• on continue notre petit inventaire des livres existant sur ELVIS

     

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    ELVIS  SEARH FOR  GOD

     

     

     Larry Geller et Jess Stearn : auteur 

    publication novembre 1998 

    • Hardcover:246 pages
    • Publisher:Greenleaf Pubns; 1 edition (November 1998)
    • Language:English
    • ISBN-10:1883729076
    • ISBN-13: 978-1883729073

    STEARN ancien rédacteur en chef du newsweek et new york daily news , il a eu plusieurs best sellers .

    larry geller amis d ELVIS et specialiste des question religieux pour ELVIS son coiffeur aussi en un temps ....

    le coté spirituel d ELVIS

     

    FRANCHEMENT PAS REVOLUTIONNAIRE COMME BOUQUIN

     

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  • photos buddy holly

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  • THE CUSTOMERS

     

     

     

    Originaire de la région Bretagne crée en 2013 dans le Finistere , "The Customers" est l'alliance du Rock'n'roll et de la Country. Groupe de 3 à 4 musiciens avec le batteur "

     

    "The Customers" est composé de: Daffy Holy au chant et à la guitare, Gaëtan au chant, guitare électrique, acoustique, lap steel et chœurs et de Jean-Yves Thébault à la basse, guitare acoustique et aux chœurs.

     

    Forts de leurs expériences sur les scènes nationales dans leurs groupes respectifs, (DD Brothers, Daffy Holy Band, Milwaukee, Nashville Band) ils ont décidé de former "The Customers", un groupe qui vous fera voyager vers le continent américain, les danseurs de Country et de Rock'n'roll pourront s'éclater aux sons des rythmes endiablés et des harmonies vocales.

    Le but de "The Customers" est de s'approprier les morceaux sans les dénaturer pour en faire le son "The Customers", leur répertoire est composé de morceaux de Carl Perkins, Creedence Clearwater Revival, Johnny Cash, Elvis Presley, Buddy Holly, Steve Earl....

     Ils ont  sorti un 1er album autoproduit à 500 exemplaires en 2015 et devant l'enthousiasme qu'il a remporté ,ils ont  enregistrer un 2ème album à 1000 exemplaires , sorti en avril 2017 .

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    Un groupe qui tourne bien en FRANCE .

    The Customers - The Customers10 titres 2015

    The Customers - The Customers10 titres 2017

     

     

     

    https://www.facebook.com/The-Customers-594763470589526/app/2405167945/

     

     https://www.facebook.com/The-Customers-594763470589526/app/2405167945/

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  • ca continue avec les LP

    du label  Cornbread   LPs: "A Date With Elvis"  et „Elvis Presley“  180g Vinyl, . une carte est mise a disposition pour telecharger les chansons ???

     

    A Date With Elvis

    Blue Moon Of Kentucky - Young And Beautiful - (You're So Square) Baby I Don't Care - Milkcow Blues Boogie - Baby Let's Play House - Good Rockin' Tonight - Is It So Strange - We're Gonna Move - I Want To Be Free - I Forgot To Remember To Forget

     

    Elvis Presley

    Blue Suede Shoes - I'm Counting On You - I Got A Woman - One-Sided Love Affair - I Love You Because - Just Because - Tutti Frutti - Tryin' To Get To You - I'm Gonna Sit Right Down and Cry (Over You) - I'll Never Let You Go (Little Darlin') - Blue Moon - Money Honey

     

     

     

    LP CHRISTMAS ALBUM 0180G LABEL EDITION WHITE  LIMITEE

     

     A:
    Santa Claus Is Back In Town - White Christmas - Here Comes Santa Claus (Right Down Santa Claus Lane) - I’ll Be Home For Christmas - Blue Christmas - Santa Bring My Baby Back (To Me)

     

      B:
    O Little Town Of Bethlehem - Silent Night - (There'll Be) Peace In The Valley (For Me) - I Believe - Take My Hand, Precious Lord - It Is No Secet (What God Can Do)

     

     

     

     

     

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  • Carnival Rock

     

    Distribution

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    Propriétaire d’un café concert au cœur d’un parc d’attraction, Christy Cristakos (David J. Stewart) n’a d’yeux que pour sa chanteuse vedette, Natalie Cook (Susan Cabot). Fou amoureux, il en perd le sens des responsabilités et ne prête aucune attention à Benny (Dick Miller), son ami et employé qui le met en garde face aux injonctions de leurs créanciers armés d’une menace de saisie de l’établissement. Les choses pourraient s’arranger si Natalie donnait suite aux avances de Christy… Mais hélas, Natalie n’ose pas dévoiler à son vieux patron qu’elle a déjà un homme dans sa vie, à savoir Stanley (Brian G. Hutton). Il le découvrira par l’entremise de son ancienne chanteuse vedette, jalouse de sa remplaçante et rancunière envers Christy. Désespéré, ce dernier plonge en pleine déprime. Ses heures à la tête de la boîte semblent comptées. Et qui trouve-t-on comme repreneur potentiel ? Stanley lui-même !

    carnivalrock1 carnivalrock2 carnivalrock3

    Après leur avoir fourni une kyrielle de films de science-fiction au point d’en être lui-même un peu las, Roger Corman fit prendre conscience à ses petits camarades de l’AIP que le jeune public -leur cible- pouvait aussi être attiré par autre chose. Par des films traitant de leurs préoccupations morales, par exemple, ce qui aboutira à Sorority Girl. Ou bien par des films rock’n’roll, ce qui débouchera sur Rock All Night. Et pourquoi pas par un film mêlant les deux, quitte à ce qu’il dépasse d’un quart d’heure la durée réglementaire jusqu’ici allouée par l’AIP à la plupart des films de Corman… Produit la même année que les deux autres, sur le lieu de tournage de Rock All NightCarnival Rock est celui-ci. Encore qu’il faille bien admettre que la musique n’est qu’une toile de fond permettant à Corman de placer quelques performances « live » de groupes globalement inconnus si ce n’est pour les Shadows et surtout les Platters, déjà dans Rock All Night et auxquels musicalement on préférera le moins sirupeux Bob Luman. Signalons aussi que Susan Cabot a elle-même poussé la chansonnette, non sans un modeste succès (je vous avouerais même que je la pensais doublée pour le chant… et ben non !). En dehors de ces morceaux, qui permettent aussi aux danseurs de se déchaîner (et à Susan Cabot aussi, décidément suractive !), il n’y a pas grand chose de rock’n’roll dans Carnival Rock. A par peut-être le caractère du personnage de Dick Miller, qui sans être l’égal de son bouillonnant Shorty dans Rock All Night continue sur la voie du dur à cuire en blouson noir. Mais cette fois, point de second degré dans ce personnage, et malgré l’admiration sans bornes portée unanimement par l’équipe de Tortillafilms à cet acteur, il faut bien admettre qu’il n’impressionne guère. D’autant plus qu’aussi sec soit le ton qu’il emploie, Benny reste un gars plein de gentillesse, consacrant entièrement son emploi du temps à arrondir les angles après les conneries de son ami Christy. Sa rudesse n’est qu’une marque de bon sens de la part d’un homme disposant d’un certain recul sur les évènements. Il voit bien que le nœud du problème n’a qu’une seul et unique origine : l’amour démesuré porté par Christy à Natalie. Plus encore que dans Sorority Girl, Corman évite soigneusement le manichéisme. Il prend ici l’heureuse initiative de construire un drame dont le seul fautif est le personnage principal, un quinquagénaire au comportement encore très immature, exagérément guilleret lorsqu’il est heureux et démesurément abattu dans le cas inverse. Ce grand enfant sensible digne de figurer dans un Capra porte lui-même sa croix sous le regard affligé de Benny mais aussi de Natalie et même de Stanley. Ainsi que du spectateur, pris de pitié pour ce pauvre hère prêt à se ridiculiser pour rester auprès de son idole. Comme d’accepter un rôle humiliant de clown, forcément triste, pour rester dans les environs après la saisie du café. Même Stanley s’en trouve ému. Il n’est pas de ces hommes d’affaires sans scrupules que le cinéma aime tant nous montrer et que par un réflexe conditionné par l’abus de cinéma hollywoodien nous imaginions qu’il serait. Mais il reste un homme d’affaires, et ses vues sur la boîte de Christy peuvent d’autant plus se comprendre que sa fiancée en est la tête d’affiche. Dans le fond, sa démarche n’est guère différente de celle de Christy. Tous deux veulent être auprès de Natalie. Stanley apparaît même comme davantage légitime, puisqu’en plus d’être déjà le petit ami de la chanteuse, il dispose aussi du sens des responsabilités depuis longtemps abandonné par celui qui se voudrait son rival. Sa relation avec Natalie n’est même pas malhonnête, il ne l’utilise pas pour parvenir à ses fins, et il se montre affecté, préoccupé puis gagné par la pitié que Natalie porte envers son ancien patron. De son coté, battant là encore en brèche les attentes du public conditionné par les drames hollywoodiens, Natalie n’est ni une femme calculatrice ni une demoiselle appelée à tomber dans les bras du personnage principal. Ses sentiments à l’égard de Christy n’ont pas la moindre équivoque. Elle n’est pas amoureuse, ne le sera pas et n’envisage pas de quitter Stanley. Mais elle sait ce qu’elle doit à celui qui l’a découverte, elle sait que c’est un homme bon, et se savoir à l’origine d’une telle déchéance la met mal à l’aise. D’abord face au seul Christy, puis face à tout le monde. Rôle à multiples facettes difficile pour Susan Cabot, nouvelle venue dans le monde cormanien et qui hélas aura une bien trop courte carrière achevée deux ans plus tard (voir sa biographie chez nos camarades de Psychovision). Elle s’en sort honorablement, encore qu’on puisse toujours lui reprocher une tendance ponctuelle au surjeu. Du fait de la nature complexe de son personnage, ce défaut se remarque surtout chez elle, mais elle n’est pas la seule concernée. Derrière la caméra, Corman lui-même force parfois le trait sur la dramaturgie, essentiellement au niveau de l’empathie envers Christy (le coup du clown triste est par exemple un peu de trop).

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    Même si son titre laisse songer à une vaste fête, Carnival Rock hérite de Sorority Girl d’un minimalisme à tous crins (en dehors des personnages, il n’y a rien) ainsi que d’un manque d’humour total. Le réalisateur s’adresse à un public jeune, plutôt à tendance midinette face à ses premiers émois… Bien sûr, c’est loin d’être ce qu’il a fait de plus captivant. Le propos reste extrêmement limité et on a du mal à imaginer que ce genre de film puisse traverser les âges au delà des férus du réalisateur et des amateurs d’années 50. Mais pour autant, ce n’est pas un mauvais film. Comme sa mère Sorority Girl (son père étant Rock All Night), il a le grand mérite d’être soigneusement pensé, d’éviter autant les leçons de morale que les grosses ficelles du drame amoureux. On peut également le voir comme les premières griffes d’un réalisateur se sentant attiré par l’étude de psychologies complexes, qui dans ses œuvres ultérieures revêtiront des aspects bien plus originaux (le gothique tourmenté du cycle Poe, les introspections psychédéliques de The Trip…)

     

    Loïc Blavier

     

    cassette vhs

     

     

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    Pictured are James Kirkland, Bob Luman and James Burton in a US promotional photo for the 1957 Roger Corman film Carnival Rock starring Susan Cabot, Brian Hutton and David J. Stewart.

     

     

     

     

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