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Par dyloke le 14 Octobre 2014 à 07:11
POUR LE FAMEUX SHOW EN MONDIOVISION DE JANVIER 1973
C EST ELVIS LUI MEME QUI A L IDEE DE L AIGLE POUR LE JUMPSUIT . C EST L UNE DES 3 FOIS QU IL A FORMULE UNE DEMANDE A BILL BELEW POUR UN MOTIF
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Par dyloke le 14 Octobre 2014 à 07:07
La nuit où ... Ray Charles m'a guidée dans Harlem. Par Nicoletta.
Ray Charles! Aucun artiste ne m'a jamais autant fait frissonner ni donné envie de monter sur scène. Je connais tous ses albums par coeur. En 1967, je suis à Montréal pour assurer un concert. J'apprends que Ray Charles y chante le soir même! Je saute sur l'occasion et demande l'autorisation à mon imprésario canadien d'aller féliciter le maître dans sa loge, sitôt le spectacle terminé. Me voici face à un grand homme séduisant, charismatique, jovial et surtout disponible, même après un show prodigieux de deux heures, où il a tout donné à son public. Je ne trouve rien d'autre à balbutier, dans un anglais encore approximatif à l'époque, que : « J'aimerais vous remercier et vous embrasser. » Ce geste spontané amuse « The Genius », qui m'invite à dîner. Avec Ray, ça passe ou ça casse : il palpe les veines du poignet de son interlocuteur et, pour lui, l'influx nerveux en dit davantage que les paroles. Le repas dure jusqu'à 6 heures du matin, entre Ray qui entonne des chansons d'Edith Piaf, qu'il avait bien connue, et moi qui lui découpe sa viande ! Dès qu'il ouvre la bouche, l'homme me passionne : il me parle même des films qu'il a « vus » dernièrement! A l'aube, je suis malheureusement certaine que jamais plus je ne le recroiserai...
Mai 68, Paris. Les pavés s'envolent, les étudiants galopent et les grèves s'éternisent. Par chance, ma carrière n'en pâtit pas. Une nuit, vers 2 heures, coup de téléphone. Endormie, je tâtonne dans la pénombre et décroche le combiné. Une opératrice américaine m'indique qu'une personne de l'Ohio souhaite me parler. Mes yeux, encore à demi clos, s'écarquillent lorsqu'une voix puissante surgit dans l'écouteur. « Nicoooole! » La tonalité est reconnaissable entre des millions : Ray! là, au bout du fil, si loin, si proche! Il désire en savoir plus sur ma chanson « Il est mort le soleil » qu'il trouve superbe. Je n'en reviens pas et m'embringue dans une explication de texte hasardeuse. Je m'interromps, car je suis en train de décrire une merveille qu'il ne peut plus contempler : le soleil. Gênée, je me tais. Lui repart de plus belle : « Nicole? Viens à New York! Maintenant!» Deux jours plus tard, je reçois un billet d'avion direction la Grosse Pomme. Sur place, je loge au Plaza, dans la suite de Judy Garland, avec vue sur Central Park. Quarante-huit heures passent, pas de Ray Charles à l'horizon. Il a certainement oublié: je sais qu'il est anéanti par la perte de son ami Martin Luther King, assassiné le mois précédent. Le lendemain soir, pourtant, une énorme limousine blanche déboule devant l'hôtel. « Venez les filles ! » Fidèle à lui-même, chaleureux, drôle, Ray me convie à l'intérieur avec ma copine Anne. Je porte une robe prêtée par Paco Rabanne et elle une jupe multicolore. Impossible de passer inaperçues ! « Direction Harlem! » hurle Ray.
Harlem! A l'époque, le quartier est encore marginalisé, dépourvu de ressources et associé à la criminalité new-yorkaise. La nuit s'est installée. Les façades des bâtiments se révèlent menaçantes, les lampadaires éborgnés et l'éclairage vacillant. « Cinq ans que je ne suis pas venu, et rien n'a changé ! » s'exclame Ray, hilare. La voiture se gare face à l'entrée d'un bar d'où s'échappent de suaves mélodies de jazz. Ray est invité à monter sur scène. Et le maître de s'exécuter, sans préparation. Le numéro du Genius est génial.
A la sortie, on s'aperçoit que la limousine a disparu.Au bras de Ray, j'essaie d'interpeller les rares taxis qui passent. Aucun ne s'arrête! C'est quand même Ray Charles! Mais entouré de deux filles, sur le bord du trottoir, il apparaît aux yeux des chauffeurs comme un parrain local. Nous voici debout, seuls, dans Harlem. « Allons à pied jusqu'à la 136e ! » lance Ray en tendant le bras devant lui. Soit des blocs et des blocs plus loin ! Nous marchons, bras dessus, bras dessous, dans les entrailles de Harlem, le long de ses rues peu entretenues, où la mauvaise réputation colle aux trottoirs. Sur le chemin, les quelques Noirs que nous croisons reconnaissent Ray. Je distingue de l'admiration dans leur regard. Que ce soit le clochard ivre assis sur le bitume, cette femme en guenilles poussant son chariot ou les silhouettes nichées dans la pénombre, toujours la même marque de respect dans les yeux. Personne n'ose le toucher. Lui, pourtant, serre les mains avec générosité, tel le pape! Quand notre trio passe devant les églises, Ray nous révèle les secrets du gospel. Seules, Anne et moi aurions pu être agressées. Mais nous avons Ray, notre soleil de la nuit. Il anéantit cette frontière imaginaire que représente alors Harlem pour les Blancs. Le trio que nous formons réussit ce que Ray avait accompli par la musique, le « pont » entre le public blanc et le public noir. Nous voici arrivés à la 136e Rue, tandis que les premiers rayons du soleil se faufilent entre les immeubles. Il est l'heure de se quitter. Nous nous serrons dans les bras, émus, heureux.
J'ai revu Ray plusieurs fois par la suite, mais par intervalles, hélas! trop espacés. Il chantera sa propre version magistrale d ( Il est mort le soleil) , mais je regrette souvent de ne pas avoir enregistré de duo avec lui, car il avait le coeur sur la main.
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Par dyloke le 12 Octobre 2014 à 15:55
Voici une photo ou l on peut voir JEROME à la batterie .
Batteur qui a remplacé RONNIE TUTT quelque fois sur scene , dans les années 70 .
Il a été aussi batteure des sweets inspirations , a joué en tournée avec des artistes tels: OTIS REDDING -BILLY STEWART-SAM COOKE-THE FLAMINGOS -THE DEL VIKINGS -MARTHA REEVES-RICKY NELSON etc etc....Il a également enregistré avec DEE CLARK , la chanson I M GOING BACK TO HIM .
Il rencontre ELVIS pour la 1ere fois en 1969 , en coulisse grace aux SWEET INSPIRATION . En premier lieu c'est la grande beaute physique du KING qui le choque , c'était un apollon ... Il a beaucoup aimé aussi la simplicité de l'homme : IL ETAIT HUMBLE . DANS LES AFTERS SHOWS , IL A JAMAIS EMPECHE SON ENTOURAGE OU MUSICIENS A COTOTER LES STARS QUI VENAIT LE VOIR (raquel welch -sinatra -ann margret etc etc....) .
Notons qu incroyable pour lui , lors d une interview récente , qu on lui explique qu il va pouvoir écouter le show de 1977 , ou il a remplacé ronnie tutt au pied levé , sans répétition (coffret magnifique THE FINAL CURTAIN , tant parle sur le blog ,tant problematique, epe etant contre cette sortie....)
il remplace donc le 24 juin 1977 au dane county coliseum à madison show 8:15 h
Effectivement on le previent apres l avant premiere du show qu ELVIS veut le voir et lui demander de l'accompagner . Etant batteur plus SOUL que ROCK , autant dire qu il était un peu effrayé . Mais il est professionnel alors on y gooo !!
CD 5
Madison, WI (June 24, 1977)
01. See See Rider
02. I Got A Woman/Amen
03. Love Me
04. If You Love Me (Let Me Know)
05. You Gave Me A Mountain
06. Jailhouse Rock
07. O Sole Mio/It's Now Or Never
08. One Night
09. Teddy Bear/Don't Be Cruel
10. And I Love You So
11. Danny Boy
12. Walk With Me
13. Love Me Tender
14. Introductions
15. Early Morning Rain
16. What'd I Say
17. Johnny B. Goode
18. Introductions Continued
19. I Really Don't Want To Know
20. Introductions Conclusion
21. Hound Dog
22. Introduction of Vernon Presley
23. Can't Help Falling In Love
24. Closing Vampce qu il a beaucoup aidé est ELVIS lui meme qui lui dit : regarde moi et je ne l ai pas quitté des yeux de tout le show , il m a bien secouru .
JEROME AVAIT DEJA REMPLACE RONNIE LE 7 DECEMBRE 1975 à LAS VEGAS . DINNER SHOW .
ET LE 8 NOVEMBRE 1971 AU SPECTRUM DE PHILADELPHIE . 8:30 .
Il a certainement du assiste a tous les shows d ELVIS en jouant en avant premiere des shows avec LES SWEET ...
En tout cas il en garde que des bons souvenirs . un ELVIS cool tres bon et qui s est donné jusqu au bout . Il avait remarque qu il n allait pas bien 3 ans avant sa mort . : en lui serrant la main , 3 ans avant sa mort j avais senti qu elle etait enflée , de plus , son entourage s en faisait de plus en plus pour lui lors des shows ou de ses deplacements ....
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Par dyloke le 12 Octobre 2014 à 15:52
ANTOINE : eh oui un chanteur dont on ne peut se douter qu il est admiratif de PRESLEY . Surtout avec son style quoique DYLAN L EST AUSSI et totalment FAN D ELVIS , mais aussi avec sa chanson LES ELUCUBRATIONS (allusion hallyday en cage) , bref voici une sa reponse A UN REPORTER LUI DEMANDANT DANS LES ANNEES 60 : AIMEZ VOUS ELVIS ....
reponse : J AI ACHETE MON PREMIER DISQUE D ELVIS DANS LES ANNEES 50 DONT BE CRUEL ET JE VIENS D ACHETER SON DERNIER DISUQE LA SEMAINE DERNIERE . C est une preuve n est ce pas QUE JE L AIME bien ..
merci à antoine
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Par dyloke le 12 Octobre 2014 à 14:32
FRANCOISE HARDY (citation )
J'aime beaucoup sinatra , mais pour moi , la vraie idole en matiere de chanson est ELVIS . Il est une montagne parcequ il est à la base d'un style formidable , qu'il a crée quelqes -uns des tubes les plus fantastiques et que sa voix est absolument merveilleuse ...
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Par dyloke le 12 Octobre 2014 à 13:34
EN 1967 ELVIS est toujours attelé a ses films, disons le tout bas , de moins en moins emballant . meme les bandes musicales commence à etre critiquable et c'est un fan averti des années 60 du king qui vous parle alors....
Apres le fameux bulletin du colonel : bulletin qu'il envoyait à tous les clubs reconnus de lui (bien sur) , pour annoncer le programme d ELVIS sur l'année en suit ...
Il y a une phrase qui résume un peu la situation :
qui va etre formule par un grand D.J en ANGLETERRE :
LORSQU ELVIS VIENDRA EN ANGLETERRE NOUS RENDRE VISITE , IL AURA AMASSE ASSEZ D ARGENT POUR ACHETER TOUT LE PAYS .
Tout le monde bien sur pouvant interprété cette phrase .
Les points vrais sont qu ils se faisait une fortune à hollywood , interessement du COLONEL en haut lieu sur ce fait !!!!!
qu il se faisait attendre en EUROPE ....
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