• 1ER MARS 1957 

    EVERLY BROTHERS enregistre Bye Bye Love

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  • 26 fevrier ou 25 FEVRIER 1965 Lors des sessions de HARUM SCARUM .

    ELVIS

    ELVIS

    ELVIS

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    1957 Plymouth Fury 

     

     

    1953 Packard Caribbean;  

     

     

    1951 Studebaker Champion

     

    1958 Chevrolet BelAir

     

     

    1958 Edsel Citation

     

     

    The Ford Fairlane500

     

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  • Au debut avant de lancer sa propre firme SAM PHILLIPS ......

     « Nous enregistrons tout – n’importe où – n’importe quand ». En effet, avec du matériel portable dans le coffre de sa voiture, Phillips se propose d’enregistrer les discours de mariages, de funérailles ou de rassemblements religieux. Mais, le premier job lucratif du studio est en fait l’enregistrement du Buck Turner’s band qui doit servir d’illustration sonore à la promotion du programme d’électrification rurale de l’Arkansas. Ce spot sonore sera diffusé par la suite, dans le sud, sur 15 ou 20 stations de radio. Six mois plus tard, fort de cette expérience, Sam Phillips décide d’enregistrer des musiciens pour en vendre les matrices. Le premier enregistrement sera ‘Gotta Let You Go’ et ‘Boogie In The Park’ par Joe Hill Louis. Le 30 août 1950, 300 copies sont pressées et livrées aux disquaires de la ville.

    En janvier 1951, Sam Phillips enregistre plusieurs sessions de l’harmoniciste Walter Horton pour Modern Records. Tout au long de cette année il est incroyablement occupé dans son studio, enregistrant autant de blues rural et de rhythm and blues que possible. Au cours des deux premières années, l’endroit voit défiler des pianistes de Memphis, Lost John Hunter, Phineas Newborn, Albert Williams, Louis Calvin Hubert, Mose Vinson, Ike Turner, William Strutcher Johnson, Evans Bradshaw, Eddie Snow, Ford Nelson et Jack Kelly…

     En mars 1951, le titre ‘Rocket 88’ gravé par Ike Turner et Jackie Brenston génère un premier imbroglio entre Phillips, RPM et Chess quant à la distribution. Quelques semaines plus tard Sam Phillips enregistre les premiers titres d’Howlin’ Wolf pour Chess, ‘Moaning At Midnight’, ‘How Many More Years’,avec Ike Turner au piano. En octobre, un nouvel enregistrement du même artiste et de nouveaux désaccords avec le label de Chicago vont amener Sam Phillips à créer sa propre marque qui voit officiellement le jour le 27 mars1952. En avril, Sun Record Company dont le logo original est conçu par John Gale Parker Jr. un camarade de classe de Phillips, est officiellement lancée avec la sortie de ‘Drivin’ Slow’ de Johnny London. 

    SUN 175 1952

    vous avez dit SAM PHILLIPS.

    "DRIVIN' SLOW" / "FLAT TIRE"    ( Sun 175 )  1952

    Mais attention ce premier single ne sera en aucun cas la découverte de SAM,par contre quelle COURAGE, de le  sortir ,comme premier single de la firme ...

    En effet LONDON London était un musicien local de rhythm and blues et de jazz qui est venu faire des démos (pour 3 singles  a priori) et a été happé par Sam Phillips. Son merveilleux saxe alto musclé est ici très bien entendu. Il y a les nuances inévitables de Charlie Parker et Earl Bostic, mais LJOHNNY  est essentiellement son propre "génie". Avec le soutien minimal du saxophoniste ténor Charles Keel et du pianiste Joe Louis Hall, London déchaîne une improvisation tortueuse bluesy ...

    Phillips a atteint ici un équilibre d'enregistrement qui crée l'illusion que les artistes  jouent dans l'appartement voisin, ce qui ajoute au charme etl'ambiance du single . London n'a jamais sorti d'autre disque, mais son pianiste, Joe Hill Hall, a enregistré avec le combo de Willie Mitchell et a joué du piano sur le premier hit de Hi Records, "Smokey" de Bill Black.

    Johnny a souvent insisté sur le fait que le disque a atteint la première place sur certains palmarès locaux (y compris WHBQ). Plus révélateur encore, une copie du 78 de London a été accrochée au mur d'entrée du studio du 706 Union pendant des années. . Sam Phillips en était fier.

     vous avez dit SAM PHILLIPS. sun 175

    Notons qu il y a eu un sun 174 AVORTE ...qui aurait été le premier single SUN .

    À un moment donné très peu de temps après, l'envoi des titres .......et plusieurs deboires .......Phillips a décidé de débrancher Kelly-Horton et Bradford et de lancer Sun avec Johnny London. Vraisemblablement, c'est la réaction des disc-jockeys qui a précipité ce revirement. Et donc Sun 174 est resté invisible et inouï jusqu'à ce que Robert Loers trouve un acétate portant l'étiquette Sun 174 et que Steve LaVere trouve plus tard un fragment de la chanson sur un autre acétate.

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  • 11 AVRIL 1972 Roanoke

    ici avec la maire Roy Webber

    Roy Webber est le nom du maire qui a demandé à Elvis s'il allait chanter "I Ain't Nothing But A Hound Dog", dans le film Elvis On Tour. Alors que les caméras de la MGM tournaient pour le documentaire, le maire de Roanoke, en Virginie, a rencontré Elvis sur un tarmac de Woodrum Field le 11 avril 1972, lorsque le chanteur est arrivé pour son apparition au Roanoke Civic Center ce soir-là. Webber lui a présenté une clé de la ville, qui, selon Elvis, conviendrait aux coffres de la banque. Webber lui a également donné un arrangement floral en forme de guitare, qu'Elvis a accidentellement cassé.

    En plus d'être maire, Webber était également fleuriste. La guitare a en fait été fabriquée par sa société, Roy L. Webber Florist.

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  • Ils se rencontrent pour la 1ere fois au au Gator Bowl en 1955.

    Son grand père était officier de police et lors du show d ELVIS elle a pu etre assez proche de la scène .C'était plus qu'un béguin d' école:<<  J'étais amoureuse du garçon. Puis ma mère et moi sommes allés à Memphis en juillet 1956. J'avais 14 ans, j'étais en surpoids, et elle m'a promis que si je perdais du poids, elle m'emmènerait le rencontrer. Nous étions debout à l'extérieur de la maison sur Audubon Drive, avec d'autres filles, et Mme Presley était là, et apparemment  nous avait observés . Elle nous a invités. Sa mère et la mienne  avaient beaucoup en commun et elles s'entendaient plutôt bien.>>

    Elvis était sur le chemin du retour à Memphis depuis New York, et Rowland et sa mère ont été invités à revenir le lendemain pour rencontrer Presley et ses parents.

    Plus tard, nous avons reçu une lettre disant de venir dans les coulisses [au Florida Theatre] pour le rencontrer. Ma mère avait la lettre, nous sommes allés à la porte de la scène, mais le garde a refusé de nous laisser entrer.

    <<Je me sentais si spécial. J'ai une photo de nous ensemble. Pouvez vous imaginer? C'est tellement merveilleux de faire partie de l'histoire. Je n'aurais jamais pensé dans un million d'années que 60 ans plus tard j'en parlerais encore. Quelle bénédiction, d'avoir quelque chose qui m'a apporté tant de joie et de pouvoir partager cela avec d'autres personnes.>>

    J'ai voyagé à Memphis, Orlando et d'autres villes pour le voir. Nous avons eu une relation qui a duré quelques années. Partout où nous allions, ma mère était toujours avec moi. J'étais toujours accompagné par ma mère. Ma mère n'aimait pas le fait qu'il soit un artiste. Elle a fait de son mieux pour nous séparer afin que j'aie une éducation. Elle a dit que j'allais finir mes études, et je l'ai fait.

     

     

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