ELVIS 31 MARS 1957 DETROIT

backstage

31 mars 1957 DETROIT 

2 SHOWS 14 H00 et 16H00 (listes de chansons connus interprétées aux 2 SHOWS ) (pas definitive) .

Heartbreak Hotel

Long Tall Sally

Thats When Your Heartaches Begin

All Shook Up

Playing For Keeps

Dont Be Cruel

Hound Dog

du monde comme jamais !

fans hurlaient, sanglotaient, gémissaient et se tordaient dans leurs sièges, le bruit atteignant des crescendos assourdissants à chaque intonation de la voix palpitante de Presley. Ce n'est qu'occasionnellement que ses chansons pouvaient être entendues et reconnues. Mais chanter, piétiner, tituber et gratter, il l'a fait pendant 40 minutes en sueur. Et quand il est arrivé à son dernier numéro, "You Ain't Nothin" but a Houn' Dog ", le summum des terreurs acoustiques a été atteint.

Les 140 policiers supplémentaires de Detroit affectés à Olympia, y compris une escouade de commandos de police (12 hommes) et 10 policières, en plus du personnel d'accueil renforcé du Stadium, ont mené une bataille serrée pour garder Elvis hors des griffes de ses fans. . Les flashs ont éclaté comme des lucioles frénétiques un soir d'été. L'équipe de sécurité de Presley, composée de quatre huskies, l'a fait monter et descendre de la scène sans dommage, emmenant le chanteur fumant à travers un cordon de policiers et dans un taxi en attente après chaque apparition.Ses fans, refusant de croire qu'il était parti, se sont entassés derrière des barricades de police d'environ 1 000 hommes et ont menacé de piétiner la police et les uns les autres dans le but de se rendre au vestiaire de Presley.

Reponse aux question des journaliste ..avant le spectacle s'est bien déroulé; en "gros" c'est ce qui se passera par la suite ...

 il a 22 ans, pèse 180 livres et mesure six pieds. Il possède maintenant huit automobiles, dont une voiture de sport, et construit un manoir sudiste de style colonial, "avec des piliers", sur un terrain de 18 acres dans la banlieue de Memphis, Tennessee.

ses apparitions à Chicago et à Saint-Louis étaient toutes deux à guichets fermés.

Pas mal pour un garçon qui, il y a trois ans, fréquentait un lycée de Memphis, devenu depuis un phénomène de chant et d'enregistrement (plus de 13 millions de disques). Personne ne peut tout à fait expliquer son succès, pas même ses fans les plus avides. Une adolescente ravi, portant un bouton "Elvis  président", s'est vu poser la question, entre sanglots et cris. "Je ne sais pas - et je m'en fiche", a-t-elle crié. «Il est tout simplement merveilleux. C'est sa façon de faire. Quand il chante, j'ai la chair de poule partout. Je ne peux tout simplement pas l'expliquer.