• http://www.elvisbirthdaytribute.com/index.html

     

    il y a des vedettes egalement dans cet hommage ...

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  • LAS VEGAS n a pas seulement célébré son avenue ELVIS PRESLEY (blvd) , mais le casino WESTGATE souhaite un bon anniversaire au KING .

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  • Elvis Presley  Follow That Dream

    Withlacoochee River Florida

    Withlacoochee Gulf AreaChamber of Commerce Office

    Mailing Address: PO Box 427, Inglis, Florida 34449
    Visitors Ofiice: 67 Highway 40 West
    Inglis, Florida 34449 
    Telephone: 352-447-3383

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     the Chamber of Commerce of Inglis & Yankeetown
    At the mouth of the Withlacoochee River On Florida’s Nature Coast

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    à bird creek 

    50 ans apres 

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    Elvis - follow that dream movie released 1962 Elvis played Toby Kwimper:

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  • SIGNE FURAX

     

     Résultat de recherche d'images pour "malheur au barbus"

    Tout commence le 15 octobre 1951, lorsque Pierre Dac et Francis Blanche lance sur RTF une série d'épisodes radiophoniques ayant pour titre Malheur aux barbus, opposant le bandit Edmond Furax aux deux détectives Black et White. Malgré le succès de la série, l'humour quelque peu irrévérencieux de la série vaut à ses deux auteurs d'être éjectés de leur radio d'origine. Ce n'est que quelques années plus tard, sur la jeune station Europe 1, que naîtra "Signé Furax", une nouvelle série centrée sur le populaire personnage de Furax. 

    Le feuilleton radiophonique connut cinq saisons, et fut repris en bande dessinée dans France Soir. Chaque saison a été diffusée à raison d'un épisode de dix minutes par jour. Les cinq saisons sont : 

    • * Malheur aux Babus (1951-52 sur RTF) 
    • * Le boudin sacré (ou les monuments volés) (1956-57) 
    • * La lumière qui éteint (1957-58) 
    • * Le gruyère qui tue (1958-59) 
    • * Le fils de Furax (1959-60) 
    • (Les saisons 2,3 et 4 sont actuellement disponibles en CD) 
    • Signé Furax, c'est avant tout des personnages : Black et White, deux détectives maladroits (Pierre Dac et Francis Blanche), le commissaire Socrate de l'improbable DDT (la Défense Divisionnaire du Territoire), le professeur Hardy-Petit de l'Institut d'Electronique Experimental et Transcendantale, sa fille Carole et son fiancé, le génial inventeur Théo Courant, le tueur à gages napolitain à la retraite, Asti Spumante, l'humble Maurice Champo, dit La Grammaire, descendant de l'illustre Champollion, l'insupportable Jee-Jee Boy, Sa Sérénité la Maharanée Pauline IV, reine du Filekistan... Et bien sûr Furax à l'égo surdimensionné, courageux aventurier ou génie malfaisant, selon ses humeurs. Mention spéciale aussi aux "méchants" : l'ignoble Klakmuf, de la secte des Babus ou son homme de main Grougnache (dont l'une des seules répliques est : « Je le descends, patron ? »), aussi attachants que les "bons". 

    Résultat de recherche d'images pour "le boudin sacre"

     Le feuilleton fut créé pendant l’été 1951 par Pierre Dac et Francis Blanche réunis dans la maison de vacances que ce dernier possédait à Èze dans l’arrière-pays niçois. Les deux compères venaient de triompher dans Sans issue, une revue présentée à plus de 600 reprises au théâtre des Trois-Baudets dirigé par Jacques Canetti. Francis Blanche, grand amateur de roman populaire, a l'idée de réaliser pour la radio « du Fantômas à la sauce loufoque », le loufoque étant cette forme d'humour pratiquée par Pierre Dac (auto-proclamé « roi des loufoques ») et diffusée dans sa revue l'Os à Moelle. L'idée du nom de Furax viendrait de Dac . De cette collaboration, naquit Malheur aux barbus diffusé dès la rentrée suivante sur les ondes de la RTF. À l'origine, c’est Serge Reggiani, alors au faîte de sa gloire, qui fut pressenti pour prêter sa voix à Furax. Celui-ci étant trop pris ou trop cher, le rôle en fut finalement confié au jeune Jean-Marie Amato. Le feuilleton s'acheva en juin 1952 et n'a pas été renouvelé par les responsables de la chaîne.

    Cependant, quatre ans plus tard en 1956, Pierre Dac et Francis Blanche sont contactés par Lucien Morisse, directeur artistique d’Europe no 1, station créée en 1955 et dirigée par Louis Merlin. Lucien Morisse leur propose de créer un feuilleton pour la rentrée. C'est ainsi qu'est conçu un nouveau feuilleton reprenant les personnages principaux de Malheur aux barbus, sous le nom générique de Signé Furax. Quelques modifications sont apportées aux personnages : ainsi, le professeur Merry Christmas devient professeur Hardy-Petit, le journaliste Fred Transport disparaît, cédant sa place à l’électronicien Théo Courant dans le cœur de Carole, la fille du professeur.

    Ce fut aussi une entreprise familiale pour Francis Blanche, où apparaissent son père Louis Blanche (le professeur Hardy-Petit), son épouse Édith Fontaine (Carole Hardy-Petit et Justine Fiotte), son beau-frère Claude Grégory, sévère directeur littéraire à la ville comme « conseiller criminel » de certaines productions. De même son fils Jean-Marie Blanche apparait dans de nombreux épisodes.

    L'équipe de production

    • La réalisation est de Pierre Arnaud de Chassy-Poulay.
    • Assistants : Jean Huneau, Pierre Mimile, Pierre le Tailleur.
    • Assistant-monteur : Jean Mulard.
    • Ingénieur du son : Richard Thomas.
    • Bruitages : Robert Franz.

     

     

    • Malheur aux barbus, 213 épisodes diffusés quotidiennement du 15 octobre 1951 au 19 juin 1952, à 13h10, sur la chaîne parisienne de la RTF.
      Le feuilleton raconte le mystérieux enlèvement de tous les barbus de la Terre par un aventurier sans scrupule : Edmond Furax. Les détectives Black et White se lancent à sa poursuite, aidés par le journaliste Fred Transport, Carole Christmas, et le professeur Merry Christmas titulaire de la chaire de barbologie analytique à l’université de la Sorbonne. On rencontre aussi le commissaire Socrate, de la police judiciaire, ainsi qu’Asti Spumante, tueur à gage napolitain. La quête des deux détectives les conduira à travers le monde, au Sama Kutra et même dans l’espace, au-delà de l’éther…
    • Signé Furax : Le Boudin sacré, diffusé du 22 octobre 1956 à juin 1957.
      Cette saison, la première répondant au titre générique de « Signé Furax », raconte le vol des grands monuments de France tels l’obélisque de la Concorde, le Lion de Belfort ou l'arc de triomphe d'Orange, remplacés par des imitations en staff portant la mention « Signé Furax ». Chacun de leur côté, le commissaire Fouvreaux de la DDT (Défense divisionnaire du territoire) et le commissaire Jean-Jacques Socrate de la Police Judiciaire mènent l'enquête. Ils font appel à Black et White, deux détectives privés afin de résoudre le mystère de ces disparitions. Ils se trouvent alors rapidement confrontés à l'ignoble Klakmuf et à son homme de main Grougnache, tous deux membres de la secte des Babus.
    • Signé Furax : La Lumière qui éteint, 259 épisodes diffusés du 14 octobre 1957 à juin 1958.
      L'aventure débute quand Asti Spumante vient tirer ses amis Black et White de leurs vacances bien méritées. Terrorisé, il vient de découvrir que le criminel Edmond Furax fait à nouveau des siennes. Effectivement, quelque temps après, la centrale hydraulique de Morzy-les-Gaillardes nouvellement inaugurée, répand dans les foyers une étrange lumière bleue qui éteint les volontés des habitants des environs, faisant ainsi de celui qui la possède le maître du monde. Cette lumière bleue, invention du professeur Grégory Moshmosh, est tombée entre les mains de Furax désormais allié aux Babus pour conquérir la Terre. Pour parvenir à ses fins, il enlève les plus grands savants, tels les professeurs Hardy-Petit et Costecalde. Face à cette menace, Black et White secondés par le commissaire Socrate et leurs amis, entament un combat sans merci.
    • Signé Furax : Le Gruyère qui tue, 224 épisodes diffusés d’octobre 1958 à juin 1959. Des extraterrestres, connus sous le nom de Gzbrhs, venus d'une base sur la lune, envahissent la terre dans le but de coloniser le monde en prenant place dans la tête de tous les gens ayant consommé le « gruyère qui tue ». Ceux-ci se reconnaissent au fait qu'ils disent toujours « indibutablement ». Furax (dont la compagne, l'aventurière Malvina, fut l'une des premières victimes du gruyère qui tue), Black, White et tous les autres vont essayer de déjouer cette machination extraterrestre.
    • Le Fils de Furax, diffusé d’octobre 1959 au 29 juin 1960. Furax, dorénavant pourvu d'un fils, songe à son éducation et entend en faire son digne successeur. Mais un mystérieux héros, l'Ange Mauve, se dresse sur sa route et contrecarre systématiquement ses plans... De leur côté, les Babus ne sont pas en reste: ils prévoient toujours de modifier l'histoire à leur avantage, d'abord en changeant l'issue de la guerre de Troie, puis en profitant du Directoire pour envahir le Canada. Tour à tour ennemi et associé de Klakmuff, Furax se lance à nouveau dans la bataille avec Socrate, Asti, Black (White, parti au Filékistan, fera une apparition-éclair) et tous les autres... et surtout son fils Alexis.

     

    Aventures hors-série[modifier | modifier le code]

    Les Fabuleux Méfaits de Furax cinq épisodes d'environ trente minutes vendus par correspondance en cinq lots de deux disques microsillons 45 t., aux éditions du Cap :

    • Menace sur Tancarville10
    • La Navrante Comédie des proverbes11
    • Trafic de larmes12
    • L'Enlèvement du Père Noël13
    • Alerte aux homards14 (il s’agit de la transposition de l’épisode « L’Attaque des araignées géantes », issu de la Lumière qui éteint)

    Chaque méfait est introduit par une complainte interprétée par Francis Blanche, en référence à la Complainte de Fantômas écrite par Robert Desnos pour Radio Paris en 1933.

     

    Les cinq épisodes hors-série ont été réédités en 2005 en un coffret de deux disques compacts audio15, le premier réunissant trois épisodes, le second groupant deux épisodes.

     

    • Edmond Furax (Jean-Marie Amato) : dangereux criminel mégalomane qui sème la terreur par ses forfaits. Il est très charismatique et a des dons d'hypnose, il peut en outre changer aisément d'identité et se déguiser. Sa réplique fétiche est « Et c'est pour ça que tu m'aimes, Malvina. ».
    • Malvina Carnajoux (Jeanne Dorival) : c'est la maîtresse de Furax. Sa loyauté n'a d'égal que l'amour qu'elle voue à celui qu'elle surnomme affectueusement « Fufu ». Pour lui, elle est capable de tuer.
    • Black et White (Pierre Dac et Francis Blanche) : couple de détectives privés sympathiques et maladroits. Ce sont leurs enquêtes qui servent de fil conducteur à l'intrigue.
    • Asti Spumante (Jean-Marie Amato) : ancien tueur à gages napolitain devenu propriétaire sous le pseudonyme du signor Canelloni, d’une pizzeria à Tanger, située en face du bar de la Grimace. Vénal et pusillanime, il assiste tant bien que mal Black et White dans leurs enquêtes.
    • Jean-Jacques Socrate (Maurice Biraud) : commissaire à la P.J. puis directeur de la DDT. Pour un temps, Furax fera de lui un zombie à ses ordres.
    • Justine Fiotte (Édith Fontaine) : fidèle secrétaire du directeur de la DDT, d'abord Fouvreaux, puis Socrate. Type de la vieille fille un peu fleur bleue, sa candeur n'empêche toutefois pas quelques traits de génie. Signe particulier : un cheveu sur la langue.
    • Maurice Champot dit la Grammaire (Maurice Biraud) : personnage énigmatique, descendant de Champollion, il est le distingué patron du bar de la Grimace à Tanger. Il accompagne Black et White dans la plupart de leurs enquêtes.
    • Léon Klakmuf (Claude Dasset) : sorte de super-vilain à l'accent germanique, tout à la fois sadique et pathétique, il est le rival de Furax dans le crime, il s'associera même temporairement à lui au cours de la saison la Lumière qui éteint où il sera brièvement « prince de Morzy ».
    • Grougnache (Robert Verbeke) : brute épaisse, homme de main de Klakmuf. Sa réplique fétiche est « Je l'descends, patron ? »
    • Le professeur Hardy-Petit (Louis Blanche) : éminent scientifique, directeur de l'Institut d'électronique expérimental et transcendantal. Par sa connaissance et son inventivité, il vient fréquemment au secours de Black et White comme de Socrate dans leur lutte contre Furax.
    • Théo Courant (Claude Nicot) : jeune ingénieur en électronique, il assiste Hardy-Petit, il reprend la direction de l'Institut électronique après la démission de ce dernier. D'abord fiancé à Carole Hardy-Petit, il l'épouse à l'issue de la deuxième saison.
    • Carole Hardy-Petit (Édith Fontaine) : fille du professeur, fiancée puis épouse de Théo Courant.
    • Pauline IV puis « Pauline V » (Pauline Carton) : la maharané de Sama Koutra.
    • Le président Clodomir (Léo Campion) : extra-terrestre (Pignouf), président de la planète Astérix.
    • Commissaire Alphonse Fouvreaux (Jean-Marie Amato) : directeur de la DDT, lancé à la poursuite de Furax.
    • Préfet Tumelatume  : Préfet du Palais sous le règne des Babus à Sama Koutra, il trahit la Maharané Pauline IV, puis les Babus.
    • Grégory Moshmosh (Roger Carel) : scientifique babu, il est l'inventeur de la « lumière qui éteint ».
    • Jeejeeboy (Francis Blanche): factotum de la Maharané, il est analphabète, peu intelligent mais a parfois de bonnes idées.
    • Maklouf : (Jean-Marie Amato) vieux sage babu, il est versé dans les traditions de la secte, pratique la divination avec un escargot et accompagne parfois, bien malgré lui, le « frère babu Klakmuf ».

    Plusieurs générations d'auditeurs se sont retrouvées autour du transistor pour écouter les épisodes de cette série délirante, écrite par Pierre Dac et Francis Blanche, interprétée par les plus prestigieux comédiens des années 1950-60. En mai 1957 Guy Mollet, président du Conseil, alors qu'il venait d'annoncer à la presse la démission de son gouvernement, a déclaré : « Messieurs, je dois vous quitter, c'est l'heure de Signé Furax. »19

    En 1959, le sociologue Edgar Morin dans la Nouvelle Revue française consacre au phénomène un long article :

    « Je tiens Furax pour une œuvre géniale, pour la grande Iliade du siècle de l'humour. [...] Je vois dans Furax une intégration parfaite de l'épopée et de la parodie ; la parodie ne détruit pas le souffle et le souffle épique est emporté par une prodigieuse bouffonnerie. C'est bien plus que du Sapeur Camember ou du Tintin. C'est du Pantagruel à la sauce Hellzapoppin et au rythme électronique. »

     

    Dessinée par Henry Blanc, une adaptation sous forme de bandes quotidiennes est proposée à partir du 25 février 1957 jusqu’en septembre 1960 dans France-Soir. L’adaptation est due à Paul Gordeaux22 qui était directeur littéraire de France-Soir et à ce titre supervisait l’ensemble des bandes dessinées qui y paraissait, ainsi qu'à Roger Mallat qui assura l’essentiel de l’adaptation de Signé Furax. En tout, 1174 bandes parurent23.

    Les éditions Pressibus en ont édité l’intégralité en album : Les Monuments volés - correspond au Boudin Sacré (1-255), La Lumière qui éteint (256-571), Le Gruyère qui tue (572-920), le Fils de Furax (921-1174) en 1995 puis 1999.

     

     

     

     

    Outre la Bande dessinée de Henry Blanc, le feuilleton donna lieu à un film réalisé par Marc Simenon, sorti sur les écrans en 1981. 

     

     

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    bon film 

     

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