• blake et mortimer la marque jaune

    blake et mortimer la marque jaune

     

     certainement sans aucun chauvinisme le meilleur album de la serie 

     La Marque jaune est la troisième aventure et le sixième album de la série de bande dessinée Blake et Mortimer, scénarisée et dessinée par Edgar P. Jacobs.

    Elle est publiée en planches hebdomadaires dans Le Journal de Tintin du 5 août 1953 au 10 novembre 1954. Elle est ensuite éditée en album en avril 1956 aux Éditions du Lombard, puis rééditée en janvier 1987 aux Éditions Blake et Mortimer. L'histoire a été traduite dans près d'une dizaine de langues. Elle a été adaptée en feuilleton radiophonique, en dessin animé et en jeu vidéo, et a fait l'objet de plusieurs projets de films.

    Edgar P. Jacobs s'inspire notamment du cinéma expressionniste allemand des années 1920, avec un travail sur le monochrome et les jeux d'ombres lors des séquences de nuit et la présence d'un personnage de savant fou et de sa créature. L'album, considéré comme le plus abouti et le plus emblématique de Jacobs, est devenu une référence dans le monde de la bande dessinée franco-belge.

    La bande dessinée raconte l'enquête du capitaine Francis Blake de l'Intelligence Service et de son ami le professeur Philip Mortimer sur la « Marque jaune », un mystérieux criminel ayant commis une série de cambriolages spectaculaires à Londres. La nécessité de retrouver l'individu se fait plus pressante lorsqu'il enlève quatre notables londoniens au nez et à la barbe de la police.

    Synopsis
    A Londres, la police et les Services secrets sont sur le pied de guerre : on a volé la Couronne impériale et trois hommes publics ont été successivement enlevés. Seule une étrange marque jaune, un M grec retrouvé sur les lieux en guise de signature, permet de lier les quatre affaires. Chargés de l'enquête, BLAKE et MORTIMER se trouvent rapidement confrontés à une créature bizarre, dotée de pouvoirs surnaturels...

    L’album va finir par être moins connu que sa griffe, déclinée en badges, affiches, cartes postales ou sérigraphies. Pris dans son éclat jaune vif, Blake et Mortimer eux-mêmes sont bien effacés. Ce couple de héros désespérément positifs est trop intègre, trop rigide, trop patriote, à la mode des années 50 et de la guerre froide. Leur seul défaut? L'inclination, raisonnable, du docteur Philip-Edgar-Agus Mortimer pour sa pipe et le scotch 12 ans d’âge. Il est autorisé de leur préférer Olrik, haïssable méchant comme on les affectionne, colonel de l’ombre, personnage insaisissable, voleur, espion ou soldat, jamais en reste d’une trahison. En lui cohabitent la désinvolture, l’élégance, le charisme d’un Erich Von Stroheim et la malignité de M. le Maudit – auquel La Marque jaune fait ouvertement référence. Bref, sans son opposition opiniâtre, Blake et Mortimer seraient bien fades.

     

    Sommet de la série (avec L’Affaire du collier), La Marque Jaune concentre tout ce qui a fait son succès, public et critique: les dialogues très "anglais", les décors faits de sombres passages souterrains, de fauteuils clubs et de laboratoires high-tech, le contraste entre l’atmosphère oppressante d’un thriller tiré au cordeau et l’épure du dessin - Edgar P. Jacobs continue d’influencer, aujourd’hui encore, quelques dessinateurs racés, tenants de la "ligne claire". Dans le genre, on n’a jamais fait mieux.

     

     

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