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Country: Germany
Year: 2017
Label: Part Records
Ref.: PART SR178013
Format: Double Single numérotés
Artist: Booze Bombs
Title: It's Duet Time
Style: Rockabilly - Rock'n'Roll
Tracklisting
A1. In the Night (with Johnny Trouble)
B1. You Got Me Rockin' (with Marc Valentine)
C1. Lonesome Road (with Lucky Steve)
D1. Baby, Won't You Come out Tonight (with Sonny Tucker)
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Je pense une de ses plus belles compagnes physiques et mentales,une qui a beaucoup fait pour ELVIS avant tout ....
Elvis a été mon premier amour 'raconte Linda Thompson .
Miss Tennessee en 1972. Elle a d'abord rencontré Presley dans un cinéma.
J'ai ressenti la responsabilité de prendre soin de lui. Et de tous les membres de la MEMPHIS MAFIA ("vrais amis" ) UNE CERTITUDE ,la préférée du groupe avec ANN MARGRET .....
Elvis était mon premier amour, celui qui a le plus changé ma vie. Il était le premier, et c'est toujours très spécial. Tandis que Thompson épousait Bruce Jenner, maintenant Caitlyn Jenner, elle épousait plus tard le producteur de musique David Foster, mais ils se séparèrent en 2005. Pourtant, elle garde Presley dans son cœur.
Elvis était très mode à l'ancienne , je pense que c'était une chose qu'il appréciait et appréciait en moi d 'etre une fille vertueuse .
linda a également révélé qu'elle a appris LE GRAND AMOUR d'ELVIS , en vivant avec lui à Las Vegas et Graceland, ainsi que quand ils ont pris la route ensemble pour ses TOURNEES .
.L'une des plus grandes leçons que j'ai apprises en vivant avec Elvis et en l'aimant pendant tant d'années, c'est que nous sommes tous humains et quel que soit le niveau atteint de la célébrité, ils sont encore des êtres humains.
AMEN LINDA (jamais je n'ai senti cet amour dans les paroles de priscilla) .
je n'ai aucun regret à propos de notre idylle.
'Je l'adorais absolument et je ressens toujours un lien avec son âme parce qu'il était un être humain si bon et une figure charismatique, je l'ai connu très intimement en tant qu'être humain, pas seulement Elvis Presley l'icône ....Je ressens toujours cela et il y a place encore dans mon cœur, quand je le vois ou l'entends chanter. Je dois arrêter ce que je fais et me souvenir du grand amour que nous avons partagé. Cela ne disparaît pas. Cela reste dans le coeur pour toujours. '
Rappelons qu'elle a egalement parler bien sur de ses addictions aux medicaments, en ayant toujours essayer de l en dissuader et l'a quitté en PREMIER LIEU car elle ne pouvait plus supporter SON AUTO DESTRUCTION !!!!
Elle a également refusé le mariage,de par cette vie nocturne,peu propice au couple et enfants ....Eh bien, pas seulement quand il faisait des spectacles. C'était de retour à Graceland. Où que nous soyons, Palm Springs. Elvis a vécu sa vie hors des yeux du public, alors quand tout le monde se levait pour aller travailler et faire tout ce qu'ils faisaient pendant la journée, nous dormions.
Elle dit également entre les lignes que son ex femme n'était point du tout présente dans la vie du KING apres 72 ............(et oui .....) .
Oui, il a toujours lutté contre son poids. la critique le dérangeait. Il était une personne très sensible, extrêmement sensible aux perceptions d'autrui .
Je n'ai certainement pas vu d'autres gars. Mais je sais qu'il a vu d'autres filles. Pas la première année. La première année où nous étions ensemble, je pense qu'il a battu son record du monde DE FIDELITE .
Ce n'est pas tout au sujet du sexe. Il ne s'agissait pas d'être physiquement infidèle à moi. Il voulait être entouré d'autres personnes , quand il était attrapé. La plupart du temps, il le niait ou s'excusait .....Tu es la seule personne que j'aime et que personne ne se compare jamais à toi et chaque fois que j'ai une aventure, ça me fait réaliser à quel point je tiens à toi ! '. Et je lui pardonnais toujours.
Il sortait rarement quand il voulait rencontrer quelqu' un ou inversement on venait a lui (beatles-streisand etc.....) .
Il n'a jamais eu l'intention d'annuler un spectacle. Il y avait peut-être des moments où il ne donnait pas tout ce qu'il avait parce qu'il ne se sentait pas bien, mais il y mettait tout son cœur et son âme, et il aimait ses fans, aimait tant ses fans.
Elvis s'est trompé en pensant qu'il n'avait pas de problème de drogue parce que tout ce qu'il prenait était sur ordonnance. Il n'a jamais pris cocaïne . Rien d'illégal. Il n'a même pas bu d'alcool devant moi en tout cas. Donc, tout ce qu'il a pris était sur ordonnance.
Le Dr Nick d'Elvis a finalement été inculpé ... et encore une fois, c'était très difficile pour les gens autour de lui, parce qu'il n'y avait pas qu'un seul médecin. Il ne pouvait certainement pas contrôler tout ce qu'Elvis faisait en douce .Il a essayé d'arrêter plusieurs fois. Nous sommes allés à l'hôpital baptiste ensemble, et il y avait quelques médecins qui sont intervenus et qui l'ont aidé , à se passer de certaines des drogues les plus addictives. Je suis resté à l'hôpital avec lui. J'avais un lit d'hôpital juste à côté de lui. Il était à l'hôpital deux fois pour,cela durant notre vie commune .
Je me suis juste rendu compte que je ne serais probablement jamais capable de l'aider comme je voulais l'aider. Il n'y avait pas de Betty Ford Center à l'époque.
J'étais à Los Angeles dans mon appartement. Mon téléphone a sonné, et c'était Lisa Marie, qui n'avait que neuf ans à l'époque, et elle m'appelait de temps en temps parce que nous étions très proches. Comme je l'ai dit, je l'aimais beaucoup alors. Je l'aime beaucoup maintenant. Et elle a dit, Linda, c'est Lisa.
J'ai dit, je sais, petit goobernickel. Mais elle avait ce ton désespéré dans sa voix, et je pensais qu'ils jouaient,t peut-être à bout de souffle. Elle a dit, mon papa est mort. Mon père est mort. Et j'ai jeté le téléphone en l'air. J'ai juste jeté le téléphone. J'ai dit non, non ........
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DECRIRE ELVIS PRESLEY ? IL EST LE PLUS GRAND QU IL Y AI JAMAIS EU ET LE RESTERA .....
DE CHUCK BERRY :
On connait egalement tout le respect qu'avait ELVIS pour BERRY ...et a repris plusieurs de ses titres bien sur .(voir special chuck berry sur le blog en relation avec elvis) .
Les BLACKS N AVAIENT PAS LES AUDIENCES QU ELVIS AVAIT, MAIS IL A tout fait magnifiquement ..
de CHUCK BERRY
En gros c'était un bon gars il était loyal .
de CHUCK BERRY
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Le Salaire de la peur
Fiche technique
- Titre : Le Salaire de la peur
- Réalisation : Henri-Georges Clouzot
- Adaptation et Dialogues : Henri-Georges Clouzot et Jérôme Geromini, d'après le roman homonyme de Georges Arnaud, Éditions Julliard, octobre 1950, 203 pages.
- Photographie : Armand Thirard
- Photographe de plateau : Lucienne Chevert
- Production : Raymond Borderie et Henri-Georges Clouzot pour Vera Films, CICC, Filmsonor (France) ; Fono Roma (Italie)
- Distributeur : Cinédis
- Musique : Georges Auric
- Montage : Madeleine Gug, E. Muse et Henri Rust
- Pays d'origine : Italie, France
- Langue : français, espagnol, anglais, italien, russe
- Genres : drame, aventure
- Durée : 142 minutes
- Format : 35 mm ; 1,37 : 1 ; noir et blanc
- Date de sortie en France : 22 avril 1953
Distribution
- Yves Montand : Mario
- Charles Vanel : Jo
- Peter van Eyck : Bimba
- Folco Lulli : Luigi
- Véra Clouzot : Linda
- William Tubbs : Bill O'Brien
- Dario Moreno : Hernández, patron d'un bar
- Antonio Centa : le chef du camp
- Jo Dest : Smerloff
- Luis de Lima : Bernardo
- Darling Légitimus : Rosa
- Faustini
- Seguna
Dans une petite bourgade d’Amérique latine écrasée par le soleil, végètent des aventuriers qui ont échoué là sans pouvoir en repartir. Lorsqu’arrive un ancien gangster de petite envergure, Jo, il se lie immédiatement d’amitié avec Mario, ancien parisien comme lui. Une opportunité se présente à eux : une compagnie pétrolière offre une grosse somme pour transporter un chargement de nitroglycérine sur quelques centaines de kilomètres. Le mauvais état des routes risque de faire exploser le chargement à tout moment…
Après trois premiers longs métrages exemplaires (pour ne pas dire parfaits) mais dans lesquels le verbe prédominait largement, Henri-Georges Clouzot chercha à se renouveler, et entama une période de mutation. Manon, inspiré de l’Abbé Prévost, témoignait, notamment dans sa dernière partie, de cette volonté d’évoluer, assez audacieuse à défaut d’être tout à fait accomplie : Clouzot cherchait alors de nouvelles formes d’expression, et sa participation au film à sketchs Retour à la vie ou son incursion (anodine) dans la comédie (Miquette et sa mère) en témoignèrent également à leur manière. Le Salaire de la peur marque en quelque sorte une forme d’aboutissement de la démarche : en réalisant un film de pure forme, qu’aucun de ses travaux antérieurs ne pouvait permettre d’anticiper, Clouzot achevait une première mue. Le roi des mots était devenu également un maître de l’image.
La première est structurelle, et ce tant au niveau de l’intrigue que de la narration : sur le premier point, le film repose sur une construction étonnante, avec une installation extrêmement longue (plus d’une heure dans le village avant le départ des camions), qui participe à la mise en place d’une atmosphère moite, étouffante, purgatoriale .Ensuite, une fois les camions partis, on demeure surpris par l’audace, la modernité et l’efficacité de la construction en paliers : la bambouseraie obscure ; la route de tôle ondulée ; le ponton des abymes ; le rocher obstrueur ; le cratère de pétrole... tant de « niveaux » à surmonter, comme dans les jeux vidéos primitifs des années 80, où la moindre erreur de parcours déclenchait un funeste « game over ». Dans Le Salaire de la peur, la mort rôde, omniprésente, et c’est finalement quand on s’y attend le moins qu’elle surgit le plus violemment.La force structurelle du film provient également, donc, des procédés de découpage ou de montage utilisés par Clouzot pour charger son récit de tension : peu de mouvements de caméra, un montage sec et vif, et une manière constante d’envisager les plans et leur arrangement comme les accords fondamentaux de sa mélodie du suspense.
Le Salaire de la peur possède un sens de l’épique et du tragique liés à la condition humaine qui a de quoi laisser pantois. Ces hommes perdus n’ont plus rien (pas même de passé !) sinon leur capacité d’agir... alors ils agissent. A cet égard, le processus d’identification à l’œuvre dans Le Salaire de la peur n’est pas tant pour les personnages que pour ce à quoi ils sont soumis : une idée de la fatalité, et de la futilité de l’existence humaine.
À l'origine, c'est à Jean Gabin que fut proposé le rôle de Jo mais il refusa, craignant que ce personnage de lâche entachât sa carrière
- Ours d'or au Festival de Berlin en 1953
- Palme d'or au Festival de Cannes 19539 et prix d'interprétation masculine pour Charles Vanel.
- Prix Méliès en 1953
- British Academy Film Award du meilleur film en 1955
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