• 1952

     

     

     

    Chaplin en exil :

     

    Epinglé dès 1947 pour ses opinions de gauche par la Commission des activités anti-américaine, Chaplin devient, en 1952, une des victimes du maccarthysme. Parti en Europe pour la promotion d'un film, il n'obtiendra jamais le visa de retour. La « chasse aux sorcières » a été particulièrement violente contre tous les milieux médiatiques, Hollywood, la presse comme la télévision. Parmi les exilés, on compte également Bertolt Brecht, contraint de regagner l'Allemagne. En 1957, Chaplin réalisera « Un roi à New-York », une attaque contre la chasse aux sorcières menées par McCarthy.

     

     Le célèbre acteur et réalisateur s'installe alors en Suisse, il ne retournera aux Etats-Unis qu'en 1972 pour recevoir un oscar en hommage.

     

    Blog de elpresse : ELVIS ET LE ROCKABILLY, histoire fifties

     

    Mc carthy

     

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  • Il est un fait : est ce un  bien ou non  ?  qu ELVIS était tres fidele et aussi envers  ses musiciens . En effet en live de 1969 à 1977 il a rarement changé de musiciens et lorsque ce fut le cas ,  c'était des musiciens eux memes qui ont été la cause principale pour plusieurs raisons .

     

    Pour la 2 e saison de LAS VEGAS - LES REPETITIONS DE JANVIER + LES SHOWS DE FEVRIER  LE BATTEUR RONNIE TUTT QU ELVIS APPRECIE  SERA ABSENT . prevenue trop tard qu ELVIS serait de nouveau à vegas debut 1970 , apres AOUT 1969 , RONNIE avait deja signé avec MIKE POST , pour le show d ANDY WILLIAMS / RONNIE REVIENDRE POUR LA 3E SAISON DE AOUT 70 .

     

    CE SERA

     

    BOB LANNING QUI VA REMPLACER TUTT .

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  • ce show de HAWKINS au TEXAS a un problème de date depuis un certain temps !!!! ce qui montre bien la difficulte quelques fois de faire l histoire meme pour ELVIS et surtout à ses débuts ......

    ORBEST qui a sorti ROCKIN ACROSS TEXAS datait le show du 17 DECEMBRE ...

    ERNST JORGENSEN pas d'accord lui datait du 23 DECEMBRE .

    Apres recherche et chance de trouver un article le SHOW DATE DU 20 DECEMBRE 1954 . BRAVO Francesc Lopez ....

     

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  • c a fait déjà plusieurs années qu’on le pressentait.

    A des détails, des riens du tout. Une contrebasse qui apparaît de ci de là. Un film qui cartonne avec Reese Witherspoon et Joaquin Phoenix, et qui raconte juste un tout petit bout de l’histoire. Ces livres qui recommencent à se fourguer, et pas uniquement sur les tréteaux bon marché des brocantes de banlieue. Des bios qui ressortent. Des bios qui s’écrivent !

    A tous ces grains de sable qui n’étaient certes pas suffisants pour enrayer la jolie machine à faux semblants, mais la faisaient crisser un peu.

    Et puis, parfois, le temps subit une accélération. Oui, même en musique, il arrive que le temps s’accélère. Comme un hiver qui a campé trop longtemps sur nos rives, et se retire en une nuit pour rejoindre ses futures pénates au sud du globe. Un brutal et réjouissant come back du printemps. Et, avec lui, promesse des fruits à venir, la floraison, avec lui, gage de la fenaison, la germination.

    Oh ce n’est pas que les graines ne poussaient pas de ci de là. Elles l’ont toujours fait et quel que soit le temps elles continueront. Des décennies que ça dure, on ne voit pas ce qui pourrait changer les choses.

    Mais, voilà. Depuis deux ans à peu près, le printemps s’est subitement installé, faisant suite à une bien trop longue saison froide. Bien trop froide.

    Et les signes du réchauffement se sont multipliés. D’Irlande, de Suisse ou de France. Du rock’n'roll originel, quelques artistes et groupes nouveaux (ou pas tout à fait) ont su tirer la moelle pour créer, avec leur culture propre, leurs appétences, un néo rock’n'roll, un rockabilly du 21e siècle. Ils s’appellent Imelda May, la dublinoise dont la voix brisée évoquera aussi bien le chant de la sainte battue que le beugle de la mère maquerelle des bars louches ; ils se nomment Hillbilly Moon Explosion, suisses traçant avec persévérance un chemin entre fifties et sixties et pleinement d’aujourd’hui, où il n’est pas seulement question de cadillac rimant avec heart attack, mais aussi des légitimes interrogations d’une fille devant les reculades répétées d’un joli garçon (Johnny Are You Gay ?) ; et ils sont français aussi, entreprenant, non sans une réussite certaine, de mettre le rock’n'roll à la sauce Molière (et inscrivant au panthéon des titres francophones le texte essentiel sur le rôle social des pantalons). Artistes, pris au hasard d’une actualité plus vaste sans doute, au sein de laquelle j’aurais tout aussi bien pu mentionner la fratrie Kitty, Daisy and Lewis, gamins encore un peu scolaires mais dotés de l’attitude. Mais, ayant tous plus ou moins réussi, même si c’est à des degrés divers, ce cross over essentiel qui consiste à amener un public, qui n’y est pas nécessairement préparé par de longues et répétées séances d’écoute transie de nos héros de toujours, à danser sur du rock’n'roll roots et vintage.

     

    Tony Marlow et Lady Flo

    Tony Marlow et Lady Flo

    Et alors, enfin, les loups, cachés depuis trop de temps dans leurs tanières, éloignés des villes hype, léchant leurs plaies entre eux, à l’écart des lumières depuis des années (des décennies ?), se réchauffant au fond de leurs bois reculés, enfin les loups ont réinvesti les villes. Concert après concert. En la mairie du 14e un dimanche d’automne. Comme en La Boule Noire, un soir caniculaire de fin juin 2010. Ce festival Rockers Kulture, où soudain, la horde pacifique des rockers envahissait les boulevards, comme aux plus beaux jours du Bus. Sous la férule de Tony Marlow, l’ex Rockin’Rebels, dont la Gretsch en bandoulière sera toujours prête à dégainer, pour peu que le saloon soit accueillant, les filles accortes et la bière dévergondée (ou l’inverse). Ah, Tony Marlow, il mériterait à lui seul un développement sur un surlignage entier, tant il porte cette aventure du renouveau du rockabilly français à la fin des années 70, tant il est emblématique de ces cool cats qui n’abandonneront jamais. Ne désespérons pas d’ailleurs de le convaincre, à l’occasion, de nous accorder un meeting autour de son passé et de ses projets.

    Alors aujourd’hui ? Aujourd’hui que les bases sont de nouveaux posées, vont-ils enfin cueillir les fruits de leurs efforts, tous ces rockers ? Pourra-t-on enfin dire, lorsque nous ferons le bilan 2011 que cette foutue année aura été rock’n'roll ? Ce texte n’est rien de plus qu’un manifesto pour qu’il en soit ainsi. Rien de moins, non plus. Pas dec’ quand même !

     

    Alan Freed ("inventeur" du mot rock'n'roll)

    Alan Freed ("inventeur" du mot rock'n'roll)

    Mais au préalable, ne serait-il pas plus que nécessaire de céder aux sirènes de la mode politico-médiatique et d’acquérir quelques éléments de langage, ou de discours comme l’on voudra, enfin, vous savez bien ces mots, ces phrases que les journalistes et les hommes et femmes politiques s’échangent sur les plateaux, après se les être faits livrer par les spécialistes de la communication boisée ? Sauf que, à Interlignage, on ne manie pas la langue de bois, monsieur !

    C’est qu’il y en eut, de ces glissements sémantiques qui amènent madame Dupont à ne plus guère savoir de quoi il retourne exactement lorsque l’on évoque devant elle le festival de rockabilly de Sainte-Ménétrève-les-Trois-Boulots, un must à ne manquer sous aucun prétexte (et pourtant Mme Dupont se tient encore un peu au courant, la preuve, il lui arrive de venir lire Interlignage).

    Il fut un temps où tout était facile. En apparence du moins ! Alan Freed se mit à passer sur sa radio des disques de jeunes blancs-becs du sud, qui mixaient leurs racines country honky tonk avec les rythmes du boogie et du rythm and blues que des artistes et créateurs noirs d’exception jouaient déjà depuis des années, et il décréta que cela s’appellerait du rock’n’roll ! Il ne fut pas, du reste, le réel créateur de ce terme, déjà employé dans nombre de chansons dès la fin des années 40. Un certain Hardrock Gunter (qui n’était ni germain, ni hard rockeux, sinon il se fût appelé Scorpion) est peut être celui qui le premier qualifia ainsi sa musique, plusieurs années avant que Sam Phillips ne comprenne que l’histoire était en train de s’écrire sous ses yeux.

    Puis, vint l’invasion anglaise du début des années 60 qui s’engouffra dans le reflux de cette première vague finissante, après qu’Elvis notamment, fut revenu, bien assagi et fort cornaqué par le Colonel Parker, de son séjour allemand sous la bannière étoilée.

    Hardrock Gunter (le premier à qualifier sa musique de rock'n'roll)

    Hardrock Gunter (le premier à qualifier sa musique de rock'n'roll)

    Alors, le rock’n’roll céda la place à ce qu’on ne savait nommer, mais que bientôt l’on décida de qualifier de pop music. Ainsi, très vite, tout fut pop music (des Beatles aux Yardbirds, des Doors à Love), sauf ces rythmes pionniers qu’on installait déjà sur les rayons de la nostalgie chez les disquaires, et que l’on appelait rock ! Lennon faisait de la pop, même s’il était influencé par Chuck Berry ou Buddy Holly qui eux pratiquaient le rock ! Dichotomie simpliste qui ne put survivre à l’apparition des premiers revival, come-back et irruption des pré punks. De jeunes gens foncièrement sauvages claquaient sur leurs six cordes des riffs qu’on ne pouvait décemment plus qualifier de pop. Les Stooges, de la pop ? Allons donc ! A eux désormais, l’étiquette rock, on donnerait aux grands anciens l’antique mot crée par Freed ou Gunter : rock’n’roll.

    Mais que vouliez-vous qu’il advînt ? Chacun se devait de choisir son camp, alors qu’arrivait le milieu des seventies et que le mot de rock envahissait tout les styles (progressive rock, folk rock, krautrock…, que ce fût de la merde ou du rata, que ce fût comestible ou pas, on nous gavait de rock, nous allions tous devenir enfants du rock). Alors oui, dans ce brouillard, il fallait bien choisir son camp ! Johnny Thunders ou les Eagles ! Little Bob Story ou Elton John. Il y aurait donc le rock’n’roll, pur, payant son dû aux musiques adolescentes des années 50, 60 et même 70, et il y aurait le reste, cette large soupe rock, prête à envahir la FM dès qu’elle se libèrerait. C’est à ce moment là, mes frères, que les derniers des Mohicans, ceux qui vouaient un culte sincère et quasi exclusif à Gene Vincent comme aux frères Burnette, redécouvrirent ce nom qui venait de loin. Du fond des Appalaches, le nom du plouc, le billy. Ce terme employé dès le début des années 50 : le rockabilly (comme il y eut aussi le hillbilly). En une volonté sémantique d’afficher une pureté cristalline et une foi sans faille dans les trois accords. Religieux ? Oui. En quelque sorte.

    Oh, bien sûr, et ils le savaient tous, chaque groupe qui naissait dans cette fin des années 70 et ce début des années 80, et qui bénéficiait de l’énorme sillage que creusaient les Stray Cats, avait sa propre approche. Qui jouait du hillbilly boogie, qui du rythm and blues classique, qui du pur honky tonk, qui du rockabilly sauvage et Burnettien… Tous différents, mais tous communiants à cette même eucharistie frénétique : le rockabilly était de retour. Un mot qui regroupait.

    Un mot qui revient.

    Aujourd’hui.

    SUPERB/E ARTICLE Thierry Beauregard

    http://interlignage.fr/2011/01/rockabilly-manifesto-lannee-2011-sera-country-hillbilly-rythm-and-blues-bop-rockabilly-bref-elle-sera-rocknroll-ou-ne-sera-pas-et-ce-nest-pas-une-foutue-prophetie-inca/

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  • JANVIER 1953

     

     

     

    La tombe d'une princesse gauloise mise à jour

     

    L'archéologue René Joffroy découvre, non loin de Vix, en France, une chambre funéraire. L'état de conservation des objets précieux retrouvés à l'intérieur est exceptionnel. Un immense cratère de bronze, principale pièce du site, est remonté à la surface. Au cœur de la pièce, les archéologues ont la surprise de découvrir, sur un char, le corps d'une jeune femme recouverte de bijoux. Les études montreront qu'elle fut enterrée vers 480 av. J.-C. et aurait passé sa vie dans l'oppidum du mont Lassois.

     

    Blog de elpresse : ELVIS ET LE ROCKABILLY, hitoire fifties

     

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    y a une cinquantaine d’années, à Vix en Bourgogne, un magnifique trésor a été trouvé dans une tombe de femme remontant au VIe siècle avant JC. Cette découverte témoigne de l’existence d’une civilisation raffinée, prospère et bien éloignée des clichés habituels sur nos ancêtres les Gaulois.

     

    « Lilix, Princesse de Vix » est l’évocation pyrotechnique de cette femme.

     

    Belle et sensible, forte et subtile, sage et déterminée, telle est Lilix, femme jusqu’au bout des ongles. Jeune veuve, elle règne sur le grand peuple qui maitrise la route de l’étain. Confrontée à une guerre fratricide, elle est sujette à un drame intérieur et décide finalement de livrer bataille à ses frères. Habile tacticienne, elle met ses adversaires en déroute ; mais ensuite, pour assurer une paix durable, elle décide de se remarier avec l’un d’eux. Elle le choisira personnellement après les avoir tous mis en compétition, une semaine durant.

     

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  • ELVIS a pris l habitude apres le show 68 ,  de prendre sur scene des son retour en 1969  , un grand orchestre au complet en plus de ses musiciens de bases .

     

    Mais lord du TOUR 9 du 1er  au 20 MARS 1974 , Il se rend de nouveau , le 3 MARS tres exactement à l ASTODROME DE HOUSTON (TEXAS) . Il va chanter dans le cadre du LIVESTOCK SHOW AND RODEO . Il va y faire 2 lives , un à 14 heures , l autre à 20 heures . La particularité est que la scene prévue pour les spectacles , va etre trop petite , pour acceuillir tout le band DU KING , donc il va se produire sans orchestre , juste sa rhythmique de base et ses choristes .C e qui va donner une couleure bien particuliere à ce show . Tres intéréssant pour " les specialistes musiciens que nous sommes"  ou puriste si vous préférez , pour signaler le travail  des BURTONS - SCHEFF etc etc...un peu ettouffé par moment par l orchestre .

     

    NOTONS que le label MADISON a sorti le show en 2000 sous le titre

     

    ELVIs  EVENT NUMBER 8 en son sounboard . un c.d bien à part .

     

    2001 Theme
    C C Rider
    I Got A Woman
    - segued medley with -
    Amen
    Love Me
    Tryin To Get To You
    All Shook Up
    Love Me Tender
    Johnny B Goode
    Hound Dog
    Fever
    Polk Salad Annie
    Why Me Lord ?
    Suspicious Minds
    Band Introductions
    I Cant Stop Loving You
    Help Me
    How Great Thou Art
    ( followed by a reprise of above song )
    Let Me Be There
    ( followed by a reprise of above song )
    Funny How Time Slips Away
    Cant Help Falling In Love
    Closing Vamp

     

    Blog de elpresse : ELVIS ET LE ROCKABILLY, reflexion elvis

     

    Recording: Soundboard

    Label: Madison CWP 03 (2000)

     

    On peut remarquer à l'écoute du C.D , certaine faiblesse de l'accompagnement sur certains titres . En effet les musiciens plus habitue à cela lors des concerts du KING n ont pas eu le temps de s'ajuster sur tous les titres , l'orchetre prenant beaucoup de place , BURTON OU AUTRES NE FAISAIT QUE QUELQUES RIFFS SUR CERTAINS TITRES . Un petit defit pour elvis et oui il chANTE  avec énergie , sérieux ,  bref du bon boulot a voir rien que sur JOHNNY BGOODE .

     

     UN TRES tres  BON SHOW .elvis en verve .

     

    bref INDISPENSABLE .

     

     

     

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