• les Enfants terribles

    fiche technique:

     

     

    Distribution:

     

     

    Après la mort de leur mère, Élisabeth et Paul, frère et sœur orphelins livrés à eux-mêmes et liés par une affection exclusive, vivent ensemble dans leur grand appartement parisien. Ils se sont construit un univers chimérique régi par de sibyllins symboles. Leur chambre est un véritable sanctuaire où trône un « trésor » chargé d'une signification également connue d'eux seuls. Élisabeth rencontre Michaël et l'épouse, mais, le jour suivant, il meurt lors d'un accident sans que leur mariage ait été consommé. Elle hérite de la fortune de Michaël, dont un vaste hôtel particulier où Paul vient la rejoindre avec leur fameux trésor. Gérard, un camarade de Paul et son amie Agathe, qui ressemble étrangement à Dargelos (un collégien que Paul idolâtre), viennent bientôt habiter avec eux. Mais lorsqu'Élisabeth comprend que l'amour naît entre son frère et Agathe, telle une divinité grecque, une sorte de Parque, elle tisse une toile machiavélique afin que son frère ne puisse lui échapper. Comme dans toutes les tragédies antiques, l'issue ne pourra être que fatale

     

    Les amateurs du cinéma de Jean-Pierre Melville risquent fort d’être déstabilisés à la vision de ce film étrange qui doit autant, sinon plus, à Jean Cocteau qu’au réalisateur du Samouraï. Il serait donc judicieux de mettre un temps de côté les films policier de Melville, qui ont fait sa renommée, avant de se pencher sur ces Enfants terribles et de se livrer à des comparaisons farfelues. C’est Jean Cocteau, pris par la préparation de son Orphée et admiratif du Silence de la mer (1948), premier film du cinéaste, qui fit appel à ce dernier pour adapter à l’écran son propre roman paru en 1929. Cette collaboration ne se passa pas sans heurts, comme semble le démontrer le résultat mitigé de ce travail en commun. Cela dit, l’honnêteté m’enjoint à avouer d’entrée ma déception relative devant ce film, pourtant intéressant à plus d’un titre, d’autant plus que Jean-Pierre Melville reste l’un des mes cinéastes favoris (de même que l’œuvre de Cocteau est chère à mes yeux, notamment son chef-d’œuvre La Belle et la Bête).

     

     

     

    Les relations furent donc plutôt tendues entre Jean Cocteau et Jean-Pierre Melville. Par exemple, l’écrivain imposa l’acteur principal au réalisateur qui le trouvait trop âgé et physiquement inadapté pour le rôle de Paul. De même, Melville dut se battre contre l’avis de Cocteau pour confier le rôle de Elisabeth à Nicole Stéphane. La musique fut aussi un point d’achoppement, et Melville eut le dernier mot en optant pour deux compositions classiques (les concertos de Bach et Vivaldi), un choix qui se révéla d’abord fort judicieux pour souligner le caractère obsessionnel du récit, et surtout précurseur en la matière. Le tournage lui-même fut également mouvementé. Il est probable que l’une des conséquences malheureuses de ce conflit larvé soit le jeu passablement figé et légèrement caricatural des comédiens en général. Les dialogues très écrits et un rien sentencieux de Cocteau entrent également en ligne de compte et risquent aujourd’hui de faire sortir plus d’un spectateur du film. Car il faut aimer la voix et le phrasé de Cocteau (c’est bien lui qui interprète la voix off) et l’emphase qui la caractérise souvent pour goûter à la poésie de l’écrivain.

    « Le meilleur roman de Jean Cocteau est devenu le meilleur film de Jean-Pierre Melville. » Cette citation de François Truffaut a beaucoup fait pour la reconnaissance critique des Enfants terribles. Melville fut justement célébré par les jeunes trublions de la Nouvelle Vague qui en firent avec raison l’une de leurs influences majeures. Mais il est permis de ne pas être d’accord avec Truffaut, même si l’on comprend bien la résonance qu’a pu avoir ce film pour l’auteur des 400 coups. A ce titre, l’utilisation de la musique classique, couplée à la voix off élégante et révélatrice des sentiments intérieurs des personnages, a du fortement marquer son esprit puisqu’on la retrouvera plus tard dans ses propres œuvres. La bataille de boules de neige se déroulant au lycée, scène qui ouvre Les Enfants terribles, et son traitement (musique et montage) ont également, et sans aucun doute, influencé François Truffaut. Mais avec le recul, et au vu de la carrière de Jean-Pierre Melville, on peut se demander en quoi ce film serait supérieur au Deuxième souffle (1966), au Samouraï (1967), à L’Armée des ombres (1969) ou au Cercle rouge (1970). Jean-Pierre Melville restera avant tout comme un créateur de formes, secret et méticuleux, dont l’art touche finement à l’abstraction, et dont la mise en scène révolutionna totalement le traitement du film policier et ses personnages.

     

    Il n’en reste pas moins que Les Enfants terribles apporte son lot de surprises et de richesses. Cocteau et Melville livrent une œuvre hallucinatoire, mettant en opposition deux êtres qui se livrent à des jeux obsessionnels et pervers, et parviennent à établir par ce biais une relation d’amour/haine. Une relation étrange et licencieuse qui, progressivement, contamine tous les personnages qui gravitent autour d’eux. Jusqu’à un final destructeur dont on ressent l’inéluctabilité dès lors qu’on commence à entrevoir les ressorts psychologiques de ces deux êtres. Melville met en scène un dérangeant spectacle de l’intimité, par moment sulfureux, dans la chambre à coucher qui sert de repaire pour Elisabeth et Paul, en ayant souvent recours à des cadrages rendant compte de l’isolement et de la promiscuité entre le frère et la sœur. Un spectacle souligné aussi par la voix off déclamatoire, compassée et un brin tautologique de Jean Cocteau. Les deux personnages que sont Gérard et Agathe, dès qu’ils pénètrent dans cet antre maudit, sont à la merci des du couple et deviennent la proie de leur petits manèges. Pour Paul et surtout Elisabeth, tout se réduit à un jeu. Ils jouent avec les conventions familiales et sociales, mais dans un pur souci de gratuité, et se livrent ainsi à un simulacre de vie qui inscrit l’œuvre dans la tragédie.

    La réalisation de Jean-Pierre Melville a recours a des angles parfois insolites, des recadrages signifiants et quelques mouvements de caméra portée insidieux pour mettre en évidence l’intimité froide et pathologique entre ces deux jeunes adultes, ainsi que l’atmosphère glaciale qui baigne les décors. La lumière de Henri Decae, un directeur de la photographie qui joua un grand rôle dans les innovations amenées par la Nouvelle Vague, participe de cette étrangeté visuelle en jouant sur l’équilibre entre les clairs-obscurs et la dureté de l’éclairage, et sur la perspective des décors intérieurs. Le revers de la médaille de ce système figé dans cette description cauchemardesque d’une réalité faussée par ses principaux protagonistes est une certaine théâtralité qui peut devenir pesante quand tous ses principaux éléments caractéristiques (voix off, dialogues, interprétation) fonctionnent à plein régime. Le travail de Jean Cocteau est certainement à l’origine de ce sentiment, mais on retrouve parfois la grâce et la fantaisie qui dépeignent son œuvre comme lors de la séquence du rêve d'Elisabeth, ou celle des dialogues s’effectuant par le truchement de la pensée qui témoignent du lien étroit et quasi "fusionnel" entre le frère et la sœur. Enfin, a blondeur lumineuse des deux personnages ne laissent aucun doute sur la paternité réelle des Enfants terribles.

    Les accusations d’inceste proférées par l’Eglise catholique lors de la sortie du film démontrent que le spectacle proposé reste d’une audace sans pareille pour l’époque. Le désordre psychique mis à l’œuvre dans cette tragi-comédie aux accents baroques et le jeu intense et parfois déstabilisant de Nicole Stéphane finissent par emporter le morceau malgré les réserves qu’on peut émettre devant l’artificialité de ce spectacle à la fois tourmenté et empesé, audacieux et monocorde.

     

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  • LARRY DONN /

     

    De son vrai nom LARRY DONN GILLIHAN , est né à BONO dans l' ARKANSAS , une petite ville pres du nord de JONESBORO , le 7 juin 1941 . Il vient d'une famille de fermier et son attrait pour la musique , va lui etre donné surtout par son oncle , qui a joué avec BOB WILLS AND THE TEXAS PLAYBOYS . Il grandit dans les champs de coton en chantonnant de la COUNTRY et du HILLBILLY . Debut 50 , il jette son dévolu sur un crooner qu'il entend à la radio , DEAN MARTIN . En 1955 , il découvre SONNY BURGESS AND THE PACERS , au gymnase de l'école en concert  ,  Ce sera la aussi , une révélation musicale . Un peu plus tard , il remarque une horde de fille tres excitée et en demande la cause ; on lui parle de la venue d'un certain ELVIS . Cela va etre le CHOC de sa vie, lors du show il s'en souviendra toujours de ce concert de BONO , il y avait tellement de monde que tout allait s'effondrer , scene , salle , de la folie , il est en devenir LE BOSS , c'est une certitude pour LARRY . En 1956 il fait une imitation de PRESLEY , pour l'école , il n'a de cesse de vouloir lui ressembler . Il va meme répéter l'aventure plusieurs fois et cela va plaire ...En juillet 1957 , il se coupe 2 orteils en tendant le gazon , lors de sa convalescence , il va apprendre la guitare . Son cousin va le lancer dans un concours de chant de l'école . Il y chante 2 chansons de JOHNNY CASH et remporte la 2 e place (tient ca ressemble un peu à une autre histoire) .A ce moment , il fait la connaissance d'un guitariste BENNY KUYKENDALL , 14 ans . Ils vont jouer ensemble dans les fetes . Le frere de ce dernier SCOTTY va les rejoindre à la contre basse et EDDIE REEVES à la batterie . Il ont écumé toutes les salles , églises , nightclubs etc... du nord de l'arkansas , au sud EST du MISSOURI , en ce forgeant une bonne réputation . En 56-57-58 , il a été JUNIOR FIRE MARSHALL et commandant de la sécurité . Ses troupes ont eu entres autres , la responsabilité de garder les portes du gymnase , ou durant toutes ses années , tous les artistes SUN de MEMPHIS vont y passer . Il a meme converser avec plusieurs et eu de belles anecdotes ou fait historique avec d'autres . En septembre 1957 , il rencontre BILLY LEE RILEY et devient son ami ( un album en commun va sortir en 1979) . C'est vraiment LA ,qu'il va mettre que du rock n roll à son répertoire . Debut 1958 , il rejoint BOBBY BROWN AND THE CURIOS , mais comme bassite ,son groupe s'étant séparé momentanément  . Il est ensuite invité par RILEY , avec son groupe BENNY -SCOTTY  et SAM CREASON à la batterie ,a aller enregistrer à MEMPHIS chez SUN . Ils vont mettre en boite un super titre THAT S WHAT I CAN BALL , mais que cela de vraiment bien . Ils stoppent et retourne chez eux pour mieux preparer d'autres chansons de NIVEAUX ...Autant dire , on verra plus tard  , la roue a tournée et ils n ont pas profité de cette opportunité (dommage) . LARRY va se faire virer de l'école et obtenir un diplome par correspondance en 1961 . Il retourne au studio mais en l'absence de BILLY , ne va pas finir l enregistrement (l histoire n aura pas voulu de DONN IN SUN SESSION) . .En 1959 il decide de refaire THAT S WHAT I CALL A BALL , couplé à HONNEY BUN , pour le label d ARLEY VADEM - VADEM , situé à TRUMANN dans l ARKANSAS . 2 ROCK D ENFER DE LA DYNAMITE PURE , un style bien à part qui va devenir des standard dans les 80 s -90 s .

    HONEY BUN - THAT S WHAT I CAL A BALL (VADEN 45 -113) sort en 1960 . Il va passer à coté , trop tard , peu de moyens ......

    Il sort un  2 e single INTERESSANT sous le label AD -BAR , avec une super reprise de GIRL NEXT DOOR (ELVIS IS BACK) accompagné par SONNY BURGESS . 1962 et 1963 sort 2 autres simples , pour ALLEY RECORDS , également  de l'ARKANSAS  . De nolmbreux titres vont etre decouvert bien apres pour les compilations EUROPEENNES . Une référence reste l album de 1995 de HOLLANDE (CLCD4429) .

    Il va devenir comme beaucoup une star des 80 s EN EUROPE , un pionnier accessible pour les nostalgiques des fifties ou simplement les accrocs du rockabilly .

    IL nous quitte dernierement .

    MERCI A LUI D AVOIR EXISTER ET QUE DIEU LE GARDE .

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    Collector CLCD4429 (CD) (Netherlands, 1995)

    That's What I Call A Ball / Larry Donn

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  • BERT WEEDON

     

    de son vrai nom Herbert Maurice William « Bert » Weedon, né le 10 mai 1920 à East Ham et mort le 20 avril 2012 à Beaconsfield, est un guitariste et compositeur britannique .

     il avait inspiré ceux de ses compatriotes qui allait changer la face de l'histoire de la musique : Paul McCartney, Eric Clapton, Brian May (Queen), Hank Marvin (The Shadows), Mike Oldfield, Robert Smith (The Cure), aucun des grands guitaristes britanniques n'a oublié qu'il était redevable à Bert Weedon, ni les "trucs" qu'il n'a pas manqué de partager dans sa carrière, notamment dans sa série de manuels à succès Play In A Day, dont le premier volume était paru en 1957.

    Bert Weedon, guitariste anglais de grand renom (le premier à avoir un morceau classé dans les charts britanniques, en 1959) que la reine Elizabeth II avait décoré dans l'ordre de l'empire britannique en 2001 pour services rendus au monde des arts et au monde caritatif, est mort vendredi 20 avril 2012 à son domicile de Beaconsfield. Il aurait eu 92 ans le 10 mai et laisse son épouse Maggie, leurs deux fils Lionel et Geoffrey ainsi que neuf petits-enfants.

    Né à Londres en 1920, Herbert - dit Bert - Weedon avait découvert la guitare classique à l'âge de 12 ans, décidant instantanément de faire de la musique sa profession. De fait, dès les années 1930, il mène divers groupes et joue pour d'autres artistes et ensemble. Dans les années 1950, alors qu'il a rejoint le "Show Band" de la BBC (près de 5 000 performances radio à son actif) et fait ses débuts de soliste, il devient par ailleurs un accompagnateur et un musicien de session de premier plan, au côté de stars émergentes du rock anglais autant que de vedettes de passage en Grande-Bretagne, tels Frank Sinatra et Judy Garland.

    En 1959, il réalise son premier album en tant que guitariste solo et est le premier guitariste britannique à classer un morceau dans les charts, en l'occurrence Guitar Boogie Shuffle. Ce hit sera suivi de quelques autres : Apache, Nashville Boogie, Sorry Robbie. Plus tard, en 1976, il deviendra également le premier à installer un album en tête du top albums, avec la compilation de standards 22 Golden Guitar Greats.

    De plus en plus populaire, il publie en 1957 le premier tome de ce qui deviendra la bible de l'apprentissage de la guitare : la méthode Play In A Day. Influencé par les guitaristes jazz de la décennie et Les Paul, il laissera l'empreinte de son style dans les années 1950-1960, période d'intense bouillonnement dans la musique anglaise, avec l'irruption du rock and roll. Bert Weedon prône l'importance essentielle du rythme et de la mélodie, un de ses disciples les plus évidents étant Hank Marvin de The Shadows. Outre les grands noms de la guitare tels qu'Eric Clapton ("Je n'ai jamais rencontré un guitariste doté d'un certain talent qui n'ait pas appris avec ses ouvrages Play In A Day", déclara-t-il), des millions d'apprentis-guitaristes risquent d'avoir quelques souvenirs émus en apprenant le décès de Bert Weedon.

     

    http://www.youtube.com/watch?v=7NCKe6ZZOhg

    http://www.bertweedon.com/discography.htm

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    www.youtube.com/watch?v=1fZr14KeS6Q

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    http://www.google.fr/imgres?q=Bert+Weedon&hl=fr&sa=X&rlz=1T4GGNI_frFR482&biw=1736&bih=901&tbm=isch&prmd=imvnso&tbnid=GTytgUnVr41T5M:&imgrefurl=http://www.musicpophits.com/MainPages/MaleStars/BertWeedon.htm&docid=Km1O-6LBDhvJTM&imgurl=http://www.musicpophits.com/images/MusoPage/MainBertWeedon.jpg&w=336&h=402&ei=B9agT_v7NMGi0QWsvoS1CA&zoom=1&iact=hc&vpx=649&vpy=122&dur=1509&hovh=246&hovw=205&tx=24&ty=272&sig=116378988273699463029&page=1&tbnh=136&tbnw=110&start=0&ndsp=49&ved=1t:429,r:3,s:0,i:72

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  • KENNY PARCHMAN /

     

    Tout d'abord , il a fallu plus de 25 ans pour découvrir , qu'il avait fait plusieurs enregistrements a SUN RECORDS en 1956 et 1957 ..

    De son vrai nom KENNETH W PARCHMAN est né le 15 janvier 1935 pres de JACKSON -madison county (TENNESSEE) , dans une communauté tres rurale . Deja tres jeune , il est féru de musique si bien , que ses parents vont lui offrir une guitare . C'est d'ailleur sa maman qui va lui en apprendre les rudiments . En 1944 , une tragédie frappe la famille , le feu est déclaré dans leur maison et son papa suite a ses blessures va deceder . Une annonce de sa maman sur un journal (en demande de solidarité) va leur permettre de survivre . A l'école KENNY forme un groupe et va jouer toutes les musiques locales . Il doit faire son service militaire et peut revenir à la vie civile en 1955 , grace à une décharge de soutient familial . Il trouve un job dans le transport et la nuit va faire de la musqiue dans les boites de la région . Il fait la rencontre de JERRY LEE SMITH , jeune pianiste talentueux . Ils vont jouer ensemble 6 à 8 mois , CAR jerry RECOIT UNE OFFRE DE CARL PERKINS...C est grace à cela et la rencontre de SMOOCHY (smith)  et PERKINS qu'il va signer a SUN RECORDS . SAM va apprécier LOVE CRAZY BABY et I FEEL LIKE ROCKIN et en fait un single , qu'il ne publiera jamais ...!!! ses 2 titres vont etre des classiques par la suite ??? Le 5 janvier 1957 , il est de nouveau en studio SUN et vient tout au long de l'année 1957 , pour enregistrer des titres , tres rockabilly et de qualités mais la aussi jamais exploités par PHILLIPS (???) . Juillet 1957 , il recoit  une invitation de JIMMY MARTIN , pour enregistrer sur son label : JAXON RECORDS à JACKSON CITY . Le 1er SINGLE est :  TREAT ME RIGHT - DON T YOU KNOW (JAXON 504) , qui sort le 26 AOUT 1957 . Il est fort probable que les titres aient été faits à MEMPHIS , chez SAM PHILLIPS . Le premier étant un titre rockabilly , bien du cru SUN RECORDS ; ce qui explique les intrusions de KENNY chez SAM ....Début 1958 , il va pour l'avant derniere fois à MEMPHIS , ou il met en "boite" , un autre titre rockabilly tres typé à la PERKINS : TENNESSEE ZIP , qui ne sortira qu'en 1995 sur un C.D compilation SUN . 1958, il recoit une offre de LONNIE BLACKWELL pour le label LU .

    Le tres rockabilly 45 T : GET IT OFF YOUR MIND -SATTELLITE HOP (LU 504) , sort le 31 MARS 1958 , est un super niveau . Le groupe a tourné dans le tennessee avec des titres rockabilly ainsi que des morceaux hillbilly transformés en rock....SMOOCHY quitte le groupe et va sur MEMPHIS , il va etre musiciens essentiellement musicien de studio .

    PARCHMAN va  lui pour la derniere session SUN à MEMPHIS , le 5 octobre 1959 . Il y fait , une autre version de TREAT ME RIGHT et un titre qu'il affectionne YOU CALL EVERYBODY DARLING . Le PINERIDGE CLUB , renommé à JACKSON et plate forme des groupes fifties ,  se rappelle grace au batteur TONY AUSTIN de : BURNETTE TRIO -CARL MANN - CARL PERKINS et à quelques reprises KENNY , un bon gars à la LES PAUL GIBSON et féru de rockabilly et blues . Carl mann raconte meme que KENNY  remplace son bassiste au  "pied lever" et le dépanne bien pour sa tournée à HOUSTON (texas) .

    1975 , lors d'une de ses dernieres apparitions au club , il se fait enregistrer ,  pour garder plus qu'un souvenir des ses shows ROCKIN!!!! Il va fonder une compagnie de construction et va tres bien en vivre , à devenir un  citoyen RECONNU et respecter de JACKSON . 1991, on lui découvre une MYCROBACTERIUM AVIUM . Il en décede le 2 juin 1999 .

    MERCI A LUI D AVOIR EXISTER ET QUE DIEU LE GARDE ...

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    photo ici tire du c.d

    kenny a été nominné récemment au Jackson Rockabilly Hall of Fame, où il avait deux guitares d’exposées, et « Treat Me Right » a été repris il y a quelques années par Charlie Thompson and The Emeralds (EP Fairlane FEP 101).

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  • CAROLYN JONES /

     

    Née Carolyn Sue Baker à Amarillo, Texas, le  28 avril 1930 .

     elle rejoint le Pasadena Playhouse en 1947. Elle décroche un contrat avec la Paramount et tourne son premier film en 1952. L'année suivante, elle épouse le cinéaste Aaron Spelling, et se convertit au judaïsme en même temps. Ils se séparent en 1964, année de son rôle le plus marquant dans La Famille Addams. Après la fin de la série en 1966, sa carrière décline.

    Son visage étrange, un peu inquiétant, l'a sans doute desservie auprès des studios. Elle s'impose dans les chefs-d'œuvre des genres marginalisés au sein de l'industrie : L'Homme au masque de cire, La Guerre des mondes, L'Invasion des profanateurs. Plus tard elle exploitera cette veine à la télévision de The Addams Family (qui en fait une icône) puis dans Batman et Wonder Woman.

    À côté, si elle figure au premier rang dans des films réussis (L'Ennemi public de Siegel avec Mickey Rooney et King Creole de Curtiz avec Elvis Presley), elle se contente d'apparitions dans Sept Ans de réflexion et L'Homme qui en savait trop, et rate (pour cause de maladie) le rôle dévolu à Donna Reed dans Tant qu'il y aura des hommes de Fred Zinneman - film couvert d'Oscars dont celui du meilleur second rôle féminin pour Reed. Jones trouve quand même le moyen de gagner une citation à l'Oscar avec un rôle de quelques minutes ! Elle pouvait par ailleurs se targuer d'avoir travaillé avec Fritz Lang, Elia Kazan, Alfred Hitchcock et Frank Capra, devenue un second (ou troisième) rôle apprécié.

    L'actrice est ensuite sous employée dans des séries telles que Le Virginien, Quincy, L'Homme de fer, L'Ile fantastique. Tardivement, Capitol, le soap malchanceux, avait démontré le magnétisme intact de Carolyn Jones, teinte en rousse pour le personnage vénéneux de Myrna Clegg, digne rivale d'Alexis Colby et d'Angela Channing.

    Atteinte d'un cancer du côlon, elle continue toutefois à jouer mais dans un fauteuil roulant. Le cancer se propage rapidement à son foie et l'estomac et Carolyn Jones décède le 3 août 1983.

    filmographie :

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    elle joue le role de RONNIE dans le super KING CREOLE de MICHAEL CURTIZ du 2 juillet 1958 AVEC elvis ...

    http://www.youtube.com/watch?v=gS2rJ7mdTWo

    http://www.youtube.com/watch?v=9pBPmL3r7wQ

    http://www.youtube.com/watch?v=mtTHd7puQUM

    http://www.youtube.com/watch?v=ZozKYgoBQLk

    http://www.youtube.com/watch?v=c82aih-R2rU&feature=fvst

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