• 1953

     

     

     

    Roland Barthes publie "le Degré zéro de l'écriture"

     

     Roland Barthes fait paraître son premier ouvrage d'importance, "le Degré zéro de l'écriture". Cet essai cherche à montrer le rapport entre la littérature et l'histoire dans le contexte social. L'auteur y établit plusieurs catégories d'écriture et met en avant les difficultés auxquelles est confronté l'écrivain dans son choix littéraire, face aux divisions sociales. Grand sémiologue et linguiste, Roland Barthes réalisera par la suite de nombreux ouvrages. Il mêlera alors la psychanalyse à l'anthropologie moderne pour donner naissance à de nouvelles formes de critique.
    n 1952, de retour à Paris où il travaille au Ministère des Affaires étrangères, il publie « Le monde où l'on catche » dans la revue Esprit puis poursuivit ses « Petites mythologies du mois » dans Combat et dans la revue de Maurice Nadeau, Les Lettres nouvelles. Ces courts textes le font connaître d'un vaste public et sont réunis en un seul volume en 1957. Mais son premier essai, Le Degré zéro de l'écriture, paru en 1953, est rapidement considéré comme le manifeste d'une nouvelle critique soucieuse de la logique immanente du texte. À cette époque, le théâtre l'intéresse particulièrement. Il participe à la création de Communications et collabore à Tel Quel.

     

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    L'expression qui donne son titre à l'ouvrage se réfère à une théorie linguistique selon laquelle une opposition signifiante peut être « neutralisée » par un troisième terme appelé « degré zéro ». Barthes utilise métaphoriquement cette théorie : il y voit la possibilité de déjouer les assignations fixées par un code. Il donnera à cet usage d'un terme « neutre », tout au cours de son œuvre, des développements considérables.

     

    Dans ce premier ouvrage, la métaphore linguistique éclaire une pratique romanesque dont l'exemple privilégié est L'Étranger d'Albert Camus : « La nouvelle écriture neutre se place au milieu de ces cris et de ces jugements, sans participer à aucun d'eux ; elle est faite précisément de leur absence. » Si Barthes prend position dans la situation idéologique et esthétique de son temps, il affiche aussi une ambition plus large. Son ouvrage vise à réécrire l'histoire de la littérature comme une histoire des « formes de l'écriture ». Il commence par poser deux réalités stables : la « langue », collective et archaïque ; et le « style », individuel et quasi physiologique. L'écrivain ne fait le choix que des marques supplémentaires qu'il leur ajoute, et qui témoignent de son insertion dans l'Histoire et dans la société.

     

    La première partie de l'essai est consacrée à l'analyse de divers modes d'écriture. Le mode politique donne lieu à des pages brillantes, souvent polémiques, sur l'écriture révolutionnaire, l'écriture bourgeoise, marxiste ou intellectuelle. Ce sont autant de « mythologies » de la forme écrite, où est dénoncée la fausseté des rapports entre le langage et le monde, dès qu'une médiation s'y agrège de manière parasite.

     

    « L'écriture du roman » est décrite comme la fabrication d'une fausse évidence qui masque l'absence de réalité sous une fabulation crédible. Barthes s'attache à deux conventions du roman : le passé simple et la 3e personne. La poésie, quant à elle, et particulièrement la poésie moderne, échapperait au jeu des masques de l'"écriture". Elle ne serait que langue et style ; à travers elle, « l'homme affronte le monde objectif sans passer par aucune des figures de l'Histoire ou de la sociabilité ».

     

    La seconde partie de l'ouvrage développe l'histoire de l'écriture. Barthes montre la naissance d'une mauvaise conscience de l'écrivain, voire d'un tragique de la littérature dans la France du XIXe siècle. Flaubert en serait l'exemple privilégié. Après lui, la littérature n'aurait pu choisir qu'entre l'exhibition de son propre masque (« Je suis littérature », proclame le roman naturaliste, tout en prétendant dire le réel) et le sabordage, le silence d'un Rimbaud ou d'un Mallarmé. Dans cette situation, le « degré zéro » apparaît comme une innocence reconquise. Barthes entrevoit chez certains écrivains de son temps l'utopie d'une réconciliation entre la littérature et le monde, au-delà d'une société qui demeure irréconciliée.

     

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  • .DALE HAWKINS

     

     il y a encore a dire sur ses sessions d enregistrement et musiciens qui ont parfois un lien avec ELVIS .

     

    En effet des 1956 , lorsqu il entre pour le label KENT à la radio SHEREVEPORT , pour y enregistrer SUSIE Q , ce sera avec comme guitariste soliste un certain JAMES BURTON ; eh oui ce n'est pas avec RICKY NELSON , mais bien avec DALE que BURTON démarre dans le rock n roll .. James qui participe à la création de SUSIE Q , pour la musique . BURTON qui quitte HAWKINS début 1957 . Ensuite on connait plus ou moins l histoire  .

     

    Mais dans les 70 lors d une tournée , ELVIS va faire un coucou au 50 s  de JAMES ; le 20 juillet 1975 à NORFOLK , lors de la présentation des musiciens , il va entamer SUSIE Q avec JAMES .

     

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     2)

     

    Lors de la session de juin 1958 , toujours à SHEREVEPORT, DALE va lancer un autre guitare heros ROY BUCHANAN , qui deviendre une figure dans le blues notamment .

     

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    qui nous quitte malheureusement en 1988

     

    Dans cette meme session également DJ FONTANA va y participer ; FONTANA etant à l'époque le batteur principal du KING .

     

     

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     iL NE FAUT PAS OUBLIER sa reprise (dale)  EN ROCK de MY BABE de WILLIE DIXON en 1958 . Presley mettra MY BABE à son répertoire lors de son retour sur scene en 1969 .

     

    En 1959 ELVIS est à l'armée et HAWKINS a l'honneur d'avoir à une session non seulement DJ FONTANA mais AUSSI SCOTTY MOORE (guitariste légendaire de PRESLEY) .

     

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    1959 toujours DALE HAWKINS va reprendre AIN T THAT LOVING YOU BABY qu ELVIS a immortalise un peu avant .

     

    dans les années 60 il va se rendre souvent à NASHVILLE pour y faire ses disques et va travailler bien sur avec OWEN BRADLEY (voir mot cle sur le blog)  PRODUCTEUR EN SON TEMPS DU  fameux NASHVILLE SOUND . DONC enregistrer avec des pointures QUI ONT TOUS AUSSI COTOYER LE KING EN SESSION :

     

    comme FLOYD CRAMER pianiste de genie qui va accompagner DALE EN 1961 AINSI QUE CHARLIE Mc COY à l'harmonica en 1961 également ...

     

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    Dale va reprendre aussi des titres en commun avec ELVIS ou les titres du king /  hound dog - hot dog -money honey -mona lisa-johnny b goode - promised land -baby what you want me to do etcetc .....

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Festival de Cannes 1953 :

     

    15-29 avril
    Délégué général: Robert Favre Le Bret

     

     

     

    Prix et Jury

     

    Jury :

     

     

     

     

     Grand Prix :
    Le salaire de la peur - de Henri-Georges Clouzot (France/Italie)
    Prix d'interprétation masculine :
    Charles Vanel (Le salaire de la peur - de Henri-Georges Clouzot) (France/Italie)
    Prix d'interprétation féminine :
    Shirley Booth (Reviens, petite Sheba (come back, little Sheba) de Daniel Mann) (USA)
    Prix du scénario :
    Juan Antonio Bardem, Luis García Berlanga & Miguel Mihura (Bienvenue monsieur Marshall (¡ bienvenido Mister Marshall !) de Luis García Berlanga) (Espagne)
    Prix pour la photographie couleur :
    Magie verte (magia verde) de Gian Gaspare Napolitano (Italie/Brésil)
    Prix de la partition musicale :
    Gabriel Migliori (Sans peur, sans pitié (o cangaceiro) de Lima Barreto) (Brésil)
    Prix International du film le mieux raconte par l'image :
    Le filet (la red / Rosanna) de Emilio Fernández (Mexique)
    Prix International du film d'explorateur :
    Magie verte (magia verde) de Gian Gaspare Napolitano (Italie/Brésil)
    Prix International du film légendaire :
    Le renne blanc (valkoinen peura / noita / den vita renen) de Erik Blomberg (Finlande)
    Prix International du film de divertissement :
    Lili - de Charles Walters (USA)
    Prix International du film de la bonne humeur :
    Bienvenue monsieur Marshall (¡ bienvenido Mister Marshall !) de Luis García Berlanga (Espagne)
    Prix International du film d'aventures :
    Sans peur, sans pitié (o cangaceiro) de Lima Barreto (Brésil)
    Prix International du film dramatique :
    Reviens, petite Sheba (come back, little Sheba) de Daniel Mann (USA)
    Hommage :
    Edgar Neville (Duende y misterio del flamenco) (Espagne)
    Prix OCIC (Organisation Catholique Internationale du Cinéma et de l'Audiovisuel) :
    Jean Dréville (Horizons sans fin) (France)
    Prix Spécial du Jury :
    Walt Disney
    Films en compétition :
    Vienne, 1er avril 2000 (1. April 2000) de Wolfgang Liebeneiner (Allemagne de l'Ouest) Le vagabond (awaara) de Raj Kapoor (Inde) Barabbas - de Alf Sjöberg (Suède) Bienvenue monsieur Marshall (¡ bienvenido Mister Marshall !) de Luis García Berlanga (Espagne) Bongolo - de André Cauvin (Belgique) Appelez-moi madame (call me madam) de Walter Lang (USA) Reviens, petite Sheba (come back, little Sheba) de Daniel Mann (USA) Sans peur, sans pitié (o cangaceiro) de Lima Barreto (Brésil) La légende du grand Bouddha (daibutsu kaigen) de Teinosuke Kinugasa (Japon) Mascarade d'amour / Dona Francisquita (doña Francisquita) de Ladislao Vajda (Espagne) Duende y misterio del flamenco - de Edgar Neville (Espagne) Tourments (él) de Luis Buñuel (Mexique) Pour les ardentes amours de ma jeunesse (för min heta ungdoms skull) de Arne Mattsson (Suède) Les enfants d'Hiroshima (gembaku no ko) de Kaneto Shindô (Japon) Ceux d'aujourd'hui (gendai-jin) de Minoru Shibuya (Japon) Le fond du problème (the heart of the matter) de George More O'Ferrall (Royaume-Uni) Horizons sans fin - de Jean Dréville (France) La loi du silence (I confess) de Alfred Hitchcock (USA) Lili - de Charles Walters (USA) Les parents terribles (intimate relations) de Charles Frank (Royaume-Uni) La marchande d'amour (la provinciale) de Mario Soldati (Italie) Le filet (la red / Rosanna) de Emilio Fernández (Mexique) La vie passionnée de Clemenceau - de Gilbert Prouteau (France) Lumière sur la lande (luz en el páramo) de Víctor Urruchúa (Venezuela) Magie verte (magia verde) de Gian Gaspare Napolitano (Italie/Brésil) Peter Pan / Les aventures de Peter Pan (Peter Pan) de Clyde Geromini, Wilfred Jackson & Hamilton Luske (USA) Le salaire de la peur - de Henri-Georges Clouzot (France/Italie) Equinoxe (nevjera) de Vladimir Pogacic (Yougoslavie) Sala de guardia - de Tulio Demicheli (Argentine) Las tres perfectas casadas - de Roberto Gavaldón (Mexique) Notre village / Le village près des étoiles (sie fanden eine heimat / das pestalozzi-dorf / unser dorf ) de Leopold Lindtberg (Suisse/Royaume-Uni) Station Terminus (stazione Termini / indiscretion / indiscretion of an american wife / terminal station / terminal station indiscretion / terminus station) de Vittorio De Sica (Italie/USA) Le soleil brille pour tout le monde (the sun shines bright) de John Ford (USA) Le renne blanc (valkoinen peura / noita / den vita renen) de Erik Blomberg (Finlande) Les vacances de monsieur Hulot - de Jacques Tati (France)
    Membres du jury des Cours Métrages : Bert Haanstra (Pays-Bas), Roger Leenhardt (France), René Lucot (France), Jean Queval (France), Jacques Schiltz (France) & Jean Vivie (France).


    Grand Prix du court métrage :
    Crin Blanc, cheval sauvage - de Albert Lamorisse (France)
    Prix du film d'art, court métrage :
    Doderhultarn, sculpteur suédois (Doderhultarn) de Olle Hellbom (Suède)
    Prix du film de réalité, court métrage :
    Tiens bon ! (houen zo !) de Herman van der Horst (Pays-Bas)
    Prix du film de fiction, court métrage :
    The stranger left no card - de Wendy Toye (Royaume-Uni)
    Prix du film d'animation, court métrage :
    Sports et transports ! (the romance of transportation in Canada) de Colin Low (Canada)
    Courts métrages et documentaires en compétition :
    Et maintenant, moi, Michel (and now Miguel) de Joseph Krumgold (USA) Castilla, soldat de la loi (Castilla, soldado de la ley) de Enrico Gras (Pérou) Crin Blanc, cheval sauvage - de Albert Lamorisse (France) Doderhultarn, sculpteur suédois (Doderhultarn) de Olle Hellbom (Suède) Notre Birmanie (doh pyi daung su) de Jules Bucher (Birmanie) Dubrovnik - de Milan Katic (Yougoslavie) Gazouly, petit oiseau - de L. Starewitch (France) Tiens bon ! (houen zo !) de Herman van der Horst (Pays-Bas) Les cristaux (i cristalli) de Lando Colombo (Italie) Images et couleurs (immagini e colore) de Vittorio Sala (Italie) La baleine (kujira) de Noburo Ohfuji (Japon) The stranger left no card - de Wendy Toye (Royaume-Uni) La gloire de revoir (joy of living) de Jean Oser (Royaume-Uni) Sports et transports ! (the romance of transportation in Canada) de Colin Low (Canada) La colline de Kumaon (Kumaon hills) de Mohan Dayaram Bhavnani (Inde) L'abatis (the settler) de Bernard Devlin & Raymond Garceau (Canada) La montagne de Gendre (la montagna di Cenere) de Giovanni Paolucci (Italie) La peinture murale mexicaine (la pintura mural mexicana) de Francisco del Villar (Mexique) Au pays des jours sans fin (land of the long day) de Douglas Wilkinson Le Luxembourg et son industrie - de Philippe Schneider (Luxembourg) Le voyage d'Abdallah - de Georges Régnier (Tunisie/France) Machu-Picchu - de Enrico Gras (Pérou) Marionnettes de Toon - de Jean Cleinge (Belgique) Maîtres d'aujourd'hui (meister der gegenwart) de Karl Zieglmayer (Autriche) L'art japonais à l'époque Momoyama (Momoyama bidsutsu) de Soya Mizuki (Japon) L'aube (naskara) de Juan Miguel de Mora (Guatemala) Des terres nouvelles à la place des anciennes (new lands for old) de Krishna Gopal (Inde) Pêcheurs de lagune (pescatori di laguna) Antonio Petrucci (Italie) Peter Breughel l'Ancien - de Edmond Levy, Arcady & Gilbert Pignol (France) Présentation de la Beauce à Notre-Dame de Chartres - de Jacques Berthier (France) Pylône 138 (pylone 138) de Adolphe Forter (Suisse) Survivants de l'âge de pierre (remmants of the stone age people) de Louis Knobel (Afrique du Sud) Reverón - de Margot Benacerraf (Venezuela) Royal heritage - de Diana Pine (Royaume-Uni) Salut Casa - de Jean Vidal (Maroc) Ombres sur les emailer (schatten unter sternen) de Ernest Bingen (Allemagne de l'Ouest) Telle est la Sarre (so ist das Saarland) de Ernest Bingen (Allemagne de l'Ouest) La figure (the figurehead) de John Halas (Royaume-Uni) Une grande expérience (the great experiment) de V.R. Sarma (Inde) Victoire sur l'Annapurna - de Marcel Ichac (France) Vincent Van Gogh - de Jan Hulsker (Pays-Bas) Oiseaux aquatiques (water birds / a true-life adventure: Water birds) de Ben Sharpsteen (USA) Le printemps (varen) de Gösta Werner (Suède)

     

     Picasso sera l'un des rares invités à être accepté sans le traditionnel tuxedo. Il est vêtu d'une veste en peau de mouton. Cannes insite beaucoup sur la tenue vestimentaire de ses invités, afin de continuer à faire rêver les gens, et garder cette image de Haut Standing. (Et aussi à attirer les journaux de mode....)

     

    Sous l'influence d'un poète, les prix prennent des noms fleuris...et souvent fantaisistes. Cocteau récompensear des films avant tout populaires. Même si le génie de Tati ne sera pas reconnu, alors que tous le comparent à Charlie Chaplin. Le Salaire de la Peur fait l'unanimité, y compris chez les américains. Et les Français en retour remettent la Légion d'honneur à Walt Disney. Rendez-vous mondain incontournable, Cannes aime aussi l'odeur de soufre: l'un des membres du jury, Edward Robinson menacera de démissionner à cause de Bienvenido Mister Marshall, qui selon ridiculise l'Amérique. Le film recevra pourtant le prix de la bonne humeur. Sur la plage, les photographes chassent les nouveaux visages. Parmi eux celui d'une starlette: Brigitte Bardot.

     

    Les stars se déplacent désormais à cannes en vacances: aucune promotion, si ce n'est la leur. Cannes sera toujours un excellent thermomètre pour la popularité des vedettes. Kirk Douglas jouera avec els cheveux de Bardot, etd onnera sa coinférence de presse en français dans le texte. Gary Cooper déplace les foules, etd evient la "star la plus populaire". Un Prix Gary Cooper sera crée quelques années plus tard.....

     

    Films de l'année 53:

     

    • Les Vacances de Mr. Hulot (Jacques Tati),
    • Thérèse Raquin (Marcel Carné),
    • La Tunique (Henry Koster),
    • Jules César (Joseph Mankiewicsz),
    • Madame de...(Max Ophuls),
    • Tant qu'il y aura des hommes (Fred Zinnemann)

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Blog de elpresse : ELVIS ET LE ROCKABILLY, Festival de Cannes 1953

     

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    http://www.ina.fr/cannes/1946-1959/video/I06173012/jury-du-festival-de-cannes-1953.fr.html

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  •  des exemples frappants, la réalité des échanges musicaux entre Blancs et Noirs. Ainsi Raga Mop, la composition de Johnnie Lee Wills, sera reprise par des groupes blancs comme les Ames Brothers mais aussi par Louis Jordan ou les Treniers. Dans le sens inverse, on peut signaler  que What's The Matter With The Mill de Memphis Minnie-Joe McCoy deviendra un classique du country & western. L'année 1949 marque le début de l'envolée de Fats Domino avec le succès de The Fat Man qui s'impose dans le top R&B. On entend aussi des titres significatifs de l'époque produits par des artistes noirs (Roy Brown, Wynonie Harris, Flyod Dixon, Louis Jordan, Big Joe Turner, B. B. King, Roy Milton, Arthur "Big Boy" Crudup) et blancs (Tennessee Ernie Ford, Tommy Duncan, Lalo Guerrero, Jerry Irby, Don McCord) qui marqueront de leur empreinte les jeunes rockers en puissance .

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