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FARTHER OF THE BRIDE (le pere de la mariee) :
Réalisation : Vincente Minnelli (1950)
Scénario : Frances Goodrich et Albert Hackett d’après la nouvelle de Edward Streeter
Directeur photo : John Alton
Musique : Adolph Deutsch
Montage : Ferris Webster
Studio : MGM
Durée : 92 minutes
Distribution : Spencer Tracy, Joan Bennett, Elizabeth Taylor, Don Taylor, BRelease date(s) June 16, 1950 illie Burke, Leo G.Carroll, Moroni Olsen…
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Release date(s) June 16, 1950 Release date(s) June 16, 1950 SORTIE LE 16 JUIN
Zone 1
DVD 9
Editeur : Warner
Format 1.33
Langues : anglais et français mono
Sous-titres : anglais, français et espagnolsStanley T. Banks (Spencer Tracy) travaille dans un cabinet d’avocats et se réjouit de retrouver chaque soir sa femme et ses enfants. Un beau jour il rentre chez lui et apprend que Kay, sa fille (Elizabeth Taylor), a décidé se marier avec un certain Buckley (Don Taylor). Partagé entre son désir de la combler, la peur de la perdre et une certaine avarice Stanley s’embarque dans une folle organisation riche en rebondissements, gags et émotions…
Aujourd’hui Vincente Minnelli est surtout reconnu pour ses comédies musicales : de Meet me in Saint-Louis (1944) à An American in Paris (1950) en passant par Brigadoon (1954), le cinéaste d’origine italienne a su créer un style visuel unique et d’une rare élégance. De nombreux critiques comme Bertrand Tavernier, Philippe Coursodon (50 ans de Cinéma américain) ou Jeremy Fox n’hésitent pas à parler d’une certaine forme de génie (1). Mais si Minnelli est considéré comme un surdoué du "musical", il ne faut pas pour autant en oublier qu’il fût aussi un formidable touche-à-tout. Certes, il n’a jamais œuvré dans le registre du film de guerre ou du western, mais il est l’auteur de drames inoubliables tels que The bad and the beautiful (1952) ou Home from the Hill (1960) ainsi que de comédies à succès, parmi lesquelles Father of the bride.
C’est en novembre 1949 que le producteur Pandro S.Berman rencontre Minnelli et lui propose un script tiré du roman à succès d’Edward Streeter : Le père de la mariée. Le cinéaste alors préoccupé par son projet le plus cher, An american in Paris, accepte de lire le roman et, après réflexion, pense en extraire une comédie pleine de peps et rapide à tourner. Frances Goodrich et Albert Hackett qui avaient déjà écrit le scénario du Pirate (1948) pour Minnelli adaptent le roman de Streeter pendant que les préparatifs du tournage commencent à prendre forme dans les studios de la MGM …
La réalisation de Father of the Bride démarre en janvier 1950 et dure 28 jours. Aujourd’hui une période de production et de tournage aussi courte paraît inconcevable. Mais à l’époque, filmer dans la précipitation était assez courant : outre les économies que ces productions apportaient aux studios, elles pouvaient aussi être synonymes de fraîcheur et de spontanéité dans la mise en scène. Et lorsque des réalisateurs de la trempe de Minnelli en prenaient les commandes, il en résultait fréquemment de petits chefs-d'oeuvre idéalement rythmés. Lors de sa sortie, Father of the bride connaît un succès retentissant et se hisse au cinquième rang du box-office de l’année avec plus de quatre millions de dollars de recettes nettes sur le territoire américain. Ces résultats sont en partie expliqués par le caractère "familial" du film : le public masculin s’identifie à Stanley Banks tandis que les mères et les jeunes filles trouvent leur double dans les rôles de Joan Bennett et Elizabeth Taylor. De plus, la popularité des comédiens, à laquelle vient se greffer le mariage très médiatique d’Elizabeth Taylor pendant la promotion du film, accentue l’engouement du public. Les salles sont combles, le film obtient trois nominations aux Oscars (dont meilleur film et meilleur scénario) et les critiques sont enthousiastes. Dans le New-York Times, Thomas Pryor écrit : "Certainement le film le plus drôle à la ronde ! L’exagération chère à la plupart des comédies est totalement absente du Père de la mariée. Elle n’est pas de mise ici, la vie de famille est déjà un argument de comédie si l’on veut bien le reconnaître…".
A travers cette analyse, Pryor met le doigt sur un des points essentiels du film : en utilisant un canevas très réaliste Father of the bride touche la majorité des Américains qui se retrouvent dans ce modèle familial type. Les situations vécues par Stanley Banks sont cocasses certes, mais elles n’en sont pas moins crédibles. Qui ne connaît pas un père hésitant à s’acheter un costume neuf pour le mariage de ses enfants ou une jeune fille rêvant d’un mariage de princesse ?
Il faut donc avouer que l’idée du film portait déjà en elle les germes du succès. La preuve en est qu’il fut l’objet d’un remake réalisé par Charles Shyer en 1991 qui connut, lui aussi, une belle carrière au box-office américain. Néanmoins, si cette relecture du roman de Streeter fait preuve de quelques qualités et met en valeur le talent de Steve Martin, l’original, lui, reste gravé dans le cœur de tous les cinéphiles et fait encore partie des films les plus diffusés sur les chaînes de télévisions anglo-saxonnes. Quels sont donc les éléments qui singularisent le travail de Minnelli et font du Père de la mariée version 1950 un classique indémodable ?
Pour commencer, on peut dire qu’une des principales qualités de Father of the bride réside dans son dynamisme et dans l’enchaînement des scènes de comédie. A partir de l’annonce du mariage, une série d’évènements se succèdent, apportant leur lot de gags et permettant au drame d’avancer crescendo vers le climax de la cérémonie. Minnelli fait alors preuve d’un sens du rythme exemplaire hérité du musical.
Mais si sa comédie ne laisse aucun temps mort, elle est aussi d’une grande élégance. L’introduction du film commence par un long travelling à travers un décor de "lendemain de noces" (vaisselle éparpillée, bouteilles de champagne vidées, cotillons jonchant le sol). De ce magnifique mouvement de caméra naît l’idée du cataclysme qui vient de secouer la vie de Stanley Banks. Lorsque le cadre trouve Tracy, le mouvement s’arrête et lui laisse la parole : "I would like to say a few words about weddings, I’ve just been through one" dit-il en fixant la caméra ! Dès cette intervention, une sorte de complicité s’instaure entre le héros et le public. C’est en ami et confident que Stanley nous invite à partager son histoire. Commence alors un long flash-back de 80 minutes duquel le spectateur sortira le sourire aux lèvres pour retrouver Monsieur Banks avachi dans son fauteuil pour la dernière scène du film. Dans cette séquence dont il est préférable de cacher le contenu, la caméra s’envole avec légèreté dans un mouvement arrière, symétrie parfaite de celui qui introduit le film. Vincente Minnelli crée ainsi un équilibre idéal dans la structure de sa comédie et atteint une forme d’harmonie qui participe à ce que certains appelleront la Minnelli’s Touch !
En dehors de cette admirable gestion de l’introduction et du final, le film offre quelques scènes de toute beauté magnifiées par la photographie de John Alton. La plus marquante reste sûrement celle du rêve de Stanley : la veille du mariage, il peine à s’endormir et lorsqu’il tombe enfin dans les bras de Morphée, nous sommes conviés à partager son imaginaire. Pour mettre en scène cette séquence, le cinéaste fait appel à Salvador Dali qui, cinq ans auparavant, avait imaginé le rêve du docteur Edwardes (Spellbound, Alfred Hitchcock, 1945). Dans le sien, Stanley Banks fait une entrée fracassante dans l’église : ses jambes s’enfoncent dans le sol, son costume se déchire, il n’arrive plus à faire le moindre pas … Pendant ce temps d’autres images se superposent et montrent la famille et les invités hurler devant ce spectacle navrant. Cette vision cauchemardesque est à la fois sublime dans sa composition et efficace d’un point de vue dramatique puisqu’elle met en exergue les angoisses du père avant la cérémonie. Une séquence qui constitue pour beaucoup le sommet du film et que le chapitrage du DVD permet de voir et revoir avec un plaisir infini …
Derrière l’élégance des images et le rythme endiablé du récit , Father of the bride est un spectacle comique de tous les instants ! Chaque scène apporte son lot de situations hilarantes et le pauvre Stanley Banks nous fait rire malgré lui. Parmi les séquences les plus cocasses, il y a évidemment celle du costume trop court dans lequel il essaie désespérément de rentrer. On peut aussi retenir le sketch (on ne peut qualifier autrement cette scène) du bar lorsque Tracy veut servir ses Martinis et finit arrosé par du soda. Vincente Minnelli joue ici à merveille du comique de répétition sans que cela devienne rébarbatif comme dans un mauvais Laurel et Hardy (2) et prouve à ceux qui en douteraient encore la finesse de sa mise en scène. En dehors ce ces quelques scènes, des dizaines d’autres (dont nous préférons ne pas vous dévoiler le contenu) maltraiteront vos zygomatiques pendant près d’une heure et demi. Pour rappeler quelques souvenirs à ceux qui auraient la mémoire vacillante, on peut citer à la volée la rencontre entre les Banks et la belle-famille, les insomnies de Stanley, les coups de téléphone de Tante Hattie, ou encore le choix des invités … Du rire et encore du rire, que demander de plus à une comédie ?
Mais pour que la mécanique comique fonctionne, il faut non seulement un bon script, une mise en scène astucieuse mais également des comédiens talentueux. Dans Le père de la mariée, tous les gags reposent sur le personnage joué par Spencer Tracy qui montre ici une des nombreuses facettes de son talent. Ses mimiques, ses coups de colère et ses réparties savoureuses sont d’une efficacité remarquable car non seulement il est un clown redoutable mais il réussit à nous toucher par son paternalisme tendre et sa bienveillance toute naturelle. Dans son autobiographie (3) Minnelli écrit : "Le jeu de Spencer était l’essence même de la comédie, empreint d’une vérité profonde. Et s’il y parvenait si bien, c’est qu’il était lui même sûr de sa force tranquille, de sa sérénité…". Sa performance lui vaudra d’être nominé pour l’Oscar du meilleur comédien (4), fait assez rare dans le domaine de la comédie pour être souligné !
A ses côtés, Joan Bennett interprète une mère de famille tendre et sert souvent de tremplin aux gags de Tracy. Il est amusant de rappeler que Spencer Tracy et Joan Bennett n’avaient pas joué ensemble depuis Me and my Gal de Raoul Walsh en 1932 dans lequel ils finissaient par se marier. Dans Father of the bride, on les retrouve 18 ans plus tard, dans un foyer prospère et heureux. Rien ne nous le prouve, mais il y a fort à parier que le choix de Bennett était le fruit de cette anecdote ! Pour incarner la mariée, la MGM a l’heureuse idée de proposer le personnage de Kay à Elizabeth Taylor : rayonnante de beauté et de jeunesse elle est une charmante amoureuse et séduit les spectateurs dès la première scène. A ses côtés, Don Taylor avec ses allures de gendre parfait joue le rôle du fiancé tandis que Leo G. Carroll est l’organisateur pointilleux (et drôle !!) de la cérémonie. Tous ces comédiens rivalisent de talent et entourent Spencer Tracy pour le plus grand bonheur du public. Le film connaît un tel succès qu’il est décidé d’en tourner une suite dans les meilleurs délais. Alors qu’il en train d’achever le ballet de An American in Paris, Minnelli s’accorde une courte pause et réalise Father’s Little Dividend (Allons donc papa) en 22 jours avec toute l’équipe du premier film !! Dans cet opus, qui est aussi savoureux que l’original, Monsieur et Madame Banks apprennent que leur fille attend un bébé …American Film Institute recognition
- 2000: AFI's 100 Years... 100 Laughs #83
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QUARTER MILE COMBO /
ATTENTION la c'est du lourd un band bien struicturé , petit chouchou du blog et la aussi il y a de quoi ....!!!!!
Formé en 2005 , le groupe vient de ce voir offrir la consécration , tant envié des groupes NEO ROCKABILLY , jouer au VIVA LAS VEGAS ROCKABILLY WEEKENDER , ils y seront en AVRIL 2010 , de plus de tous les plus grands festivals qui font appels à eux . Une reconnaissance bien mérité . Originaire de la baie de SAN FRANCISCO , tous les musiciens etaient deja des baroudeurs dans le domaine rock n roll ; (montrant bien la main mise et cela depuis 1950 des bands made in USA) ; commencant par :
Ms NETTIE HAMMAR / AU VOCAL DESTRUCTEUR - NEO FIFTIES un talent réel une des références actuelle .
JUSTIN BARR / maitre gyuitariste UN TALENT FOU , indéniable successeur des meilleurs stylites du genre .
TODD JENKINS contrebassiste de CLASSE
et GARY DALY batteur
Ils ont surtout avec boulot et acharnement crée le STYLE QUARTER MILE COMBO , une étiquette bien à part mais oh combien efficace , aggessif , harmonieux , le tout sans etre lourd , c'est vraiment ca le PLUS . Des compositions du tonnerre digne de figurer dans les fifties hit , une musique élaborée sans etre truffée d'inutile . Ils se sont produits et aussi accompagnés parmis les plus grands (actuel) : brian setzer - big sandy - deke dickerson -lee rocker -etc etc..
Leur album MOTELS GAS AND BEER ( record label 6 volt record)
est tout simplement incontournable , de la dynamite .
UN TALENT ET UN AVENIR PROMETTEUR JE L ESPERE ...
MERCI A EUX D EXISTER ET QUE DIEU LES PRESERVE MEME 2 FOIS ...
le groupe américain "Quarter Mile Combo" avec ce cd qui date de 2009 intitulé "Motels gas and Beer" ..;le programme quotidien des groupes qui sont sur la route...un super son trés rock'n'roll...3 musiciens et une chanteuse qui a un super look vintage....
14 nov. 2009 12:00 The Stoney Inn/w Old Rusty Cobra, Jailbreak featuring Arsen Roulette & The Sugardaddies Sacramento, California 19 déc. 2009 20:00 The Mystic Theatre w/Dick Dale Petaluma, California 26 mars 2010 21:00 The Blank Club w/ Marti Brom San Jose, California 1 avr. 2010 20:00 Viva Las Vegas Las Vegas 10 juin 2010 20:00 Tour of Europe June 10th through 27th Details Soon...
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JAMES STEWART
James Stewart avait rejoint Gloria en 1997 le 3 juillet , et la Gloire. Sa femme, qu'il a perdu il y a 3 ans, après 47 ans de mariage. Et l'hommage unanime politico-artistique au Mr.Nice Guy.
Le Président des Etats Unis, Bill Clinton avait déclaré que "L'Amérique a perdu aujourd'hui un trésor national". L'un des derniers rescapés de l'Hollywood des années 50, Charlton Heston, a salué l'acteur et l'homme: "Il était profondément patriote, profondément professionnel, un acteur de talent. Et peut-être plus important encore, c'était un gentleman."
Ce sont ces qualificatifs qui sont le plus souvent revenus pour le définir. Un jour après une autre légende (beaucoup moins Politically Correct, et donc moins louangée....), Robert Mitchum, James Stewart nous quitte à 89 ans. Autant Mitchum était mal aimé, jamais récompensé, autant Stewart était le chouchou de Tinseltown.1934 CM Hollywood hobbies – de George Sidney avec Mary Pickford
Seulement apparition
CM Art trouble – de Ralph Staub avec Harry Gribbon
Seulement apparition1935 The murder man – de Tim Whelan avec Spencer Tracy
Rose-Marie ( indian love call ) de W.S. Van Dyke avec Jeanette MacDonald1936 Epreuves ( next time we love / next time we live ) de Edward H. Griffith avec Ray Milland
CM Important news – de Edwin Lawrence avec Charles Chic Sale
Seulement apparition
Sa femme et sa dactylo ( wife vs. secretary ) de Clarence Brown avec Jean Harlow
La petite provinciale ( small town girl / One Horse Town) de William A. Wellman avec Janet Gaynor
Speed – de Edwin L. Marin avec Wendy Barrie
L’enchanteresse ( the gorgeous hussy ) de Clarence Brown avec Joan Crawford
L’amiral mène la danse ( born to dance ) de Roy Del Ruth avec Virginia Bruce
Nick gentleman détective ( after the thin man ) de W.S. Van Dyke avec Elissa Landi1937 L’heure suprême ( seventh heaven ) de Henry King avec Simone Simon
Les cadets de la mer ( navy blue and gold ) de Sam Wood avec Lionel Barrymore
Le dernier gangster ( the last gangster ) de Edward Ludwig avec Edward G. Robinson1938 Of human hearts – de Clarence Brown avec Ann Rutherford
Vous ne l’emporterez pas avec vous ( you can’t take it with you ) de Frank Capra avec Ann Miller
CM Hollywood goes to town – de Herman Hoffman avec Fanny Brice
Seulement apparition
Le mariage incognito ( vivacious lady ) de George Stevens avec Ginger Rogers
L’ange impur ( the shopworn angel ) de H.C. Potter avec Walter Pidgeon1939 CM Hollywood hobbies – de George Sidney avec Sally Payne
Seulement apparition
La féerie de la glace ( ice follies of 1939 ) de Reinhold Schünzel avec Lew Ayres
Le lien sacré ( made for each other ) de John Cromwell avec Carole Lombard
Le monde est merveilleux ( it’s a wonderful world ) de W.S. Van Dyke avec Claudette Colbert
Monsieur Smith au sénat ( Mr. Smith goes to Washington / Frank Capra’s Mr. Smith goes to Washington ) de Frank Capra avec Jean Arthur
Prix NYFCC du meilleur acteur par le cercle des critiques de cinéma de New York, USA
Femme où démon ( destry rides again / justice rides again ) de George Marshall avec Marlene Dietrich
Rendez-vous ( the shop around the corner ) de Ernst Lubitsch avec Margaret Sullavan1940 La tempête qui tue ( the mortal storm ) de Frank Borzage avec Irene Rich
Fini la comédie ( no time for comedy / guy with a grin ) de William Keighley avec Rosalind Russell
Indiscrétions ( the Philadelphia story ) de George Cukor avec Katharine Hepburn
Oscar du meilleur acteur, USA1941 Viens avec moi / Epouse-moi ( come live with me ) de Clarence Brown avec Hedy Lamarr
L’or du ciel ( pot o’gold / the golden hour ) de George Marshall avec Paulette Goddard
La danseuse des Ziegfeld Follies ( Ziegfeld girl ) de Robert Z. Leonard avec Lana Turner
CM Breakdowns of 1941 – de ? avec Bette Davis
Seulement apparition1942 CM Fellow Americans – de Garson Kanin
Seulement narration
CM Winning your wings – de John Huston
Seulement apparition1943 CM Screen snapshots series 23, No. 1: Hollywood in uniform – de Ralph Staub avec Gene Autry
Seulement apparition1945 DO Thunderbolt – de William Wyler & John Sturges avec Robert Lowery 1946 La vie est belle ( it’s a wonderful life ) de Frank Capra avec Donna Reed
CM American creed – de Robert Stevenson avec Ingrid Bergman
Seulement apparition1947 La cité magique ( Magic Town ) de William A. Wellman avec Jane Wyman
La folle enquête / Sur notre joyeux chemin ( on our merry way / a miracle can happen ) de King Vidor & Leslie Fenton avec Dorothy Lamour1948 Appelez Nord 777 ( call Northside 777 / calling Northside 777 ) de Henry Hathaway avec Lee J. Cobb
La corde ( rope / Alfred Hitchcock’s rope ) de Alfred Hitchcock avec Farley Granger
Monsieur propose, madame dispose ( you gotta stay happy ) de H.C. Potter avec Joan Fontaine
CM 10,000 kids and a cop – de Charles Barton avec Bud Abbott
Seulement apparition & narration1949 Un homme change son destin ( the Stratton story ) de Sam Wood avec June Allyson
Star masculine la plus populaire aux Photoplay Awards, USA
Malaya ( Malaya / alien orders / east of the rising sun ) de Richard Thorpe avec Spencer Tracy1950 Winchester 73 ( Montana Winchester ) de Anthony Mann avec Shelley Winters
La flèche brisée ( broken arrow ) de Delmer Daves avec Debra Paget
Gare au percepteur / Roi d’un jour ( the jackpot ) de Walter Lang avec Barbara Hale
Harvey – de Henry Koster avec Josephine Hull1951 Sous le plus grand chapiteau du monde ( the greatest show on earth / Cecil B. DeMille’s the greatest show on earth ) de Cecil B. DeMille avec Betty Hutton
Le voyage fantastique ( no highway / no highway in the sky ) de Henry Koster avec Jack Hawkins1952 Les affameurs ( bend of the river / where the river bends ) de Anthony Mann avec Julia Adams
L’homme à la carabine ( Carbine Williams ) de Richard Thorpe avec Leif Erickson1953 L’appât ( the naked spur ) de Anthony Mann avec Janet Leigh
Le port des passions / La baie des passions ( Thunder Bay ) de Anthony Mann avec Joanne Dru1954 Romance inachevée ( the Glenn Miller story ) de Anthony Mann avec June Allyson
CM Screen snapshot : Memories in uniform – de Ralph Staub avec Alan Ladd
Seulement apparition
Fenêtre sur cour ( rear window / Alfred Hitchcock’s rear window ) de Alfred Hitchcock avec Grace Kelly1955 Le passage damné / Je suis un aventurier ( the far country ) de Anthony Mann avec Corinne Calvet
L’homme de la plaine ( the man from Laramie ) de Anthony Mann avec Arthur Kennedy1956 Strategic Air Command – de Anthony Mann avec Barry Sullivan
L’homme qui en savait trop ( the man who knew too much ) de Alfred Hitchcock avec Doris Day
CM Screen snapshot : Hollywood, city of stars – de Ralph Staub avec Grace Kelly
Seulement apparition1957 CM The heart of show business – de Ralph Staub avec Lena Horne
Seulement narration
L’odyssée de Charles Lindberg ( the spirit of St. Louis ) de Billy Wilder avec Patricia Smith
Le survivant des monts lointains / La nuit de la dernière chance ( night passage ) de James Neilson avec Audie Murphy1958 Sueurs froides ( vertigo / listen darling ) de Alfred Hitchcock avec Barbara Bel Geddes
Prix Zulueta du meilleur acteur au festival international du film de San Sebastián, Espagne
L’adorable voisine ( bell, book and candle ) de Richard Quine avec Kim Novak1959 La police fédérale enquête ( the FBI story ) de Mervyn LeRoy avec Vera Miles
Autopsie d’un meurtre ( anatomy of a murder ) de Otto Preminger avec Lee Remick
Laurel d’Or de la meilleure interprétation dramatique masculine, USA
Prix NYFCC du meilleur acteur par le cercle des critiques de cinéma de New York, USA
Coupe Volpi du meilleur acteur au festival du cinéma de Venise, Italie1960 Commando de destruction ( the mountain road ) de Daniel Mann avec Lisa Lu 1961 X-15 – de Richard Donner avec Charles Bronson
Seulement voix
Les deux cavaliers ( two rode together ) de John Ford avec Richard Widmark1962 La conquête de l’Ouest ( how the west was won ) de John Ford, Henry Hathaway & George Marshall avec Carroll Baker
L’homme qui tua Liberty Valance ( the man who shot Liberty Valance ) de John Ford avec John Wayne
Wrangler de Bronze pour son interprétation dans un film de cinéma aux Western Heritage Awards, USA
Monsieur Hobbs prend des vacances ( Mr. Hobbs takes a vacation ) de Henry Koster avec Maureen O’Hara
Ours d’Argent du meilleur acteur au festival international du cinéma de Berlin, Allemagne1963 Ah ! si papa savait ça ( take her, she’s mine ) de Henry Koster avec Sandra Dee
Les Cheyennes ( Cheyenne autumn ) de John Ford avec Dolores del Rio1964 Chère Brigitte ( dear Brigitte ) de Henry Koster avec Brigitte Bardot
Les prairies de l’honneur ( Shenandoah ) de Andrew V. McLaglen avec Katharine Ross1965 Rancho Bravo ( the rare breed ) de Andrew V. McLaglen avec Brian Keith
Le vol du Phenix ( the flight of the Phoenix ) de Robert Aldrich avec Peter Finch1967 Les cinq hors-la-loi ( firecreeck ) de Vincent McEveety avec Dean Jagger 1968 Bandolero ! – de Andrew V. McLaglen avec Raquel Welch 1969 Attaque au Cheyenne Club ( the Cheyenne Social Club ) de Gene Kelly avec Shirley Jones 1970 DO Directed by John Ford – de Peter Bogdanovitch avec John Wayne
Seulement apparition1971 Rendez-vous des dupes ( fool’s parade / dynamite man from glory jail ) de Andrew V. McLaglen avec Anne Baxter
DO The american west of John Ford / The great american west of John Ford – de Denis Sanders avec Henry Fonda
Seulement narration & apparition1974 CM Just one time – de Michael J. Shapiro avec Liza Minnelli
Seulement apparition
Il était une fois Hollywood ( that’s entertainment ! ) de Jack Haley Jr. avec Fred Astaire1975 Le dernier des géants ( the shootist ) de Don Siegel avec Lauren Bacall 1976 Les naufragés du 747 / SOS… 747… triangle des Bermudes ( airport’ 77 ) de Jerry Jameson avec Olivia de Havilland 1977 Le grand sommeil ( the big sleep ) de Michael Winner avec Robert Mitchum 1978 La grande randonnée de Lassie ( the magic of Lassie ) de Don Chaffey avec Mickey Rooney 1980 A tale of Africa ( Afurika monogatari / the green horizon ) de Susumu Hani avec Eleonora Vallone 1991 DO Preminger : Anatomy of a filmmaker – de Valerie A. Robins avec Joseph L. Mankiewicz
Seulement apparition
DA Fievel au Far West ( an American tail, Fievel goes West ) de Don Bluth, Phil Nilbelink & Simon Wells
Seulement voix1994 DO A century of cinema – de Caroline Thomas avec Richard Attenborough
Seulement apparitionAUTRES PRIX :
Laurel d’Or de la meilleure star masculine, USA ( 1965 )
Prix Cecil B. DeMille aux Golden Globes, USA ( 1965 )
Prix pour l’ensemble de sa carrière par la Guilde des acteurs de cinéma, USA ( 1969 )
Prix Pomme d’Or de la star masculine de l’année aux Golden Apple Awards, USA ( 1970 )
Homme de l’année par le Hasty Pudding Theatricals, USA (1971 )
Prix pour l’ensemble de sa carrière par l’American Film Institut, USA ( 1980 )
Ours d’Argent d’Honneur au festival international du cinéma de Berlin, Allemagne ( 1982 )
Oscar d’Honneur aux Academy Awards, USA ( 1985 )
Prix pour l’ensemble de sa carrière par la Convention ShoWest, USA ( 1990 )
Gala Tribute par le Film Society of Lincoln Center, USA ( 1990 )
Prix pour l’ensemble de sa carrière par la National Board of Review, USA ( 1990 )James Stewart, de son vrai nom James Maitland, né le 20 mai 1908 en Indiana (U.S.A) et mort le 2 juillet 1997, est un acteur américain.
Stewart est né à Indiana (Pennsylvanie). Il fit des études d'architecture à l'Université de Princeton où il avait comme camarade de classe Joshua Logan qui le convainquit de rejoindre l'University Players récemment créée dans le Massachusetts. Il y rencontra d'abord Henry Fonda puis Margaret Sullavan parmi d'autres acteurs. Stewart était déjà un vétéran des théâtres de Broadway quand Hollywood lui fit signe. Il gagna l'Oscar du meilleur acteur en 1940 pour son rôle dans The Philadelphia Story dans lequel il fut la co-vedette de Cary Grant et Katharine Hepburn. Il fut récompensé par l'American Film Institute pour l'ensemble de sa carrière en 1980 et aussi par un Oscar d'honneur pour les 50 années de ses mémorables performances en 1984.Stewart parlait dans un style balbutiant et indécis qui était quelquefois dur à comprendre mais qui transpirait de sincérité pour son auditoire. Sa carrière était donc construite autour de sa façon de jouer un personnage clair et net avec de bonnes valeurs morales (bien qu'occasionnellement il pouvait jouer les méchants). Son style hésitant donnait à ses personnages un sentiment de naturel peu commun dans beaucoup des films de cette époque. Sa carrière débutante est peut-être encore plus remarquable dans les films qu'il fit avec comme réalisateur Frank Capra, notamment Vous ne l'emporterez pas avec vous (You Can't Take It With You, 1938) et Mr. Smith au Sénat (Mr. Smith Goes to Washington, 1939). Son portrait de George Bailey dans le film de Capra La vie est belle (It's a Wonderful Life, 1946), son premier film après son retour de la guerre, est une performance de haut niveau dans sa carrière.
s'engagea dans l'U.S. Air Force un an avant l'attaque sur Pearl Harbor. Son premier poste était à Moffett Field (Californie). Sa dernière mission fut un bombardement sur le Viêt Nam qui, à sa demande, mit un terme à sa carrière militaire. Parmi ses décorations, il y avait l'Air Medal, la Distinguished Flying Cross, la Croix de Guerre et 7 étoiles pour autant de victoires en combat aérien. En 1959, il servit dans l'Air Force Reserve, avant de se retirer comme général de brigade. Après la guerre, ce fut pour lui un choix approprié de jouer Charles Lindbergh dans L'Odyssée de Charles Lindbergh (The Spirit of St. Louis, 1957), il apparut également dans d'autres films d'aviation tel que Le vol du Phoenix (The Flight of the Phoenix, 1965). Dans un épisode de The World at War (1974), il était un des anciens aviateurs interviewés à propos de sa carrière pendant la Seconde Guerre mondiale.
C'était un homme à femmes. Il se fixa finalement à l'âge de 41 ans, se mariant à l'ancienne modèle Gloria Hatrick McLean le 9 août 1949 et s'y dévoua jusqu'à sa mort à elle. Il adopta ses deux fils. L'un d'eux, Ronald, mourut le 8 juin 1969 au Viêt Nam. Le 7 mai 1951, leurs deux sœurs jumelles, Judy et Kelly naissaient.
Plus tard dans sa carrière, Stewart essaya un léger changement de son image ; bien qu'étant toujours le héros, il commença à jouer d'une façon plus risquée, avec un côté plus dur.
Il fut la vedette principale dans quatre films très connus d'Alfred Hitchcock : La Corde (Rope, 1948), Fenêtre sur cour (Rear Window, 1954), L'homme qui en savait trop (The Man Who Knew Too Much, 1956) et Sueurs froides (Vertigo, 1958). Il fut aussi la star dans beaucoup de westerns classiques, dans Harvey (1950), dans Autopsie d'un meurtre (Anatomy of a Murder, 1959) et le rôle-titre dans The Glenn Miller Story (1953).
James Stewart est enterré dans le Forest Lawn Memorial Park Cemetery à Glendale (Californie).
Un musée dédié à sa vie (The Jimmy Stewart Museum) est situé dans sa ville natale d'Indiana. Il y a aussi une statue érigée sur la pelouse devant le Palais de Justice dans le Comté d'Indiana qui lui a rendu hommage le 20 mai 1983 pour célébrer son 75e anniversaire.http://fr.youtube.com/watch?v=9A-ASVVv59c
http://fr.youtube.com/watch?v=sQEwV5OYwlw
http://fr.youtube.com/view_play_list?p=F98F4B6554D3A814&playnext=1&playnext_from=PL&v=0wA1SO7Uq30
http://fr.youtube.com/watch?v=zWyEc7FAMTg
http://fr.youtube.com/watch?v=yoY8Cj1larg
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