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  • FATS DOMINO 

     

     

     

    Antoine Dominique Fats Domino voit le jour le 26 février 1928 à La Nouvelle-Orléans, en Louisiane. Enfant, il est initié au piano, au chant, et au français (sa langue maternelle) par son beau-frère Harrison Verrett, de vingt ans son aîné.Très timide et solitaire, il est débrouillard et déterminé. Son sobriquet est "Tit frère". Dès son plus jeune âge, Antoine adore la musique. La famille possède un vieux gramophone qu'il écoute toujours en gardant le rythme, claquant des doigts sur diverses chansons du genre blues et jazz. Il donne ainsi son premier concert à l'âge de dix ans à peine. C set HARRISON DONC qui lui montre les accords de base en inscrivant les notes sur les touches du piano pour qu'il puisse bien les apprendre4. En très peu de temps, Antoine ne veut plus jouer que du piano. Ses parents, qui l'écoutent pratiquer pendant des heures tous les jours, installent le piano dans le garage. C'est là qu'il apprend les chansons qu'il entend à la radio. Sauf en musique, Antoine a des difficultés à l'école. À onze ans, en quatrième année, il abandonne les études pour travailler dans une manufacture. 

    , devient ouvrier d'usine, mais occupe la scène des night-clubs en soirée.À part quelques leçons de musique données par Verrett, ses connaissances musicales sont acquises en écoutant le juke-box qui joue du blues et du boogie d'artistes comme Amos MILBURN, Charles BROWN, Louis JORDAN, Pete JOHNSON, et Meade Lux LEWIS. Dès l'âge de 14 ans, il fait déjà les circuits des boîtes à chanson autour de La Nouvelle-Orléans. Il rencontre, à cette époque, Robert « Buddy » HAGANS, un saxophoniste amateur qui devient son partenaire musical pour les vingt-cinq années suivantes. À ce duo, se joignent le batteur Victor LEONARD et le guitariste Rupert ROBERTSON. Sa popularité augmente grâce à son interprétation de la chanson "Swanee River Boogie" d'Albert AMMONS, une reprise du classique de Stephen FOSTER "Old Folks at Home". Les « fans » entrent dans les clubs juste pour entendre cette chanson. Le 15 mai 1948, Antoine et Buddy se présentent au bureau du syndicat pour musiciens noirs et payent 12 $ pour leurs cartes de membres. La carte était nécessaire afin de pouvoir jouer hors de la ville dans la boîte de nuit « Robin Hood », où Paul GAYTON et Annie LAURIE ont joué avec le bassiste bien aimé, Billy DIAMOND. Après le spectacle d'Antoine, suivi d'applaudissements et de cris d'approbation par l'audience, Billy Diamond le présente sous le nom de « Fats » Domino, le comparant au célèbre Fats WALLER. Cette première référence à sa taille imposante devient sa «Marque déposée». Bien qu'atteint par ce sobriquet, Antoine finit par le garder car c'est un terme chic et populaire durant cette époque. Sa carrière perce vraiment dans la « musique biz » lorsqu'il fait des tournées avec le groupe de Billy DIAMOND. À l'âge de 21 ans, Fats attire la foule au club Hideaway où il a des représentations trois soirs par semaine avec son propre groupe. Le point tournant de sa carrière arrive lorsqu'un agent d'Imperial Records, Dave BARTHOLOMEW, trompettiste-artiste-compositeur, à la recherche de talents, vient voir son spectacle dans le club. Il a entendu parler de lui. Fats signe un contrat avec Imperial Records en novembre 1949. Son gérant est maintenant Lew CHUDD, le propriétaire d'Imperial Records.  DONC à dix-neuf ans il décide de devenir musicien professionnel.Un premier contrat avec le label Imperial lui permet d'enregistrer en 1949 son premier hit, « The Fat Man », qui évoque les drogues, et lui vaudra un surnom, qu'il conservera toutau long de sa carrière, suggéré par sa surcharge pondérale. Le disque est certifié disque d'or, et se vend à un million d'exemplaires.En 1951, Domino signe un nouveau contrat de quatre ans avec Imperial Records. En 1952, Fats enregistre ses plus grands succès. Parmi eux figure la chanson "Goin' Home", devenue son premier no 1 au palmarès rhythm and blues (r&b) et no 30 au palmarès pop en juin. Il présente son plus grand spectacle dans la salle de bal Pentagon où 700 admirateurs viennent l'écouter. Le 6 mars 1954, Domino est nommé l'artiste r&b ayant le plus de ventes au palmarès juke-box. Le 9 juillet 1955, Fats devient le deuxième artiste r&b à gagner le « Billboard Triple Crown Award » avec le plus grand nombre de ventes en r&b, ainsi qu'aux palmarès juke-box et «Disc Jockey». En septembre, il enregistre une autre chanson, 'Poor Me', qui devient no 1 au classement r&b. Sa musique devient de plus en plus populaire parmi les blancs aussi.  Bien sur tout cela grace à la rencontre d'avec  Dave Bartholomew, qui devient son manager, producteur, et co-auteur de chansons. Ils'entoure également du batteur Earl Palmer, et des saxophonistes Alvin Red Tyler, Fred Kemp, qui endosse également la fonction de chef d'orchestre et Herbert Hardesty, qui assurera la majorité des solo de ses disques.Les cinq premières années de sa carrière, Fats Domino enregistre ses disques en format 78 tours,tout simplement car 45 et 33 tours ne sont pas encore disponibles sur le marché. Dès 1955, les succès se multiplient : « Whole Lotta Loving »« Ain't That a Shame » (quise fraie un chemin dans le Top 10 des charts américains, bien que la version du chanteur blanc Pat Boone recueille davantage de suffrages publics en ces temps de ségrégation), et « Blue Monday » confortent sa stature de vedette internationale.


    De même, son premier album, intitulé Carryon Rockin' (puis Rock And Rollin' With Fats Domino)est un succès. On peut le voir en 1956 dans le film The Girl Can't Help It avec Jayne Mansfield, et il figure égalementau générique de Shake, Rattle and RollThe BigBeat,Jamboree et, pour sa dernière apparition àl'écran, dans Red Sails in the Sunset (1967). Lamême année, sa version de « Blueberry Hill »,chanson des années 1940, devient son tube le plus important, et se classe en deuxième position des charts. Domino, durant ses loisirs, ne dédaigne alors pas de servir de choriste à des chanteurs amis comme Lloyd Price (Fats joue en fait du piano sur « Lawdy Miss Clawdy », standard de cedernier). Jusqu'en 1959, Fats Domino ne ralentit pas lacadence : « I'm Walkin' » (reprispar Ricky Nelson), « Valley of Tears »« It 'sYou I Love »« Whole Lotta Loving »«I Want To Walk You Home » et « Be MyGuest » font les belles nuits dessurprises-parties. Après une pause, le chanteur retrouve la faveurdes hit-parades, avec « Walkin' to NewOrleans » (1960), et « My Girl,Josephine ».
    Contraint de changer de label,Fats Domino se retrouve exilé à Nashville, ses nouveaux producteurs l'orientant, de gré ou de force, vers la country music. Le chanteur s'en sort avec les honneurs, en particulier lorsqu'il interprète des chansons figurant au répertoire d'Hank Williams(« Jambalaya (On The Bayou) »). Mais sa carrières'en ressent, d'autant qu'il est, durant la fin de la décennie,frappé de plein fouet, à l'instar des autres pionniers du rock'n'roll, par la désaffection du public, et l'invasion des groupes britanniques. Il enregistre néanmoins« Lady Madonna » (ce sera son dernier tube), chanson composée en son hommage par The Beatles en 1968. Fats Domino décide alors de ne plus quitter La Nouvelle-Orléans, et de ne donner des concerts que dans un périmètre restreint autour de la ville, où il est considéré comme une légende vivante. Il y réside dans le quartier ouvrier de son enfance. En 1986, Fats Domino est intronisé dans le Rock and Roll Hall Of Fame et récompensé l'année suivante par un Grammy Award pour l'ensemble de sa carrière. Dans les années 1990, Fats Domino est contraint d'interrompre pour raisons de santé une tournée britannique. 

    Au mois d'août 2005, à l'approche de l'ouragan Katrina, ses amis tentent - en vain - de le convaincre de prendre la poudre d'escampette. Le musicien décide de rester au chevet de son épouse Rosemary (qui lui a donné huit enfants), gravement malade. Il disparaît dans la tourmente, et tous, manager, famille et public,sont convaincus de son décès. Il a été en fait secouru par l'hélicoptère d'un garde-côte. Tous (jusqu'au président George W. Bush) se mobilisent alors pour venir en aide à celui qui atout perdu. En 2006, Fats Domino apparaît lors du festival Jazz& Heritage de sa ville, en hommage aux victimes de la catastrophe, et enregistre un album caritatif, Alive andKickin'.

    On peut attribuer à Fats d’avoir donné un style et un son particuliers à la musique rock, dite révolutionnaire à l’époque, même s'il y avait peu de paroles choquantes ou scandaleuses. Pour Fats, ses chansons n’étaient pas révolutionnaires et ne faisaient qu’amplifier ses racines et ses traditions afro-américaines d’origine créole et catholique, mais elles étaient nouvelles pour la majorité de la population américaine. C’était plutôt une menace au statu quo des blancs dans la musique .l est reconnu pour son r&b sensuel d’origine créole que les musiciens et musicologues identifient souvent comme du « boogie-woogie ». Ce qui le distingue des autres musiciens, même ceux qui ont repris ses chansons, c’est son rythme original et unique (qu’il appelait le « Big Beat ») et sa voix enrouée. Ce « Big Beat » est vite devenu synonyme de l’expression rock'n'roll permettant facilement aux spectateurs de danser au rythme de ses chansons53. Son rythme syncopé fut la racine du ska jamaïcain, précurseur du reggae54. Ses notes triolets, au piano, sont utilisées dans tous les genres de musiques populaires .

     

    SA VIE PRIVEE

    En 1947, Antoine tombe amoureux d’une jeune femme appelée Rosemary Hall qui est la fille d’une grande admiratrice de ce dernier. Le 6 août de cette même année, la jeune fille de dix-sept ans épouse Antoine qui a dix-neuf ans. Pour son vingtième anniversaire, Fats est le père d’une petite fille. En tout, lui et sa femme auront huit enfants qu’ils nommeront Antoinette, Antoine III, André, Andrea, Anatole, Anola, Antonio et Adonica.

    Sa carrière l’oblige à déménager à Los Angeles, devenu son deuxième domicile et son lieu de plaisirs. Il commence à boire énormément et à fréquenter des femmes. Il compose les chansons Please Don’t Leave Me et Rose Mary pour raconter son dilemme face à son nouveau style de vie, ses sentiments de culpabilité et de tristesse car il s’ennuie de sa famille. Sa seule addiction est l’alcool. Il évite les problèmes de drogue alors que, souvent, il doit payer les amendes et les contraventions de ses musiciens - qui se font arrêter en possession de drogue - afin qu’ils puissent jouer un spectacle. Son guitariste Papoose Nelson entre autres, dépense tout son argent pour les drogues, vendant même sa guitare sachant que Fats lui en achètera toujours une nouvelle afin qu’il puisse jouer. Ses mauvaises habitudes prennent de l’ampleur à mesure que son succès augmente. Sa dépendance à la boisson et ses habitudes de côtoyer des femmes font qu’il arrive souvent en retard à ses concerts ou aux sessions de studio. Parfois, il manque complètement les concerts et la foule, déçue, le fait savoir ! Diamond, qui se sent responsable, plaide pour lui-même afin d’arriver à temps. Incapable de changer ses comportements, Diamond quitte le groupe à la fin de 1956.

    Sa vie de débauche n'empêche pas Fats Domino de rester proche de sa femme. Il l'appelle tous les jours lorsqu’il est en tournée et lui envoie souvent de l’argent. À maintes reprises, il se dira malade et annulera des spectacles pour retourner à La Nouvelle-Orléans. Alors que sa ville natale demeure toujours son chez-soi principal, sa renommée et sa fortune l’ont toujours éloigné de ses frères et sœurs.

    Fats est un homme qui fait facilement confiance. Il est facilement manipulable par son entourage comme le fit Charles Levy Jr., son avocat qui a procuration sur ses biens. C'est après avoir pris des cours de gestion à la YMCA, à l'initiative de sa femme, qu'il remarque à quel point son avocat l'a volé. Deux autres aussi le manipulent, Roy Montrell qui va jusqu’à ruiner ses spectacles afin de s’assurer que Fats lui donnera toujours l’argent qu’il demande et son batteur Smokey Johnson qui a lâché le groupe six fois afin de pouvoir demander une augmentation de salaire à chaque fois que Fats a besoin de lui.

    Le manoir rose et blanc que Fats a bâti en 1960 pour 200 000 $ dans le quartier pauvre du « Low Ninth Ward » à La Nouvelle-Orléans est longtemps une curiosité touristique. C’est le même quartier pauvre à majorité noire où il a passé toute sa vie. Des vigiles parcourent la propriété afin d’assurer la sécurité. Plusieurs de ses « fans » cognent à sa porte pour le rencontrer. Alors que sa femme n’aime pas ces intrusions dans sa vie privée, Domino lui, ne refuse jamais ces rencontres. En vérité, Rosemary n’a jamais aimé ce changement de style de vie et ces richesses matérielles tant aimées par son mari. Fats s’achète jusqu’à quatre nouvelles voitures par an. Sa femme et plusieurs de ses enfants vivaient encore dans ce quartier avant l’ouragan Katrina. Fats lui, passe la plupart de son temps dans une maison du manoir où, s’y sentant tranquille, il peut se reposer.

    En septembre 1965, l’ouragan Betsy frappe fortement le quartier du « Lower Ninth Ward ». La famille Domino s'installe au deuxième niveau du manoir durant la tempête. Domino a abandonné ses musiciens à Détroit pour rejoindre sa famille. Sur place, il doit naviguer en bateau.

    Le 6 août 1997, Fats et Rosemary ont célébré leur 50e anniversaire de mariage. Fats passe maintenant presque son temps à la maison comme il l’avait promis dans la chanson composée en son hommage quarante-quatre ans plus tôt. Il a modifié la chanson « Rose Mary » afin qu’il soit plus en phase avec l’évolution de leur mariage.

     

    Le 29 août 2005, à l’âge de 77 ans, Domino et sa famille refusent d'évacuer leur maison lors de l’ouragan Katrina qui détruit leur quartier. Ce soir-là, la police du port de La Nouvelle-Orléans sauve, avec un bateau « Boston Whaler » de 22 pieds, 200 personnes, parmi lesquelles Fats Domino, sa femme, cinq de ses enfants, deux gendres et trois petits-enfants. Ils passent un mois avec leurs deux autres enfants au Texas. De retour dans sa ville natale, il décide de construire une nouvelle maison, de l’autre côté de la rivière Mississippi et de La Nouvelle-Orléans. C’est là qu’il demeure toujours aujourd’hui.

     

    discographie des plus completes

    http://www.fatsonline.nl/Discography/index.html

     

     LPThisisFatsDomino

    LPHerestands

    LPFatsDominoSings

    ad_iminthemoodEP01cover

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    ephoes_bemyguestcdhoeschristmas

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    DVD_front_TheBigBeat

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    Fats Domino at age 10.10 ans

    Fats Domino on piano with the Billy Diamond Orchestra

    Fats Domino and his family

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