• buddy holly et ses lunttes
     
     
     
     
     
     
     
     
     
       
     
     
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    Il en va de tous temps qu un signe ou objet soit indissociable d'une personne , un objet qu on se fabrique , un objet qui soit obligatoire a son bien etre etc etc...

     

    LORSQUE l'on évoque le GRAND BUDDY HOLLY , c'est bien sur ses lunettes ...

     

    Apres le deces de BUDDY lors du crash du 3 fevrier 1959 , une chose incroyable se passe tout de meme , c'est que ses fameuses lunettes sont retrouvées . Ce qui l'on decoule que cela va devenir les lunettes les plus cheres de l histoire ...Elles sont donc juste apres , remises au bureau du shérif et y rester environ 22 ans , avant d'etre remises à la veuve de HOLLY . EN MAI 1998 Civic lubbock Inc rachete la paire pour 80000 $ . La société en fera DON , à la ville de LUBBOCK (texas) , pour l'exposition BUDDY HOLLY ....

     

    Je rappelle que ses lunettes ont été faite par J DAVIS ARMISTEAD de l'ouest de la ville , maintenant age de 96 ans.

     

    La vision de BUDDY était de 20 /800 aux deux yeux , AUTANT DIRE tres tres tres peu ; il ne devait pas voir grand chose ; mais ne voulait mettre de lunette , de peur de casser son aspect rebelle rock n roll . Donc on peut dire que la légende n'aurait pas vu le jour sans lunettes . Pour le rédacteur de mode du billboard , HOLLY a prit tout de meme cette accessoire , EN FAIT partie intégrante de son identité . De part sa forme , sa grandeur , sa matiere , il les a choisi en lancant un concept pop , pour l'époque (elton john et bien d autres vont s en inspirer) .

     

    BUDDY  essaye tout d'abord SANS , mais sur scene cela ne se passe pas tres bien . Ensuite il s'essaye une premiere paire de lentilles de contact , mais trop inconfortable (epoque oblige) , il ne peut les porter tres longtemps d(un coup) .....DONC il démarre le port de lunettes , avec monture en plastique et metal , choisi par lui dans le sens d'y faire un concept  .

     

    En fait avec l'aide d ARMISTEAD qui va jouer un role preponderent . En voyant un soir le PHIL SILVERS SHOW , le médecin remarque que SILVERS , jouant le role d'un sergent de l'armée , utilise de lourds cadres noirs , pour accentuer son personnage ; cela va donner l'idée pour son client musicien et futur star .

     

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     Le seul probleme est qu'il doit se rendre au MEXIQUE pour trouver ce style de monture , lui n'en n'ayant pas ; BUDDY choisi la couleure (noire) . Ils devinrent vite aussi connu que leur illustre propriétaire et devinrent meme objet de collection . On pense meme , grace à certaines photos et papiers ecrits , qu'avant son deces , HOLLY était en train do monter une micro entreprise de ce style de lunette sur new york !! Il est vrai qe l'on peut le voir vers fin 58 , debut 59 avec des lunettes legerement différentes de la création , surement dessinées par ses soins et y mettant sa patte pour pouvoir les signer je suppose .

     

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    etc etc....

     

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  • Blog de elpresse : ELVIS ET LE ROCKABILLY, REFLEXION ROCKABILLY

     

    Les définitions, bien pratiques mais fatalement réductrices, du chroniqueur de jazz (et du public éclairé) volent en éclats quand ils se trouvent face à un objet comme celui-ci : un double CD de rock n’roll de 1949, offrant trente-six rocks qui, certes n’ont pas tous la forme stéréotypée de ceux d’un Elvis Presley, mais attestent, en tout cas, que le rock a des racines plus profondes que le commerce ne le dit .Le rock existait donc, mais on n’en parlait pas. Pourtant, ce double CD le confirme, les stéréotypes, les anatoles, les phrases musicales, les codas, les paroles même, tout est là. Avec deux versants, un versant blanc qui prend racine dans la country, un versant noir, qui, lui, puise ses racines dans le blues et le rhythm n’ blues : "All She Wants To Do Is Rock" par Wynonie Harris (dans lequel on trouve même que "She Rocks With The Clock", rime oblige), "Rock Awhile" par Goree Carter, "Rock Cola" par Joe Lutcher, "I’m Gonna Rock" par Ralph Willis, ou "Rocking At Home" par Flyod Dixon. Certains vont faire parler d’eux, par exemple Fats Domino ("The Fat Man", "Hey Là-Bas Boogie"), Champion Jack Dupree ("Rub A Little Boogie"), Louis Jordan ("Saturday Night Fish Fry"), Big Joe Turner ("When The Rooster Crows") ou B. B. King ("Take A Swing With Me"). On aura même la surprise de découvrir dans l’orchestre de ce dernier les deux Phineas Newborn, le sénior à la batterie et le junior au piano. On a sur la plupart de ces rocks protohistoriques, le piano rock issu du boogie ("Waking Up Baby" par Ray Milton), le saxophone à la Bill Haley qui en rajoute dans les effets ("Let’s Have Some Fun" par Jesse Thomas), les musiciens qui répondent en chœur au chanteur soit par la voix ("Rag Mop", par Johnnie Lee Wills ou encore "Ain’t Get No Grindin’" par Moon Mullican) ou par leurs instruments ("Ain’t Gonna Do It" par Dave Bartholomew, le découvreur de Fats Domino). Les archétypes du rock classique sont en place, les breaks de la musique pour laisser le chanteur ("Two Many Women" par Jerry Irby) ou bien le solo obligé de guitare ("Bingo Boogie" par Tommy Mooney). Les deux versants, country et rhythm n’blues, apportent chacun leurs caractéristiques. Aussi, sur le versant country on a la voix qui joue les effets mâles, un peu comme le faisait Presley ("Riders In The Sky") par les Sons Of The Pioneers ou les effets "guitare hawaiienne" très à la mode à l’époque ("Can’t Live Without You" par Don McCord). Sur ce versant, on retrouve les instruments de musique de typiques de la country : le fiddle ("Smokey Mountain Boogie" par Tennessee Ernie Ford ou "We’re Gonna Go Fishin’ " par Ole Rasmussen), mais aussi le cruchon et les cuillères ("Jug Band Boogie" par Louis Innis). Parmi ses gloires, l’ancêtre du rockabilly : Ramblin’ Tommy Scott ("Gonna Paint The Town Red"). Sur le versant rhythm n’blues la scansion particulière des Noirs-Américains tellement expressive et swinguante ("Butcher Pete" par Roy Brown, ou encore "Little Red Hen" par Johnny Otis. Ou encore ce sosie de Little Richard avant la lettre, "Smilin’ " Smokey Lynn, ("Run Mister Rabbit"). Outre les grands bluesmen ci-dessus cités, le CD nous offre le père officiel du rock and roll – puisque c’est avec l’une de ses chansons qu’Elvis Presley débuta – le fameux, mais oublié Arthur "Big Boy" Crudup ("Shout Sister Shout"). Le livret, joint à ce coffret, est bilingue et absolument parfait .




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  • 23 juillet 1953

     

     

     

    Fin de la guerre de Corée

     

     

     

    Les belligérants de la guerre de Corée, à savoir la Corée du Sud, les forces des Nations Unies, la Corée du Nord et la Chine signent l'armistice de Pan Mun Jom. L'accord prévoit la division de la Corée en deux zones à la hauteur du 38e parallèle, où une zone démilitarisée sera installée. Durant les trois ans de guerre, on dénombrera entre un et trois millions de morts et de disparus, le tout pour revenir au statu quo ante bellum.

     

     

     

    La guerre de Corée, qui commence le 25 juin 1950, vient sanctionner la « guerre froide » que se livrent Américains et Soviétiques au lendemain de la Seconde Guerre mondiale. En 1945, les Soviétiques ont occupé le nord de la Corée jusqu'au niveau du 38e parallèle qui marque la séparation avec la Corée du Sud, où se sont installés les Américains.

     

    Les causes de la guerre remontent aux conditions dans lesquelles ont été établis les deux gouvernements coréens en 1948 : celui du Nord a refusé de reconnaître la légitimité des élections menées dans le Sud sous l'égide de la Commission des Nations unies; celui du Sud se targue de la tutelle de l'ONU pour clamer qu'il est le seul gouvernement légitime de la Corée, bien que l'ONU ait seulement sanctionné la validité des élections dans le Sud. Dès lors, chacune des parties se croit légitimée à reconquérir l'autre.

     

    En 1950, l'armée de la Corée du Nord étant mieux préparée que celle du Sud, l'URSS semble avoir calculé qu'une courte guerre surprise donnerait une victoire facile, avant que les Américains aient le temps d'intervenir en force. Les troupes nord-coréennes lancent donc leur attaque le 25 juin 1950 en franchissant le 38e parallèle. La Corée du Nord reste sourde à la demande de cessez-le-feu immédiat formulée par le Conseil de sécurité des Nations unies. Le 27 juin, celui-ci recommande aux États membres de l'ONU d'apporter leur soutien militaire à la république de Corée (Sud).

     

    Répondant à l'appel de l'O.N.U. le président Truman engage (30 juin), au nom des États-Unis, les divisions américaines stationnées au Japon. S'y joignent progressivement des détachements britanniques, français, belges, turcs et néerlandais. Les troupes des Nations unies, conduites par MacArthur, partant de la tête du pont de Pusan et débarquant à Inchon (30 septembre), repoussent les Nord-Coréens. Les forces américaines atteignent par endroits la frontière chinoise. Les théories du général MacArthur (pousser la victoire contre le communisme jusqu'en Chine) sont alors suffisamment connues pour que celle-ci ne reste pas indifférente à cette menace. L'envoi de volontaires chinois et la contre-offensive chinoise et nord-coréenne aboutissent à la reprise de Séoul et au repli des corps internationaux et américains en novembre-décembre. Au début de 1951, la république de Corée est réduite au « périmètre de Busan ». Le gouvernement du Sud déclare : « Il nous manque 52 de nos 55 villes. » En effet, il ne lui reste que Busan, Daegu et Masan, les autres villes ayant été dévastées par les bombardements ou prises par le Nord. Aux Nations unies se constitue un groupe de cessez-le-feu qui se propose d'empêcher l'élargissement du conflit.

     

    Les États-Unis, craignant un conflit généralisé avec la Chine, remplacent MacArthur (partisan de la poursuite de l'offensive) par Ridgway (avril 1951) puis par Clark (1952). De nouveau, l'objectif se limite au rétablissement du statu quo ante autour du 38e parallèle. Le front se stabilise et les négociations, engagées (juillet 1951) puis rompues (août) à Kaesong, reprennent à Panmunjon (octobre) et aboutissent le 27 juillet 1953 à une reconnaissance respective des deux Corées par les États-Unis et l'U.R.S.S. Le coût de la guerre de Corée, qui a rendu inéluctable la séparation entre Nord et Sud, est estimé à 2 millions de morts civils et militaires, et à 3 milliards de dollars de pertes matérielles.

     

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    Pan Mun Jom

     

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    38 e parallele

     

     

     

     




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  • 3 JUILLET 1953

     

     

     

    Création du maillot vert

     

    Le Tour de France a cinquante ans et met en place une nouveauté : le maillot vert. Ce dernier récompense le meilleur sprinter évalué par un système de classement par points. Ainsi, le maillot jaune, qui revient au premier du classement général, n’est plus le seul prix convoité du Tour de France .

     

     

     

     

     

    Le maillot vert est un maillot distinctif de couleur verte porté par le coureur occupant la première place d'un classement au cours de certaines compétitions par étapes de cyclisme sur route. Il est porté par le leader d'un classement par points comme c'est le cas pour le Tour de France ou bien pour récompenser le meilleur grimpeur comme c'est le cas pour le Tour d'Italie.

     

     histoire fifties

     




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