• The Asphalt Jungle

    The Asphalt Jungle /

     

    VF QUAND LA VILLE DORT

     

    Dates de tournage

     

    Début : 21 octobre 1949
    Fin : 21 décembre 1949

     

    Réalisateur John Huston  
    Scénario John Huston  
    Scénario Ben Maddow  
    Auteur de l'oeuvre originale W.R. Burnett d'après le roman "The Asphalt jungle"
    Société de production MGM - Metro-Goldwyn-Mayer  
    Société de production A John Huston Production  
    Producteur Arthur Hornblow  
    Directeur de production Lee Katz  
    Directeur de la photographie Harold Rosson  
    Cadreur Robert Martin  
    Compositeur de la musique Miklós Rózsa  
    Directeur artistique Cedric Gibbons  
    Directeur artistique Randall Duell  
    Décorateur Edwin B. Willis  
    Maquilleur Jack Dawn  
    Coiffeur Sydney Guilaroff  
    Assistant-réalisateur Jack Greenwood  
    Assistant-réalisateur Frank Myers  
    Monteur George Boemler  
    Scripte John Banse  
    Photographe de plateau S.C. Manatt

     

     

     

     

     

    SORTIE U.S May 23, 1950

     

    Pays de production Etats-Unis
    Sortie en France 29 décembre 1950
    Procédé image 35 mm - NB
    Durée 112 mn
    Distributeur Théâtre du Temple

     

    Sterling Hayden (Dix Handley)
    Louis Calhern (Alonzo D. Emmerich)
    Jean Hagen (Doll Conovan)
    James Whitmore (Gus Minissi)
    Sam Jaffe (le docteur Erwin Riedenschneider)
    John McIntire (le commissaire de police Hardy)
    Marc Lawrence (Cobby)
    Barry Kelley (le lieutenant Ditrich)
    Anthony Caruso (Louis Ciavelli)
    Teresa Celli (Maria Ciavelli)
    Marilyn Monroe (Angela Phinlay)
    William Davis (Timmons)
    Dorothy Tree (May Emmerich)
    Brad Dexter (Bob Brannom)
    John Maxwell (le docteur Swanson)
    Alex Gerry (Maxwell)
    Thomas Browne Henry (James X. Connery)
    James Seay (Janocek)
    Don Haggerty (Andrews)
    Henry Rowland (Franz Schurz)
    Helene Stanley (Jeannie)
    Raymond Roe (Tallboy)
    Chuck Courtney (Red)
    Ralph Dunn (le vieil officier de police)
    Pat Flaherty (le jeune officier de police)
    Tim Ryan (Jack, le policier)
    Strother Martin (Karl Anton Smith)
    Henry Corden (William Doldy)
    Frank Cady (l'employé de nuit)
    Jack Shea (le sergent)
    Benny Burt (le chauffeur)
    Fred Graham (le chauffeur de camion)
    David Hydes (Evans)
    Sol Gorss (le privé)
    John Cliff (un policier)
    Ray Teal (un policier)
    Gene Evans (un policier)
    Wesley Hopper (un policier)
    Jack Stoney (un policier)
    Joseph Darr Smith (un reporter)
    Fred Marlowe (un reporter)
    Harlan Warde (un reporter)
    John Crawford (un reporter)
    William Washington (le suspect)
    Leah Wakefield (la fille obèse)
    Judith Wood (la femme obèse)
    Eloise Hardt (Vivian)
    Patricia Miller (la fille mince)
    Albert Morin (Eddie Donato)
    Howard Mitchell (le secrétaire)
    David Bond (le père Sortine)
    Ralph Montgomery (le serveur)
    William Haade (le policier d'état)
    Jeff York (le policier d'état)
    David Clarke (Atkinson)
    Charles Sherlock (un joueur)
    J. Lewis Smith (un joueur)
    Harry Cody (un joueur)
    Mack Chandler (un joueur)
    J.J. Smith (un radiodiffuseur de la police)
    Harry G. Butcher (un radiodiffuseur de la police)
    Mary Anderson (une radiodiffuseuse de la police)
    Ethel Lyons (un radiodiffuseur de la police)
    Jean Carter  
    Wilson Wood  
    Constance Weiler  
    Kerry O'Day

     

    « Penseur » d'un grand coup, Doc Riedenschneider a minutieusement préparé le cambriolage d'une bijouterie. Il réunit les hommes nécessaires pour la réalisation : le tueur, le casseur, le chauffeur, le guetteur, sans oublier le receleur. Mais, en dépit de toutes les prévisions, de tout l'attirail, de tous les chronométrages, le cambriolage se termine par un échec. L'avocat marron qui voulait tout garder pour lui est acculé au suicide ; le « casseur » est mortellement blessé ; Riedenschneider, qui a perdu du temps à regarder danser une jeune fille, est arrêté par la police ; le « tueur », qui a une balle dans les côtes, a juste le temps de venir mourir, accompagné de celle qu'il aime, sur sa terre rêvée du Kentucky.

     

    Meilleur film, 1951 au Edgar Allan Poe Awards

     

    Ouvrages

     

    • La violence dans le film noir américain : tentative d'approche thématique de quelques films : Les Tueurs (Siodmak, 1946), Les Forbans de la nuit (Dassin, 1950), Quand la ville dort (Huston, 1950) / Fa

     

    Le crime organisé à l'écran : Scarface, Angels with dirty Faces, Force of Evil, The Asphalt Jungle : quatre films exemplaires / Dominique Sipière. - Nantes : Ed. du Temps, 2002.

     

    • The Asphalt Jungle : a Screenplay / Ben Maddow and John Huston . - Carbondale : SouthernIllinois University Press, 1980. - Coll : Screenplay Library.

     

    video :

     

    Editeur Warner Home Vidéo France (Paris)
    Distributeur Warner Home Vidéo France (Paris)
    Annee 1994
    Format VHS - SECAM
    Collection Studio de stars
    Pays France
    Nb/coul. Noir et Blanc
    Durée 108 minutes

     

    Wins

     

     

    Nominations

     

    • Venice Film Festival: Golden Lion, John Huston; 1950.
    • Academy Awards: Oscar, Best Actor in a Supporting Role, Sam Jaffe; Best Cinematography, Black-and-White, Harold Rosson; Best Director, John Huston; Best Writing, Screenplay, Ben Maddow and John Huston; 1951.
    • British Academy of Film and Television Arts: BAFTA Film Award, Best Film from any Source, USA; 1951.
    • Directors Guild of America: DGA Award, Outstanding Directorial Achievement in Motion Pictures, John Huston; 1951.
    • Golden Globes: Golden Globe, Best Cinematography - Black and White, Harold Rosson; Best Motion Picture Director, John Huston; Best Screenplay, John Huston and Ben Maddow; 1951.
    • Writers Guild of America: WGA Screen Award; Best Written American Drama, Ben Maddow and John Huston; The Robert Meltzer Award (Screenplay Dealing Most Ably with Problems of the American Scene), Ben Maddow and John Huston; 1951. Le titre du film à travers le monde
      USA: The Asphalt Jungle
      France/ Belgique: Quand la ville dort
      Belgique -flammand-: Wanneer de stad slaapt
      Italie: Giungla d'asfalto
      Espagne: La Jungla de asfalto
      Espagne -catalan-: La Jungla d'asfalt
      Allemagne/ Autriche: Asphalt-Dschungel
      Autre titre Allemagne/ Autriche: Raubmord
      Danemark: Asfalt junglen
      Pologne: Asfaltowa dzungla
      Suède: I asfaltens djungel
      Finlande: Asfalttiviidakko
      Yougoslavie: Dzungla na asfaltu
      Turquie: Elmas hirsizlari
      Grèce: Koursaroi ton megaloupoleon
      Autre titre Grèce: I Zougla tis asfaltou
      Chilie: Mientras la ciudad duerme
      Portugal: Quando a Cidade Dorme
      Brésil: O Segredo das Jóias The Asphalt Jungle, Quand la ville dort, fait partie des films noirs les plus marquants des années 40 et 50. Il marque en effet le début d’un genre, c’est le premier film qui montre toute la préparation, le déroulement et les suites d’un cambriolage de haut vol. C’est le premier « film de casse » (1). Auparavant les films décrivant le parcours de gangster les présentaient comme des hommes parfois brillants mais invariablement avides de pouvoir et de grandeur. La grande originalité de John Huston est de présenter ses personnages comme des hommes ordinaires. Ils ne sont pas brillants mais professionnels, avec des problèmes ordinaires : ils vont tenter de faire le plus gros casse de leur vie. Le film nous décrit la préparation puis le déroulement avec une précision digne d’un documentaire, sauf que Huston est surtout intéressé par les personnages plus que par l’action elle-même. Cela donne à Quand la ville dort une profondeur qui dépasse le genre. Pour accentuer cette authenticité, Huston a choisi de ne pas prendre d’acteur connu ; Sam Jaffe incarne remarquablement ce petit homme, cerveau de l’opération, et Sterling Hayden, à la gros bras et gros poupon, parvient à traduite tous les tiraillements interne de son personnage. Il faut aussi signaler la présence de la jeune Marilyn Monroe dans un petit rôle, petit mais assez important toutefois. L’atmosphère est citadine, nocturne, engendrant une impression d’enfermement qui ne se relâchera qu’à la toute fin, superbe fin apportant une sensation d’air libre et frais dans la campagne du Kentucky. Quand la ville dort a été copié maintes et maintes fois, citons notamment Du rififi chez les hommes de Jules Dassin qui en reprend la trame avec bonheur.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    http://www.youtube.com/watch?v=nCJfAe2sMLY

     

    http://www.youtube.com/watch?v=7RVPtrNS-T4

     

    http://www.youtube.com/watch?v=ZxGTrUvWrHQ

     

     

     

     




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