•  

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  • dewey phillips :

    D.J de légende au pseudo DADDY O DEWEY , un allumé  à qui le rock , le r&b  doit beaucoup . Un spécial sur ce blog est juste normal tant le personnage le mérite , un retour , un clin d'oeil à l'histoire de la musique . Barriere raciale , popularité du rock n roll , de la musique afro americaine , voici DEWEY de memphis .

    Il est né le 13 MAI 1926 à CRUMP dans le TENNESSEE . C est apres la seconde guerre mondiale , qu'il étudie la musique , pour devenir chanteur . Il va etre embauché à la W.T GRANT FIVE AND TEN (version nationale de G.C MURPHY S ) , au centre de MEMPHIS et gerer les mouvements de disques dans le département  . Il va s'occuper également du systeme de sonorisation  et va attirer du monde à l'heure du déjeuner  , en développant l'écoute de la musique JIVE . La vente de disques ne cessant d'augmenter , il va entrainer avec lui un grand nombre de personnes , devenant fan , bien souvent dans le milieu noir . Malgré ses réticences et sans savoir ou ils aboutiraient , la radio WHBQ va le prendre . Le soir , il habitait le studio , situé sur une mezzanine (magazine floor) de l'hotel CHISCA . Son appel a fait "mouche" dans toutes les couches "raciales" , sans déranger WHBQ d'ailleurs . Le programme a ramené plus d'argent , avec une publicité accrue , créant meme une liste d'attente , pour les annonceurs . En 1950 , il se joint à l'ancien animateur SAM PHILLIPS (ancun lien de parenté bien sur) , propriétaire du tout nouveau MEMPHIS RECORDING SERVICE , pour former un label , si ce n'est que de courte durée . Mais DEWEY a un énorme probleme en 1950 ; il a failli mourrir , d'un accident de voiture , tuant 2 personnes et le blessant gravement  à la jambe . Un autre accident de la route va accentuer son mal , le laissant dans une douleure quasi continue . Il est encore en convalescence au VETERANS KENNEDY  HOPITAL de MEMPHIS , lorsqu'il reprend son émission , crée depuis peu , RED HOT & BLUE de son lit . 1952 SAM lance SUN RECORDS ! . Il prend l'habitude de lancer le premier single de chaque nouveau artiste chez DEWEY , c'est comme cela qu'il va entrer dans l'histoire avec un grand H , en ce fameux JUILLET 1954 , ou il va passer et repasser THAT ALL RIGHT et surtout s'entretenir  avec ce jeune cat qui révolutionne la station avec ce tube  , un certain  ELVIS PRESLEY . Ils vont rester amis et se cotoyer jusqu en 1957 , ou PHILLIPS accompagnant ELVIS sur le tournage de JAILHOUSE ROCK   ,  VA DECONNER GRAVE , en plus de "trahir" PRESLEY , en passant TEDDY BEAR sur ses ondes  ,( que lui avait fourni LE KING juste  pour ecouter)  ,   à l'insu de RCA , PARKER et PRESLEY  LUI MEME et surtout avant sa  sortie officielle !!!! EP prit du recul un certains temps , pour pardonner ensuite .

    En 1956 WHBQ installe DEWEY en Télévision POUR UNE APRES MIDI , en hébergeant un spectacle de danse pour adolescent , intitulé POP SHOP . 1957 , aussi avec JERRY LEE LEWIS , un acte de PHILLIPS va gacher se passage d'ailleurs , DEWEY devenant assez dependant de l'alcool . 1958 , la radio tente de remplacer POP SHOP par l'AMERICAN BANDSTAND , dans le créneau  'apres midi , cela va vite etre annulé , suite à des debordements de PHILLIPS . 1958 signe aussi la montée vertigineuse du TOP 40 en RADIO  , DEWEY ne s'alligne pas , bien trop électron libre de son style ;  de plus de ses frasques , la radio va se séparer de lui fin 58 : SES FANS VONT ETRE HORRIFFIES !!! 1959 il trouve une autre station à MEMPHIS (tres peu connu) . Il s'essaye comme chanteur et enregistre un single :

    IT HAD TO BE YOU - BEG YOUR PARDON , sur le label FERNWOOD , bien accueilli de la critique , sans plus ....

    La suite va etre une semi tragedie :

    Dans les années 60 , la douleure de sa jambe s'accentue sans cesse . Il change sans arret de petite radio locale , sans grand renom . Ce qui l'amene a  abuser de l'alcool , de medicaments , de substances illicites et dangereuse , bref de sombrer . Il refuse l'amputation  , perd de plus en plus contact avec la réalité ; il se fait interner en psychiatrie ....un cauchemard .

    Separé de sa femme DOT  , il pouvait encore voir  son fils ; il résidait chez sa maman , quand il decede le 28 SEPTEMBRE 1968 . ELVIS sera au funérailles et comme SAM l'avait aidé financierement dans les 60 s . SAM soulignera toujours , l'importance de DEWEY pour SUN et SES ARTISTES .

    CE GEANT MERITE RESPECT - MERITE SA COMEDIE MUSICALE ACTUELLE - IL EST UN DES MAILLONS DE LA REUSSITE DE NOTRE MUSIQUE - UNE DES RAISONS DE CETTE REVOLUTION DANS LE SUD A MEMPHIS . TOUS LES D.J LUI DOIVENT QUELQUES CHOSES (wolfman jack s'en inspirera) .

    MERCI A LUI D AVOIR EXISTER ET QUE DIEU LE GARDE ....

    Blog de elpresse : ELVIS ET LE ROCKABILLY, dewey phillips

    Blog de elpresse : ELVIS ET LE ROCKABILLY, dewey phillips

    Blog de elpresse : ELVIS ET LE ROCKABILLY, dewey phillips

     

     

    Blog de elpresse : ELVIS ET LE ROCKABILLY, dewey phillips

    Blog de elpresse : ELVIS ET LE ROCKABILLY, dewey phillips

    Blog de elpresse : ELVIS ET LE ROCKABILLY, dewey phillips

     

     

     

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  • les dix commandements : the ten commandments

     

     

    Les Dix Commandements (The Ten Commandments) est un film américain sorti en 1956, réalisé par Cecil B. DeMille et avec Charlton Heston dans le rôle principal du prophète biblique Moïse. Le réalisateur en avait réalisé une première version en 1923.

      Bien entendu, vous ne l’appellerez pas Les Dix Commandements ? » fut la première question des producteurs à DeMille lorsqu’il leur fit part de son intention de tourner un remake de son propre film, plus de trente ans après la première version. Selon le cinéaste, l’expérience de la seconde guerre mondiale, l’émergence du totalitarisme, du fascisme et du communisme avaient donné au projet de remake un caractère d’urgence : rappeler au plus grand nombre que le message biblique est le fondement de la liberté humaine.

    Lorsqu’il entreprend le film, DeMille est sans doute l’homme à qui Hollywood doit le plus. Tandis que Griffith est mort ruiné et que Chaplin a dû s’exiler, lui est à la tête d’un véritable empire financier. Sa filmographie compte 60 titres couronnés par 28 Oscars, et il a reçu plus de décorations que la poitrine d’un homme ne peut en supporter. Pas étonnant, dans ces conditions, que la Paramount lui ait laissé carte blanche. Fidèle à son habitude, DeMille en profitera pour dépasser allègrement le budget initial de 8 millions de dollars, flirtant, à l’arrivée, avec une ardoise de 14 millions. La seule écriture du scénario est déjà une épopée. Elle s’étalera sur trois ans, mobilisant un commando d’éminents égyptologues et de révérends pères spécialistes en Ancien Testament. Mais comment pallier les trente années de silence de la Bible sur la vie de Moïse ? Pour le cinéaste, pas question de s’avouer vaincu. « Le devoir de tout historien, déclara DeMille, est de donner un récit exact des faits connus et prouvés. Le devoir de tout dramaturge est de remplir les lacunes entre les faits. » Suivant à la lettre ce commandement inédit, les scénaristes firent feu de tout bois, épluchant les auteurs anciens (Philon, Flavius Josèphe et Eusèbe), piochant dans les légendes du peuple juif et même dans les récits d’historiens modernes. Pendant ce temps, chaque corps de métier s’activait à sa tâche. John Fulton réfléchissait calmement à la meilleure façon de partager à nouveau en deux la mer Rouge, LeRoy Prinz se lançait dans un examen sourcilleux des peintures et bas-reliefs de la vallée du Nil afin de composer une chorégraphie authentique, et Elmer Bernstein préparait sa partition musicale.Quant à DeMille, il mitonnait un casting digne des plus prestigieuses superproductions hollywoodiennes. Le choix de Charlton Heston pour incarner Moïse s’imposa dès l’origine comme une évidence. Évidence confortée par la ressemblance physique du comédien avec la statue de Moïse par Michel-Ange. Lors d’une représentation théâtrale du Roi et moi à Broadway, le cinéaste découvrit Yul Brynner, qu’il engagea aussitôt pour interpréter Ramsès. Yvonne De Carlo se vit confier le rôle de Sephora, la femme de Moïse, en raison de la force émotionnelle que DeMille l’avait vue déployer dans une scène de The Yellow Rose of Texas (Joseph Kane, 1944). Contrairement à ce qui s’était passé en 1923, DeMille eut cette fois l’opportunité d’aller tourner trois mois durant sur les lieux mêmes de l’action, en Égypte. Dans son ensemble, le film bénéficia d’ailleurs de moyens plus colossaux encore que la première version. La comptabilité de l’événement suffit à donner le vertige : 30 000 figurants, 5 000 chars, 8 000 chevaux, 160 acteurs, 6 kilomètres de pellicule impressionnée, 7 mois de tournage, etc. DeMille était alors âgé de 78 ans et n’avait pas la forme physique nécessaire pour bivouaquer dans le désert égyptien ou escalader des montagnes. Le cinéaste fut frappé d’une crise cardiaque en plein tournage… mais revint sur le plateau dès le lendemain !
    De son côté, Édith Head et son équipe dessinaient les costumes de chacun des personnages principaux. Les archives de la Cinémathèque française conservent une dizaine de ces dessins. Signés B. Krinton et Dorothy Jeakins, ils mélangent plusieurs techniques (gouache, aquarelle, mine de graphite, crayon de couleur) et concernent notamment les personnages de Lilia (Debra Paget) et Bithiah (Nina Foch). Contre toute attente, ce déluge de moyens va de pair avec un choix de mise en scène volontairement archaïque, un espace résolument réduit à deux dimensions. Faut-il s’en émouvoir ? Pas vraiment, selon Michel Mourlet. « Pourquoi DeMille se fût-il soucié de l’espace ? écrit-il. Un homme et une femme déshabillés à l’antique, des palmes balancées, une passion simple lui suffiraient pour établir dans l’ordre des gestes un équivalent des fresques égyptiennes, d’où la perspective est absente, non le coeur. » Les Dix Commandements version 1956 fut précédé d’un court prologue de deux minutes environ dans lequel Cecil B. DeMille présentait son film au public, devant un rideau de scène. « Notre intention ne fut pas d’imaginer une histoire, mais de rester fidèle à l’histoire divinement inspirée d’il y a trois mille ans », affirmait-il, donnant ainsi une dimension « scientifique » à une oeuvre de divertissement. Dès sa sortie en salles, en octobre 1956, le film connut, à travers le monde, un succès prodigieux, à la mesure des ambitions du cinéaste. Quelques critiques ne se privèrent pourtant pas de dénoncer l’aspect démesuré du film. « C’est comme une choriste qui mesurerait deux mètres quarante, c’est trop grand et trop tape-à-l’oeil », écrivit ainsi le critique du Time. Des recettes colossales engrangées par le film, DeMille ne toucha pas un dollar. « Je les délègue à tout jamais à un fonds destiné à subventionner des oeuvres charitables, religieuses et éducatives, dont je ne serai même pas l’un des administrateurs », déclara le cinéaste. Oeuvre testamentaire s’il en est, Les Dix Commandements fut sa dernière réalisation avant sa disparition en 1959. Blog de elpresse : ELVIS ET LE ROCKABILLY, les dix commandements Blog de elpresse : ELVIS ET LE ROCKABILLY, les dix commandementsBlog de elpresse : ELVIS ET LE ROCKABILLY, les dix commandements Blog de elpresse : ELVIS ET LE ROCKABILLY, les dix commandements Blog de elpresse : ELVIS ET LE ROCKABILLY, les dix commandements Blog de elpresse : ELVIS ET LE ROCKABILLY, les dix commandements Blog de elpresse : ELVIS ET LE ROCKABILLY, les dix commandements Blog de elpresse : ELVIS ET LE ROCKABILLY, les dix commandements Blog de elpresse : ELVIS ET LE ROCKABILLY, les dix commandements Blog de elpresse : ELVIS ET LE ROCKABILLY, les dix commandements

    Distribution

    Et, parmi les acteurs non-crédités :

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  • 777 TRIPLE SEVEN /

    Groupe ALLEMAND de OSNABRUCK , crée en 2005  . Ce trio aux influences NEO ROCKABILLY - SWING -ROCK N ROLL -COUNTRY ROCK déploie un tres bon style , qu'il "auto nomme" CHERNOBILLY (ce qui se rapporte beaucoup au style allemand) , bien que eux soit moins "tape dedans" que la plupart des groupe neo rockab germanique . Leur influence est tres pro STRAY CATS aussi et ce band est pour ma part prometteur , comme en témoigne leur premier opus .

    C.D UNLEASHED sur PAT RECORDS , sortie le 3 septembre 2005 . De tres bon titres ,  variés , bien en place  et surtout composés par les membres du groupe meme .

    Le trio est composé de :

    FRANZ MEISER - 24 ANS - BASSISTE -CONTRE BASSISTE

    NIKOLAI PETROV - 24 ANS - CHANT +GUITARE

    OLLOV ORLOWSKI - 26 ANS - BATTERIE .

    Leur dates de concerts est assez conséquent , mais pour l'instant se situant uniquement en  Allemagne .

    MERCI A EUX D EXISTER ET QUE DIEU LES GARDE ET SURTOUT BONNE CHANCE POUR L AVENIR .....

    Blog de elpresse : ELVIS ET LE ROCKABILLY, 777 triple seven

    Blog de elpresse : ELVIS ET LE ROCKABILLY, 777 triple seven

    Blog de elpresse : ELVIS ET LE ROCKABILLY, 777 triple seven

    Blog de elpresse : ELVIS ET LE ROCKABILLY, 777 triple seven

    Blog de elpresse : ELVIS ET LE ROCKABILLY, 777 triple seven

    Blog de elpresse : ELVIS ET LE ROCKABILLY, 777 triple seven

    Blog de elpresse : ELVIS ET LE ROCKABILLY, 777 triple seven

    Blog de elpresse : ELVIS ET LE ROCKABILLY, 777 triple seven 

     

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire
  • Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    votre commentaire
  •  

    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    votre commentaire