• reflexion sur IMELDA MAY

     Cet article sur IMELDA MAY , pour parler bien sur de ce changement de style . Oui je recois de nombreux messages , critiques , trahison , insulte meme , allons allons !

    Elle aspire à un changement pour exploser vraiment internationalement et être "une grosse cylindré" de la musique actuelle , ans vraiment etre mauvaise avouez le . Son style qui s'éloigne du Rockabilly , même si on est pas Fan est loin d' Etre de la SOUPE !! 

    Presque tous essaye d'évoluer dans leur boulot non ! pour mieux gagner ou travailler moins dur , c'est la loi de notre système calqué sur le capital . L eclectisme peut tuer la musique ne l soyez pas , elle ne demande pas qu en la suive dans ce nouveau chalenge .. Tout ca enleve lui il son talent elle  été superbe dans notre style et st toujours respectueuse , ELLE Y REVIENDRA sans aucun doute .

    Ceux qui connaissent vraimen l hitoire savent que tous ont du ou voulu changer de style à un moment  , avec il est vrai plus ou moins de réussite (meme le grand GENE VINENT (et dieu sait que je l'adore) s'est écarté du ROCK N ROLL si cher à son cœur , personne n lui en a voulu , tout les specialistes se uent à dire qu EDDIE COCHRAN urait évolué vers d'autres horizon .....et j'en passe .

    ELVIS n'était il pas fou des BLUES MEN -et DE DEAN MARTIN DU GOSPEL , mince .....

     

     

     

     

     

     

     cet article previent de ce changement ....

    L'Irlandaise avait déjà rempli l'Olympia, il y a deux ans. La voilà de retour, après la sortie de son quatrième album,  Tribal  (Universal). La chanteuse est toujours aussi rock'n'glamour.

    Source Figaroscope

    Imelda May est une injure à tous les musiciens qui tentent avec conviction, mais pas toujours avec talent, de repousser les limites du rock. Sans scrupule de faire du neuf avec du vieux, cette Dublinoise, star en son pays, livre depuis 2006 des chansons estampillées années cinquante. Assez jazzy au début - la chanteuse voue une admiration sans borne à Billie Holiday -, elle a affirmé un style nettement plus rockabilly depuis ses deux derniers albums. «Le rockabilly a de fortes influences sur les musiques que je propose aujourd'hui. Je ne veux pas en faire une copie mais y puiser mes éléments favoris. Mon style est une question de mélange avant tout», dit-elle afin d'expliquer sa démarche.

    Pourtant, dire qu'Imelda May n'invente rien est un peu réducteur. Elle s'en explique, d'ailleurs, rappelant que Tom Waits ou Nick Cave sont aussi passés par ses oreilles. De fait, quand elle monte sur scène en reprenant son tube du moment, Wild Woman , ou l'amusant It's Good to be Alive , dans une robe moulante et gloss rouge sang sur les lèvres, il se passe indéniablement quelque chose qui n'a pas grand-chose à voir avec le temps qui passe.

    D'Elvis Presley au Londres des punks

    À l'inverse d'une Amy Whinehouse fracassée par sa nostalgie, Imelda May semble portée par elle, bien plantée sur ses racines. De Nat King Cole à The Clash, revisitant Brand New Cadillac de Vince Taylor, elle dévore sans soucis la route qui mène du Memphis d'Elvis Presley au Londres des punks, retrouvant l'essence du rythme binaire à la fin des années 1970.

    «Je suis la plus jeune de ma famille donc mes parents sont vraiment d'une autre génération. Je viens d'une famille très musicale avec de bonnes oreilles et de bonne référence. J'ai vraiment eu de la chance de ce côté-là. Mon père et ma mère adoraient Louis Armstrong et Glenn Miller.»

    Autre atout: la jeune femme a une maîtrise de la scène quasi historique. À quatorze ans, elle suivait ses sœurs dans leurs prestations et à seize, elle montait déjà sur scène soutenue par son papa. En Irlande, la musique est une affaire de famille et il traîne toujours un piano quelque part dans la maison. C'est là que sa passion s'est construite. Un soir où elle pleurait à chaudes larmes avant d'affronter les feux de la rampe, son père lui glisse «Tu es malheureuse? Alors tu vas bien chanter les blues!» L'anecdote explique son parcours.

    Pour elle, la partie n'était pas gagnée d'avance. Il lui a fallu une belle force de caractère pour imposer son style. «Au début, on m'a dit que si je voulais avoir du succès, je devais changer. On m'a dit débarrasse-toi du rockabilly, ce qui me semblait fou parce que je m'en inspire beaucoup.» Mais c'est en faisant fi de ces remarques qu'Imelda May a tracé son bonhomme de chemin.

    Au final, entourée d'un combo impeccable pour le genre, toute contrebasse et guitare Gretsch dehors, la chanteuse renvoie chacun à son cerveau reptilien et au plaisir de se déhancher en claquant des doigts. De ce point de vue, cette soirée s'annonce comme le meilleur rendez-vous de la semaine pour repartir avec la banane… et pas seulement dans les cheveux.

     

    article de 2014 ca présagé ce changement non !!!

    Résultat de recherche d'images pour "imelda may"oui nous on aime ca

    et bien oui ca change

    Résultat de recherche d'images pour "imelda may"

     

    oui nous on aime ca

    et oui ca change

    soyez indulgent comm je le suis je ne suis plus fan c'est tout mais aucune animosité envers elle .

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