• MAGAZINE EPOQUE . janvier 57 .

     

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  • 1958 

    test coca 1950

    PARIS fifties

    Avenue des Champs-Élysées 1956.

     PARIS fifties1955 place de l Opera

    PARIS fifties

     

    1953

    PARIS fifties

     

    Métro parisien avec banquette en bois 1950.

    PARIS fifties

     Jeanne Moreau dans les studios de Boulogne-Billancourt. 1952

     PARIS fifties

    Porte Saint-Denis et rue du Faubourg-Saint-Denis 1955

    PARIS fifties

     

     Rue Tholozé et le Moulin de la Galette, Montmartre Fin des années 1950.

     

    PARIS fifties

    Rue Ravignan, Montmartre 1956

    PARIS fifties

     

    Devant la Brasserie Lipp, Saint-Germain-des-Prés 1950.

    PARIS fifties1955

    PARIS fifties

     

    Livraison de farine dans une boulangerie pâtisserie 1959.

    PARIS fifties

     

    Hotel de Ville 1952

    PARIS fifties

    place de la concorde 1955

    PARIS fifties

    Place Pigalle 1959

     

     

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  • VU HIER

    Avec un casting de fou

    Asteroid City

    Bel hommage à la trilogie de Jean Renoir sur le monde du spectacle, transposée dans l'Ouest américain des années 50. Réflexion pleine de poésie et d'humour sur le cinéma et les apparences : « Où commence la comédie ? Où finit la vie ? ». Intelligent et rafraichissant.

    MOI JE suis MITIGé
    voyons d autres ...

    Wes Anderson fait donc une fois de plus du Wes Anderson. Puissance mille. Le cinéaste multiplie ses vignettes plastiquement sublimes, d'une maitrise parfaite, et sa direction artistique est phénoménale (décors kitsch et cadres symétriques). Mais encore plus que dans The French Dispatch, son délire miniaturiste empêche finalement la vie de jaillir de ses cadres. Malgré le défilé des stars, malgré la présence des enfants - qui comme dans Moonrise Kingdom perturbent son dispositif et nourrissent ici la mélancolie de la famille et de la maison - son cinéma est plus que jamais enfermé dans des obsessions qui tournent à vide et ne produisent plus aucune émotion.

    Un alien tentera bien de faire dérailler son petit train (train) nostalgique et compassé, mais en vain. Pire, en revisitant l'histoire du cinéma et du théâtre américain des années 50, Anderson s'enferme dans des références et des échos aussi obscures qu'indéchiffrables et laisse le spectateur définitivement sur le bord de la route. On se demandait récemment dans les pages du magazine si les films du cinéaste n'étaient pas en train de devenir des "filtres "bonbon sucré" Instagram pour branchés en manque de tendances" ? Asteroid City n'invite pas vraiment à la clémence...

     

     

     

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  • 1953

    PARIS fifties1958

    PARIS fiftiesPLACE BLANCHE 1959 

    PARIS fifties

     

    1953 (conditions!!!) 

    PARIS fifties

    BAL POPULAIRE RUE DE NANTES 14 JUILLET 55

     PARIS fifties

    Audrey Hepburn, Mel Ferrer et Buster Keaton dans Paris Pursuit pour Harper's Bazaar 1959.

    PARIS fifties

     1950

     PARIS fifties

     

     Le Déjazet, place de la République et boulevard du Temple 1953. Paris 3e Cinéma .

    PARIS fifties

     

     Avenue Simon-Bolivar vue de l'escalier de la rue Barrelet-le-Ricou 1950.

     

    PARIS fifties

    La danse. Marc Chagall peignant le plafond de l'Opéra Garnier 1950

    PARIS fifties

     

    Le plan lumineux du métro. 1958.

     

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  •  

     

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  • alors il y en a eu plusieurs avant,mais la, j'ai mis un chiffre aleatoire je ne sais plus combien mais ca tourne autour de 6)  pour m en sortir pour les prochaines suites 

    "Elvis and Me"- Jimmy Webb

    'Elvis Ate America' - Passengers (U2/Howie B/ENO)

    "Elvis Died Today" by Paul and Storm

    Zodiac Mindwarp & The Love Reaction - Elvis Died For You

    vous avez dit ELVIS -titre en rapport -autour de lui suite ...6

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