", chanté par David Frizzell et Shelly West, s'est classé en tête des palmarès du pays en 1981. Les chansons de Larry ont été enregistrées par Merle Haggard, Waylon Jennings, Willie Nelson et Sonny James, entre autres.
En 1993, Larry et Lorrie se sont réunis pour une participation au festival Tenth Hemsby Weekender en Angleterre, où ils ont été soutenus par Dave et Deke Combo. Jouant devant un public de plus de 3000 personnes, les Collins Kids ont prouvé qu’ils étaient toujours des artistes dynamiques. ENSUITE , ils sont apparus dans de nombreux autres festivals, dont Viva Las Vegas et le Guitar Geek Festival de Deke Dickerson en 2008. the Collins Kids jouent souvent avec The RanchGirl ou bien avec Deke Dickerson.
the Collins kids etaient présent en France avec les RanchGirl grâce à Blue Monday lors de la première FROG & Roll party, le week-end du 1 er septembre 2006.
merci a eux d exister et que dieu les garde .
- TELEVISION :
Steve Allen Show
Ed Sullivan Show
Dean Martin Show
Perry Como Show
Merv Griffin Show
Johnny Cash Show
Tony Bennett Show
Dinah Shore Show
Johnny Carson Show
Ozzie and Harriet Show
Art Linkletter's House Party
Hollywood Palace
Ranch-Party Series
Town Hall Party
Star-Route Series (with Glen Campbell)
Grand Ole Opry
Jackie Gleason Show
Love of the Common People, (Waylon Jennings Special, script and score written by Larry Collins) - apparition en solo :
Harrah's - Reno and Lake Tahoe
Stardust - Las Vegas
Sahara - Las Vegas
Madison Square Garden
New York State Fair
Michigan State Fair
Hawaii State Fair
Edmonton Exhibit
Calgary Stampede
4 European Tours
4 Far East Tours
merci a eux d avoir existés
.
votre commentaire - TELEVISION :
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Par dyloke le 3 Août 2018 à 18:01
MEMPHIS ROCKABILLY BAND
Le Memphis Rockabilly Band a été constitué par son chanteur Jeff Spencer et son guitariste Bill Cover en 1978 à Boston, Massachussetts. Il est aussitôt reconnu comme l'un des meilleurs groupes de Boston et de New England. Depuis lors, le groupe a tourné régulièrement du Maine à la Caroline du Sud, présentant son plus pur style rockabilly "brand of sun". Le répertoire du groupe s'est élargi en incluant des musiques de Link Wray, Chuck Berry, The Ventures et autres.
Le 25 cm de Big Beat Records sorti en 1979 comprend cinq titres: "Draggin'" "Baby let's play house" "Rumble", "Lindy Rock" et "Don't mess with my ducktails".
En 1981 et 1982 le Memphis Rockabilly Band entreprend une tournée triomphale en Europe et se rend en France où il enregistre un disque pour le label "Big Beat Records".
Entre 1979 et 1989 le groupe privilégie les concerts en Europe et aux États-Unis en accompagnant des artistes aussi connus que Carl Perkins, Roy Orbison, Jerry Lee Lewis, Roomful of Blues, Duke Robillard, The Fabulous thuderbirds, Link Wray, Jack Scott, The Persuasions, etta James et d'autres artistes ... Car Perkins a tiré un "coup de chapeau" au groupe en affirmant qu'il était l'une des meilleure formations de rockabilly qu'il ait connue.<bnr> En 1983 sort l'album "Bertha Lou" (Big Beat Records) qui confirme le talent de ce groupe. Jeff Spencer adopte alors un vocal cent pour cent rockabilly, alors que Bill Cover affine sont style à la guitare. Parmi les morceaux de ce classique, on peut citer "Nervous Breakdown" "Milkshake Mademoiselle" ainsi qu'une bonne version du "Nearly lose my mind" d'Ernest Tubb.
En 1986 le groupe enregistre aussi pour le label "Blind Pig Records".- Chant et guitare : Jeff Spencer
- Guitare : Bill Coover
- Batterie : Terry Bingham
- Basse : Sarah Brown
En 2005 Jeff Spencer et Bill Cover reforment un nouveau groupe constitué par la bassiste Paul Justice et le trompettiste Milt Sutton. Le MRB entame ainsi une nouvelle carrière en se rendant en Europe après une absence de 23 années où il reçoit un accueil fort chaleureux. Le répertoire du groupe enregistre aujourd'hui des styles de musiques qui vont du Rockabilly, Surf, Blues, Rock'n'Roll, Hillbilly et Rhythm and Blues. Le MRB devrait sortir un nouvel album comprenant 12 titres pour le label français "Big Beat Records" de Jacky Chalard.
- Chant et guitare: Jeff Spencer
- Guitare: Bill Coover
- Batterie: Paul Justice
- Trompette: Milt Sutton
Le chanteur principal , Jeff Spencer, est décédé le 11 février 2009.Milt Sutton a été leur batteur pendant quelques années et a tourné avec MRB en Europe en 2006. Il est décédé début 2011.Comme par le passé, le répertoire du groupe comprend des chansons originales et de reprises tirées du rockabilly, du surf instrumental, du rock & roll, hillbilly et le rythme et le blues. Memphis Rockabilly Band a toujours été connu comme un grand groupe de danse et un favori des danseurs swing, et cette tradition continue.
Composition actuelle (en 2012)
- Bill Cover: guitare, saxo, chant
- Roy Slude : guitare, chant
- P.J. Justice : basse, chant
- Judd William: trompette
Big Beat Records sort en 1981 un 25 cm remarquable From Boston to MemphisBBR0016 qui contien le splendide rockabilly sauvage composé par Jeff Spencer Lindy Rock, mais aussi des reprises de rockabilly et Rock n'roll fifties dans un style tout aussi énervé mais toujours maitrisé: Draggin' (de curtis Gordon)/ Baby let's play house (Elvis chez Sun) Don't mess with my ducktails (Ruddy Grayzell) et Rumble (instrumental légendaire de Link Wray en 1958). Les titres du 25 cm date de 1979, le groupe est formé de Jeff Spencer leadeur vocal et guitare rythmique, Bill Coover à la guitare solo, Terry Bingham à la batterie et Sarah Brown à la basse.
VINYL BERTHA LOU BBR 1015 BIG BEAT RECORDS
I AIN T DEAD
BETTY JEAN BP 2186 1986
Back To Memphis
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