Label: Wild Records ‎– W2408

Format: Vinyl LP127 33 RPM

Artist: The Desperados

Tittle: Welcome The Night!

Style: Rock'n'Roll - Rockabilly Revival

version live ILLUSTRATION

boîte VIP promotionnelle de la soirée de pré-ouverture :

vinyles

L'édition en vinyle noir est limitée à 375 exemplaires, le coffret en vinyle coloré est limité à 600 exemplaires. Chaque boîte est numérotée avec des sceaux holographiques. Ce coffret VIP promotionnel est également destiné à promouvoir notre livre « Elvis - By Invitation Only ».

Produit annoncé HONEREUX

Le coffret lui-même est une reproduction avec une mise à niveau mineure du rare coffret cadeau VIP original de la soirée d'ouverture de 1969.

La reproduction la plus fidèle de l'invitation à la soirée d'ouverture et de la carte RSVP avec les enveloppes correspondantes (très rare).

Deux cartes photo promotionnelles différentes et rares de l'International avec la publicité en miroir et le logo de l'hôtel International sur le devant.

La lettre d'information de 9 pages du colonel Parker.

Deux des quatre photos promotionnelles différentes avec des photos alternatives.

Le catalogue RCA original de 1969 (36 pages) qui a été distribué lors de la conférence de presse. Ceux-ci étaient également inclus dans le coffret VIP.

Reproductions recto verso de l'affiche du magasin de musique pour « Suspicious Minds » avec le texte promotionnel pour la performance d'Elvis à l'hôtel International (24 x 12 pouces).

L'audio de « Elvis - The Return of a Prodigy » est directement tiré d'un nouveau transfert et a été remasterisé avec des résultats audio impressionnants. Le concert est pressé sur 2 LP pour une qualité audio optimale...

Tous les articles de 1969 sont soigneusement choisis pour leur rareté et leur valeur. Aucune dépense n'a été épargnée pour réaliser cette capsule temporelle personnalisée. Tout historien d'Elvis, fan inconditionnel, collectionneur de séquences 8 mm, collectionneur de musique ou de photos reconnaîtra la valeur de cette collection emblématique. La qualité est inégalée, c'est le véritable standard d'Elvis et pour une fois en édition limitée. Tous les coffrets sont numérotés pour garantir qu'ils sont vraiment limités.

Comme vous pouvez le lire, nous sommes nous-mêmes ravis ! Lisez le livre et soyez fiers des réalisations d'Elvis et du colonel Parker. Ils l'ont fait ! Le 31 juillet 1969, ils ont changé le monde de la musique pour toujours.

Remarque : ce concert a déjà été publié par le label Gravel Road sur CD en 2009.

Elpresse ; Bon ils le vendent bien en tout cas ,ce sera un coffret de collection je n en doute pas mais ...

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Toujours du LABEL

GRAVEL ROAD MUSIC

Le livre « Elvis By Invitation Only » comprend 2 CD, un Blu-ray et un DVD.

Le livre « Elvis By Invitation Only », associé au coffret promotionnel VIP Pre-opening Night, est destiné à vous transporter en 1969 et à voir tout ce qui s'y passe de vos propres yeux !

livre de 408 pages

Il présente du matériel promotionnel rare, soutenu par des documents originaux et plus de 440 photos stupéfiantes à voir par vous-même. Le livre contient la plus grande collection de photos du spectacle d'ouverture jamais publiée et comprend des photographies inédites et rares dans une excellente qualité de couleur.

Les deux CD audio contiennent un nouveau transfert du spectacle du dîner du 3 août 1969, les interviews VIP avant l'ouverture, une partie du spectacle de Sammy Shore et même les spots radio de Las Vegas.

Le Blu-ray et le DVD contiennent un tout nouveau documentaire 8 mm de plus de 50 minutes, avec uniquement des images de 1969 pour soutenir le contenu du livre et des images inédites et rares d'une qualité incroyable. Le contenu du Blu-ray et du DVD est le même, mais sur le Blu-ray, nous avons pu le présenter dans une meilleure qualité.

Sur les disques, vous trouverez les interviews VIP avant l'ouverture, Sammy Shore et plus de 21 minutes d'Elvis sur scène à Las Vegas en 1969. Sont également inclus 6 images supplémentaires de 6 minutes du 18 août 1969. Elles ne sont incluses que pour la rareté, mais ne sont malheureusement disponibles qu'en qualité inférieure. Le disque se termine par des images de la maison d'Elvis à Los Angeles, pendant les répétitions en 1969, avec, entre autres, Priscilla, le colonel Parker et bien sûr, Elvis ! En bonus, nous avons inclus un clip musical de 1969.

Elvis Poster Magazine

Vintage Rock a annoncé la sortie d'un nouveau magazine d'affiches intitulé « In Focus Elvis ».

https://www.graceland.com/elvis-birthday?utm_source=Website+Newsletter+Signup&utm_campaign=fd63b73f52-10.28.24-+Birthday+Announced-+Graceland.com&utm_medium=email&utm_term=0_e637276f84-fd63b73f52-106991967&mc_cid=fd63b73f52

voici la couverture du livre

'Christmas at Graceland'. 

Ce livre à couverture rigide exclusif à Graceland, à collectionner, est rempli de photos d'Elvis et de Graceland pendant les vacances. Directement issu des archives de Graceland.

Deces de TERRI GARR le 29 OCTOBRE 2024 

Teri Garr a commencé comme danseuse de fond dans des rôles non crédités pour des films et des émissions de télévision destinés aux jeunes comme « Pajama Party », un film sur une fête sur la plage, le « T.A.M.I. Show », « Shindig ! », « Hullabaloo », « Movin' with Nancy » (un spécial Nancy Sinatra / Frank Sinatra) et neuf films d'Elvis Presley, dont le film le plus rentable d'Elvis, Viva Las Vegas. Teri nous dit ci-dessous que le film préféré de Steven Spielberg était « Viva Las Vegas ». Et elle lui a dit : « J'étais dans « Viva Las Vegas », et il a dit : « Tu n'y étais pas », Terr a répondu : « Oh, oui, oui, j'y étais. C'était mon premier film ». C'était très drôle, a-t-elle dit à propos de l'échange.

EASY COME EASY GO

Première renconter :

En fait, je travaillais dans une troupe itinérante de « West Side Story » et David Winters en faisait partie. Il a commencé à enseigner la danse et nous sommes tous allés au cours de danse, ainsi qu'Ann-Margret, puis elle a obtenu le poste pour « Viva Las Vegas ».

Elle voulait que David Winters soit le chorégraphe, alors nous étions à une audition et toutes ses danseuses qui étaient dans sa classe sont venues. Et c'est comme ça que nous avons obtenu le job. Et puis nous avons tourné la première scène. J'étais tellement excitée de jouer dans un film mais nous n'avons pas tourné en studio. J'étais tellement déçue que nous ayons tourné dans une salle de gym à Culver City. Je m'entraînais aux barres parallèles et Elvis est venu vers moi et m'a dit : « Alors, tu vis dans le coin ? Hein ? » Waouh  Elvis Presley m'a parlé , c'était super sympa et juste et normal, hors mis que non , c'était une icône .Mais j'essayais d'être cool à ce sujet parce que je sentais vraiment que je devais avoir cette attitude ou je m'évanouirai .Mais il a été normal tout le temps . Donc c'était sympa. Mais ce qui était génial, c'est que nous avons dansé sur tous ces différents numéros qui étaient dans « Viva Las Vegas » et puis à cette époque, Elvis tournait environ trois films par an ou peu importe ce qu'il faisait. Et à chaque fois, ils avaient des danseurs, ils nous appelaient et Elvis envoyait ses gars de la Memphis Mafia nous chercher et ils venaient voir les filles auditionner et ils disaient à celles qu'il voulait choisir. Pour le choix; Elvis l'aimait, Elvis l'avait choisie avant, etc. Donc nous avons tous été embauchés à nouveau. Je veux dire, ce n'est pas que nous ne méritions pas d'être embauchés. Nous étions aussi très bons mais c'était un petit coup de pouce dans la bonne direction. Donc, c'était très sympa. Et il était à l'aise et il était loyal envers ses amis. Évidemment, il était loyal envers les gars qu'il avait fait venir de Memphis et donc c'était très sympa d'être dans son cercle intime.

 roustabout

anecdote :

je ne sais pas si vous vous souvenez de cette fille qui s'appelait Carrie Foster. C'était ma colocataire. Elvis l'aimait bien, alors il nous a invités à une fête. Il a dit : « On fait une fête chez moi ». Nous sommes donc tous emmenés à une adresse quelque part à Bel Air. Nous sommes allés chez lui et je me suis dit : « Ce n'est pas une fête. C'est Elvis et les gars qui regardent la télé, qui jouent au billard ou quelque chose comme ça. Il veut juste avoir des gens autour de lui. Mais, vous savez, il n'y a pas de chips et de trempettes, ce n'est pas une fête ». Mais nous y sommes allés juste pour voir et j'ai été très flatté de faire partie de son entourage. Il essayait juste de se faire des amis ici. Je veux dire, il y avait ce type qui venait de Memphis, il était chauffeur de camion. C'était juste un type ordinaire. Et puis tout d'un coup, il a eu tout cet argent et toute cette célébrité , je suis sûr que ça l'a époustouflé toute sa vie ou presque . Il a toujours aimé acheter des Cadillac pour tous ses amis. Il n'a pas toujours su  gérer cette situation et je le comprends parfaitement. Cela vous fait sortir de la réalité. Et je pense que c'est là qu'il était. Et puis non seulement il était hors de la réalité, mais il était à Hollywood en train de faire des films.

CLAMBAKE

 Routabout

 Non il n'a jamais parlé de ses envies pour sa carrière (Elpresse : preuve qu'elle n'était pas si amis que ca !et un peu relativiser ses réponses) 

dans un film intitulé "Kissin Cousins". C'étaient tous des films géniaux. Tous. Donc, au déjeuner, nous revenions et je me souviens de ce type, Alex Clasher, qui était au milieu et tous les danseurs se mettaient à faire des  "hey, ho, hey", puis quelqu'un se met au milieu et fait des claquettes, puis une autre personne sort et un autre y va faire un "truc". Et Elvis nous regarde faire ça et il veut en être. Alors il entre et il se met au milieu du cercle, il prend une brique et il la casse en deux , karaté. Je veux dire, il était  à fond avec nous. J'ai dit : "Très bien, tu va le faire"

 L'époque les danseurs ou figurants ou autres étaient très mal traités , avec lui non ! il nous soutenait de son mieux .Je veux dire, il était comme notre ami. C'était intéressant. Même s'il aimait les filles, il nous aimait pour ce que nous étions.Et je me souviens aussi que j'ai fait un film intitulé "Roustabout", un autre film fabuleux, et Barbara Stanwyck y jouait donc j'étais tout simplement ravie d'être là. Mais il y a un carnaval, où il est un bonimenteur de carnaval et nous sommes là-haut en train de danser, nous portons des costumes faits de pastèques. Et je suis, eh bien, je n'ai jamais vraiment été dans le truc de la choriste. J'étais toujours un peu à côté de la plaque, un peu dans l'erreur, Dieu merci. Quoi qu'il en soit, ils ont commencé à faire tourner ce truc, d'accord, de l'action, et on tourne. Et ce réalisateur, son nom était John Rich, disait : "Oh, coupez, coupez, coupez. Qui est cette nana idiote à gauche ? Chérie, reprends-toi, d'accord ? Lancez, action". On recommençait et il disait : "Non, chérie, mon Dieu, cette stupide garce". Et il était tellement méchant avec moi qu'il était sur le point de me virer et Elvis a dit : « Excusez-moi, monsieur, mais cette nana... ». Il s'est levé et m'a défendu.J'allais raconter ça à propos de moi à l'époque. Vous en savez plus sur moi. Mais pendant que je dansais dans tous ces films, j'essayais aussi de devenir actrice. Pendant tout ce temps, j'essayais de devenir actrice et je commençais à faire quelques publicités. J'avais donc fait quelques publicités qui passaient à la télé et Elvis m'a reconnue, je le sais parce que Jimmy Kingsley me l'a dit. Elvis a dit : « C'est notre Teri Garr ».Et une autre chose dont je me souviens, c'est une fois où il nous a tous invités, un groupe de danseurs, à venir le voir à Vegas. Et nous sommes tous allés à Vegas et avons vu son spectacle.Il respectait ce que les gens faisaient et je m'en souviens très bien, il était si gentil.

roustabout

GIRL HAPPY

 'il a fait des performances d'acteur assez excellentes. Les autres films, j'ai bien peur de le dire, étaient tout simplement du vue et du revue ... je veux dire qu'ils l'exploitaient juste pour gagner de l'argent. Un autre film de Presley, un autre film de Presley. Et je ne pense pas que lui ou le Colonel aient jamais pensé à ce que cela allait mener.Sur le moment, c'est bien. Vous savez, c'est comme se saouler. Sur le moment, c'est bien et puis le lendemain, ce n'est plus aussi bien. Donc, sur le moment, c'était bien de faire trois films par an et tout ça, mais ensuite ça l'a en quelque sorte dissipé ou même LASSE .

Mais il était toujours un grand talent et je pense que ce que Joe a dit, c'est que s'il était en vie aujourd'hui, il serait toujours sur scène parce que je pense que c'est là que se trouvait son étincelle.Vous savez, son interaction avec les gens et avec le public. Et particulièrement, c'est juste une chose étrange à dire, mais avec les gens ordinaires. Je veux dire, il savait vraiment comment faire ça. Et, vous savez, eh bien, c'est une chose brillante qu'il a faite, le premier homme blanc à prendre la musique soul noire et à la faire, à la faire vraiment, à la ressentir et à la danser. Et personne d'autre n'osait même faire ça et il l'a fait. Vous savez, nous nous sommes tous grattés la tête, je veux dire, "Qu'est-ce que ce type a ? Que fait-il ?" Eh bien, il fait de la musique noire (Elpresse PAS QUE )  qui est tellement fabuleuse mais il s'y adapte, vous savez, il a été le premier à comprendre comment faire ça. Au début il était très en avance sur son temps ...

Oui un CHARISME FOU. Oh, certainement. Mais tu sais, son truc sur Dieu n'est pas mon truc. Il était très religieux, n'est-ce pas ? Il avait ça. Je ne sais pas si j'y crois ou pas. Je crois qu'il avait un talent incroyable, quelque part dans ses gènes, sa mère ou son père, qui que ce soit, il avait quelque chose d'extraordinaire et il pouvait l'exploiter. Et puis ce Colonel Parker est arrivé et a pris le relais, je suppose. Mais tu sais, j'aime le fait qu'il ait amené tous ces gars avec lui. Toujours avec la mafia de Memphis. Ces gars étaient toujours autour de lui. Ils obtenaient des boulots dans des films, ils travaillaient comme acteurs, ils travaillaient comme figurants, ils travaillaient comme cascadeurs. C'étaient ses copains et, pour être honnête, il n'y avait pas grand-chose à faire pour eux. Mais il les voulait là parce qu'ils étaient ses copains et je l'aime pour ça.

 Quand l'as-tu vu pour la dernière fois ?

A : Eh bien, c'était à ce moment-là. C'était à Mobile quand je tournais « Rencontres du troisième type », comme je l'ai déjà dit, et Steven Spielberg le réalisait et un jour il parlait de ses films préférés. Son film préféré était « Viva Las Vegas ». Et j'étais dans « Viva Las Vegas ». Il m'a dit : « Tu n'étais pas là ». J'ai dit : « Oh, oui, oui, j'étais là. C'était mon premier film ». C'était très drôle.

Elvis Presley a été la première personne avec qui j'ai travaillé dans un film. Il a vraiment eu une grande influence sur moi.c'est une personne, je suis une personne. S'il peut le faire, je peux le faire. Et il vous a fait sentir comme ça aussi. Vous savez, il vous a fait devenir son égal. Et, bien sûr, ce n'était pas vrai, mais comme je l'ai dit, je vivais dans un grand monde fantastique et je le fais toujours, mais il vous a fait sentir que vous étiez le même. Et je pense que c'était vraiment un catalyseur incroyable pour moi. Je veux dire, tu travailles avec Elvis Presley et il pense que vous vous ressemblez donc peut-être que s'il peut le faire, tu peux le faire aussi.

Il t'a mis à l'aise, n'est-ce pas ?

R : Oui, il l'a fait. Il a mis tout le monde à l'aise. 

C'est ce qu'il a essayé de faire, que Dieu le bénisse. Je ne sais pas pourquoi. Parce que j'ai travaillé avec beaucoup de stars, même vous savez, elles s'en fichent. Elles sont juste méchantes. Mais lui, si.

j'ai fait environ neuf filmsavec lui , je ne peux même pas les nommer tous , mais le fait que ce soit sur mon CV, je ne peux aller nulle part sans que tout le monde me pose des questions sur Elvis. Je veux dire, j'étais chez Johnny Carson et Letterman et dans toutes les interviews que j'ai faites, donc, vous avez travaillé avec Elvis ... écoutez, laissez-moi tranquille avec Elvis. Je suis une personne aussi. Mais je l'ai fait et j'ai raconté des histoires sur Elvis un million de fois. J'ai raconté l'histoire d'aller chez lui et d'y rester jusqu'à quatre heures du matin, oh, ouais, il adorait faire la fête et, vous savez, mais ce n'était même pas faire la fête. C'était juste rester debout toute la nuit et être fou.

KISSINS COUSINS