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    palm springs

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    pas trop loin a MEMPHIS

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    et oui vernis elvis

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  • Blog de elpresse : ELVIS ET LE ROCKABILLY, artiste

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  • CinemaScope

     

     

     

    Le CinemaScope est un procédé de prise de vues et de projection qui consiste à anamorphoser (comprimer) l'image à la prise de vue, pour la désanamorphoser à la projection. Ce rapport de compression est de 2. Le CinemaScope ne désigne pas directement de format d'image, mais un procédé d'anamorphose de l'image, qui peut être utilisé en 35 mm comme en 16 mm, avec des ratios d'image différents.

     

    C'est la SMPTE qui définit les normes de la fenêtre de projection de ce qu'on appelle le Scope : CinemaScope 35 mm avec son optique. Le Scope a aujourd'hui un ratio de 2,39:1.

     

    Grâce à un objectif déformant (anamorphose), l'image est comprimée dans le sens horizontal lors de la prise de vue sur film classique ; à la projection, elle est étirée dans les mêmes proportions, ce qui permet de retrouver une image panoramique.

     

    Le dispositif optique est basé sur celui de l'Hypergonar, inventé en 1927 par le français Henri Chrétien. Il s'agit principalement d'une lentille cylindrique placée devant l'objectif primaire, sphérique.

     

    Ce n'est qu'en 1953 que la 20th Century Fox conclut un accord avec l'inventeur du procédé, Henri Chrétien et présenta la même année le premier film en CinemaScope La Tunique (The Robe) d'Henry Koster. C'était en réalité le second film tourné selon ce procédé, le premier étant Comment épouser un millionnaire. Pour des raisons commerciales, il est sorti après La Tunique. La première projection publique a eu lieu le 16 septembre 1953. Le premier dessin animé utilisant ce procédé est le court métrage de Disney Les Instruments de musique (Toot Whistle Plunk and Boom, 1953)[1], suivi ensuite par le long métrage d'animation La Belle et le Clochard (1955)[2]. Au sujet du film L'Infernale Poursuite (1956), le réalisateur Francis D. Lyon explique qu'il a apprécié ce nouveau format « plus facile pour la mise en scène et plus économique en réduisant les installations principalement pour les tournages en extérieur[3]. »

     

    Le premier film français en CinemaScope est Nouveaux Horizons de Marcel Ichac (1953), diffusé en avant-programme de La Tunique et qui tire mieux parti, par sa recherche de l'effet de profondeur via le travelling, des avantages du CinemaScope. La revue La Recherche explique ; « L'impression de profondeur disparaît dès lors que la caméra est statique ». Marcel Ichac, qui avait assisté aux États-Unis à la projection de This is Cinerama, avait tenu compte de cette particularité lorsqu'il avait tourné Nouveaux horizons. Le compte rendu de la projection de son film devant la Commission supérieure technique (CST) indiquait en effet ; « Les membres de la CST ont pu constater lors de la projection que M. Ichac avait parfaitement compris pour ce premier film l'utilisation qui peut être faite du procédé du Professeur Chrétien et qu'il a su donner aux spectateurs ce pseudo-relief obtenu par la répétition des travelling avant, travelling arrière et latéral ; les spectateurs ont en effet eu une forte impression de plans détachés, impression qui a disparu avec la projection de La Tunique (..) Beaucoup de critiques qui avaient assisté en décembre 1953 à la projection des deux films avaient remarqué en effet que La Tunique était beaucoup moins convaincant de ce point de vue. »[4]

     

    Le rapport du CinemaScope a varié depuis sa création :

     

    • À partir de 1953, le son utilisé étant magnétique, l'image utilisait toute la largeur disponible du négatif. Le rapport était de 2,55:1. Le CinemaScope avec piste optique avait lui, un rapport de 2,35:1.
    • En 1957, la SMPTE (Society of Motion Picture and Television Engineers) normalise les dimensions de la fenêtre de projection du CinemaScope à 21,31 × 18,16 mm, soit un rapport de 1,1734, donc de 2,35 après désanamorphose.
    • En 1970, l'interimage n'étant pas assez grande, la SMPTE revoit les normes et diminue légèrement la hauteur de l'image, les dimensions sont ramenées à 21,29 × 17,78 mm, soit à un rapport de à 2,39:1.
    • En 1993, les dimensions sont encore très légèrement diminuées (20,95 × 17,52 mm) mais le rapport reste à 2,39:1.

     

    Depuis, différents procédés basés sur le même principe sont utilisés, dont les plus connus sont Panavision et Technovision.

     

    • En 1954, la Paramount crée le procédé VistaVision.
    • En 1954, Développement du procédé économique Superscope, principalement exploité par le studio RKO. Ce procédé est considéré comme l'ancêtre du Super 35
    • Le Techniscope est une version économique du Superscope. A la prise de vue l'image est moins haute, le film avance de deux perforations au lieu de 4.
    • Dans les années 1960, la Shaw Brothers à Hong Kong invente son propre CinemaScope, baptisé ShawScope.
    • Dans les années 2000, Arri met au point le procédé Mscope, permettant d'utiliser des objectifs anamorphiques sur une caméra numérique prévue à cet effet, la D21.

     

    Le cinémascope : 2.55:1
    Le cinémascope est considéré comme le format qui a véritablement lancé la tendance des images panoramiques au cinéma. Seulement cinq films furent projetés dans ce format en 1953 aux États-Unis. Mais le succès fut rapidement au rendez-vous avec une quarantaine de films diffusés en 1954, et plus d’une centaine en 1955.
    Lors du tournage, une lentille anamorphique est utilisée pour comprimer l'image dans sa largeur afin de faire tenir une image panoramique sur une pellicule standard. Lors de la projection du film en salle, on utilise un projecteur doté d’une lentille anamorphique qui effectue l’opération inverse en restituant l’image dans ses proportions réelles. Ce format n’est plus utilisé aujourd’hui.

     

    Rendez-vous estival de l'Institut Lumière : les projections en plein air sont l'occasion de voir du cinéma autrement... sous les étoiles !

     

    Les 20 ans de l'été en Cinémascope !

     

    Depuis 20 ans, l'Institut Lumière propose aux Lyonnais des projections en plein air.

     

    Retrouvez en famille et entre amis l’émotion du cinéma et (re)découvrez classiques de la comédie américaine ou française, films cultes et pépites du cinéma contemporain.

     

    Au programme :

     

    - 3 juillet - soirée d'ouverture : "César et Rosalie" de Claude Sautet (VF)

     

    - 10 juillet : "Le Labyrinthe de Pan" de Guillermo Del Toro - interdit au moins de 12 ans (VOST)

     

    - 17 juillet : "Les Bas fonds" de Jean Renoir (VF)

     

    - 24 juillet : "Loin du paradis" de Todd Haynes (VOST)

     

    - 31 juillet : "La Soupe au canard" de Leo McCarey (VOST)

     

    - 7 août : "Romanzo Criminale" de Michele Placido (VOST)

     

    - 21 août : "Un éléphant ça trompe énormément" d'Yves Robert (VF)

     

    - 28 août - soirée de clôture : "Un après-midi de chien" de Sidney Lumet (VOST)

     

    Blog de elpresse : ELVIS ET LE ROCKABILLY, CinemaScope

     

     

     

    Blog de elpresse : ELVIS ET LE ROCKABILLY, CinemaScope

     

    Blog de elpresse : ELVIS ET LE ROCKABILLY, CinemaScope

     

    Blog de elpresse : ELVIS ET LE ROCKABILLY, CinemaScope

     

    The robe" (La Tunique - Henry Koster) dont le tournage avait commencé, est arrêté pour être repris en Cinemascope.Le tournage fut techniquement assez difficile, la Fox ne dispose que de trois objectifs qui par ailleurs ne sont pas adaptés au matériel utilisé entrainant des problèmes de vignettage de perte de luminosité et des problèmes de mise au point." Le procédé en lui-même présente aussi des inconvénients : avec un rapport d'anamorphose de 2 l'image projetée couvre une surface d'écran double de celle qui serait obtenue en l'absence d'anamorphose elle est donc deux fois moins nette et deux fois moins lumineuse.

     

     

     

     

     

    http://www.dailymotion.com/video/x2iqxa_la-tunique-trailer_shortfilms

     

     

     

     

     

    La première projection publique a eu lieu le 16 septembre 1953au Roxy, à New York. C'est un immense succès.qui rapportera au total près de 36 millions de dollars aux États-Unis

     

     

     

     

     

    Zanuck annonce que tous les films produits par le studio le seront désormais en Cinemascopeet en couleurs ajoutant "a ce stade du développement du Cinemascope nous devons sélectionner uniquement les scénarios qui soulignent clairement les ingrédients utiles non seulement pour l'histoire mais également pour l'exploitation du scope" Spyros Skouras déclare : "Nous voulons que le public puisse dire qu'il n'existe pas de mauvais films en Cinémascope, de même qu'il peut dire qu'il n'existe pas de mauvaises Cadillac". Le procédé originel de la Fox comportait l'écran large, l'anamorphose de l'image, un son stéréophonique 4 pistes magnétiques et un écran particulier (miracle screen). Devant les réticences des exploitants face aux coûts des investissements nécessaires seuls demeurèrent l'anamorphose et l'écran large.

     

     

     

    En 1953, aux États-Unis, cinq films sortent en Cinémascope :trois sont produits par la Fox ("La tunique" (The Robe), "Comment épouser un millionnaire"(How to Marry a Millionaire de Jean Negulesco avec Marilyn Monroe), "Tempête sous la mer" ( Beneath the 12-Mile Reef de Robert D Webb) ,un par la Metro Goldwyn Meyer ("Les chevaliers de la table ronde " Knights of the Round Table de Richard Thorpe), un par Warner Bros ("la poursuite dura 7 jours" The Command de David Butler)  
    La 20th Century Fox organise la présentation du Cinémascope au Tout Paris du cinéma et de la pressele 18 juin 1953 au Rex, c'est également au Rex, en même temps qu' au Normandie que "La tunique" commencera sa carrière le 4 décembre 1953, avec en première partie le premier film français tourné en Cinémascope, un court métrage documentaire de Marcel Ichac "Nouveaux Horizons"  
    L'adoption de ce procédé entraine pour les salles de cinéma des travaux coûteux, rapidement réalisées aux États-Unis, puis pratiquement imposées aux salles européennes, ce qui amènera d’ailleurs en France quelques polémiques anti-américaines. Fin 1955, plus de 25 000 salles dans le monde sont équipées pour projeter en Cinémascope. D'autres techniques concurrentes verront le jour comme la Vistavision, le Warnerscope, le Superscope mais sans connaître le succès du Cinemascope.  

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