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  • bad nauheim 

    photo ebay 

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  • GRACELAND et sa magique periode deco LINDA ouais ...

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  • 13 janvier 73 

     

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  • Jackie Morningstar - Rockin' In The Graveyard

     

     

    de son vrai nom Willie Morrell Sr ,a

    sorti le single  tout d abord en AVRIL 1959 sur le label SANDY (Alabama) puis en juin

    sur le label sur ORANGE filial de SANDY .

    decouvert pour moi sur un BISON BOP .

    il fera une 2 e tentative en 1963 sans plus .

     

     

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  • ALBERT AMMONS 

     

    Né à Chicago, il commence le piano à l'âge de 10 ans,grace à des parents exerçant l'instrument. Influencé par Jimmy Yancey, Hersal Thomas, Clarence "Pinetop" Smith .Son intérêt pour le boogie-woogie est attribué à son étroite amitié avec Meade Lux Lewis ainsi qu'à l'intérêt de son père pour ce style. Albert et Meade se sont entrainés ensemble au piano dans la maison Ammons. Dès l'âge de dix ans, Ammons a appris les accords en marquant les touches enfoncées sur le pianola familial (piano mécanique) avec un crayon et a répété le processus jusqu'à ce qu'il le maîtrise.

    il joue - dans le courant des années 20 - au sein des orchestres de François Moseley, William Barbee puis Louis Banks. Puis ayant gagné de l'expérience, Albert décide de créer son propre groupe et devient l'attraction régulière du Club de Lisa pendant deux ans tout en exerçant son métier de taxi (pour la Silver Taxicab Company).

    Albert Ammons

    Ammons a fondé son propre groupe au Club DeLisa en 1934 et est resté au club pendant les deux années suivantes.

    Avec ses Rhythm Kings (Guy Kelly, Dalbert Bright, Ike Perkins, Israel Crosby, Jimmy Hoskins), il grave ses deux premiers simples pour Decca en février 1936 ("Nagasaki", "Boogie woogie stomp", "Early mornin' blues"). Pour le label Vocalion, Albert enregistre le superbe "Shout for Joy". Grâce au producteur John H. Hammond, il participe avec Pete Johnson et son ami d'enfance Meade "Lux" Lewis à la célèbre revue "Spirituals to swing" donnée au Carnegie Hall de New York en décembre 1938.

     La version des Rhythm Kings de "Swanee River Boogie" s'est vendue à un million d'exemplaires, et leur enregistrement de 1936 de "Boogie Woogie Stomp" a été décrit comme "le premier 12-bar boogie-woogie basé sur piano,  a été imité par de nombreux groupes de jazz.

    Ammons a déménagé de Chicago à New York, où il a fait équipe avec un autre pianiste, Pete Johnson.Les deux se produisent régulièrement au Café Society,  parfois rejoints par Lewis ou par d'autres musiciens de jazz, dont Benny Goodman et Harry James. Le 23 décembre 1938, Ammons est apparu au Carnegie Hall avec Johnson et Lewis dans From Spirituals to Swing, un concert produit par John H. Hammond, qui a contribué à lancer l'engouement pour le boogie-woogie.

    Albert Ammons

     

    Albert enregistre aussi pour le label Solo Art des titres  de bon niveau ("Bass gone crazy", "Boogie woogie") où il se retrouve seul au piano.

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    Albert Ammons

     

    Albert participe aussi à une séance avec les jazzmen Hot Lips Page, Vic Dickenson, Don Byas qui débouche sur des titres remarquables : "Blues in the groove", "The breaks". En septembre 1945, il entame une fructueuse collaboration avec Mercury : "Buzz me" avec Sippie Wallace et Lonnie Johnson, "Oh lady be good", "Suitcase blues", "Boogie woogie at the Civic Opera". Dans la dernière partie de sa carrière, Albert grave encore quelques superbes faces bien supporté par son groupe (où figurent notamment le guitariste Ike Perkins et son fils le saxophoniste Gene Ammons) : "Twelfth Street boogie", "Hiroshima", "Margie", "Bear den boogie" parmi d'autres.

    En 1949, il a joué à l'investiture du président Harry S. Truman. Au cours de ses dernières années, Ammons a joué principalement au Beehive Club et au Tailspin Club à Chicago. Quatre jours avant sa mort, il était à l'appartement Yancey en train d'écouter Don Ewell et Jimmy Yancey jouer. Ammons ne pouvait jouer qu'une seule chanson, venant de retrouver l'usage de ses mains après une paralysie temporaire. Ammons est mort de causes naturelles le 2 décembre 1949 à Chicago, environ trois mois avant son 43e anniversaire. Il a été enterré au cimetière Lincoln, sur l'avenue Kedzie à Blue Island, canton de Worth, comté de Cook, Illinois.

     Ammons a eu une grande influence sur d'innombrables pianistes, tels que Jerry Lee Lewis, Dave Alexander, Dr. John, Hadda Brooks, Johnnie Johnson, Ray Bryant, Erroll Garner, Katie Webster, Axel Zwingenberger, Henri Herbert, Steve "Big Man" Clayton et le pianiste allemand Jörg Hegemann.

    merci lui d avoir exister 

     

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