• paul gayten

    paul gayten

     

    Est né le 29 janvier 1920 à KENTWOOD (louisiane) . Sa maman est la soeur de MONTGOMERY , pianiste connu de l'époque et ses autres oncles sont également musiciens ; autant dire que PAUL est vite plongé dans le monde de la musique .Avant la 2e guerre mondiale , il va entrer dans des "bands" , notammenr de DON DUNBAR et DOC PARMLEY . Lors du conflit il dirige un groupe sur BILOXI . Apres il emmenage à la NOUVELLE ORLEANS et va etre engagé en SOLO au club ROBIN HOOD . En janvier 1947 , avec la formation de son 1er groupe , il enregistre pour DELUXE RECORDS , quelques tres bon R&BLUES . 30 MOIS ou il va faire plus de 20 singles ;  Puis une quinzaine sous REGAL RECORDS (new jersey) .Les membres de son groupes  vont partir rejoindre JEWEL KING , si bien que PAUL part pour NEW YORK et remet en place une autre formation . 1951 DELUXE ferme ses portes et GAYTEN se retrouve chez COLUMBIA . La firme va sortir 8 singles sur sa FILIALE OKEH de 1951 à 1953 , sans obtenir de succes commercial . Tres fatigué PAUL retourne à la NOUVELLE ORLEANS et forme un band avec LEE ALLEN . Le groupe qui  signe pour 2 semaines au BRASS RAIL 'crescent) , va y rester 5 années . IL signe pour Checker / Argo sous-marques de Chess. Le pianiste se transforme en Talent Scout pour le compte de la célèbre firme de Chicago et sera chargé de promotion pour la Louisiane et les états du Sud. Gayten va alors révéler des gens comme Bobby Charles, Oscar Wills, Clarence Henry et surtout une certaine Etta James. Sous son nom, il continuera à enregistrer invariablement aussi bien du Blues, du Boogie Woogie et également du Black Rock n Roll au swingue puissant et permanent. Paul Gayten pouvait s’appuyer pour son orchestre sur des musiciens de premier plan : le batteur Charles Williams et le fantastique saxophoniste Lee Allen. Ses faces Okeh proposent du pur Black Rock n Roll avec des titres comme le percutant « It Ain’t Nothing’ Happenin’ », suivi du parfait prototype de Boogie Woogie avec « Cow Cow Blues » où les notes s’entrelacent de bonheur et nous donnent ce côté très jouissif et festif. Lors de son arrivée chez Chess, ces morceaux deviendront plus bluesy, comme le démontrent les magistraux « Down Boy » ou « Sweeper », un très bel instrumental, ou bien encore le fascinant et enivrant « Get It » . L’endiablé « You Better Believe It » dont le tempo affolant nous rend ivre de bonheur et « Drivin Home ( part 1 ) » sur lequel on peut apprécier toutes les formidables qualités d’un Lee Allen tonitruant au saxophone prouvant qu’il fut l’un des meilleurs saxophonistes hurleurs demeurent eux aussi des morceaux d’un haut niveau. La musique New Orléans est aussi présente avec « So Glad She’s Mine » avec Charles « Hungry » Williams au chant.
    A cette époque, il devient le responsable de l’antenne Chess à la Nouvelle Orléans ; quand les portes du label chicagoan ferment, Paul devient producteur et fonde son propre label, Pzazz. Il ne va pas hésiter à produire des gens comme Louis Jordan ou T V Slim. Durant les années 70, il décide de se retirer du monde musical. Il décédera LE 26  mars 1991, suite à des ulcères à l’estomac.

    MERCI A LUI D AVOIR EXISTER ET QUE DIEU LE GARDE .

    Blog de elpresse : ELVIS ET LE ROCKABILLY, paul gayten

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